Affaire Aïda Ndiongue: Des hauts cadres de la CBAO-Attijari cuisinés par la SR

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Xalima news – Libération dans son édition du jour, révèle que de hauts cadres de la banque Cbao-Attijari ont été cuisinés hier par les gendarmes de la Section de recherches. Leur audition est relative à l’affaire Aïda Ndiongue.

Pour avoir procédé à une rétention d’informations dans le cadre de l’affaire Aïda Ndiongue, six hauts cadres de la banque Cbao-Attijari ont défilé hier devant les hommes en bleu de la Section de recherches de Dakar pour s’expliquer sur le jeu de cache-cache auquel ils se sont adonnés dans cette affaire.
En effet, d’après nos confrères de Libération, saisie par les hommes du Commandant Cheikh Sarr, l’institution financière n’a pas daigné livrer d’un coup les informations dont elle dispose concernant les comptes bancaires de la responsable libérale. La Cbao-Attijari a préféré faire poireauter les pandores qui ont fini par découvrir qu’en lieu et place des 3 comptes déclarés par la banque, Aïda Ndiongue en avait plutôt 28 qui contiendraient les 47,675 milliards francs CFA dont le procureur de la République a fait état dans son point de presse.

Et c’est pour s’expliquer sur cette attitude suspecte que le chargé de la Grande clientèle, le responsable des coffres, le chef de service judiciaire entre autres ont eu à prendre les trois normaux avec les pandores qui, selon l’Observateur, entendront le patron de la boite Abdelkarim Raghni dès qu’il posera les pieds sur le sol sénégalais.

Source: Setal

1 COMMENTAIRE

  1. Je vous disais que je ne donne pas un mois pour qu’il soit claire que le procureur confessait du faux. Et d’ailleurs dés le lendemain avec les condamnations, il fut lancé dans la presse des 100, un nouveau titre : « De hauts cadres de la CBAO soupçonnés de traficoter pour protéger Aîda ».
    Tant que les sénégalais ne comprendront pas comment les titres de demain sont négociés aujourd’hui, ils seront toujours des victimes d’une orchestration qui les encerclent. Un élément de taille est à mesure de faire comprendre que c’est faux. Et je vous prie de me suivre, vous comprendrez deux choses:
    – Un site, 17 Janiver 2013. Titre de l’article: JUSTICE. Biens mal acquis : 47 milliards de Aida Ndiongue débusqués (procureur de la République). Dans le texte: « Une enveloppe de 250 000 euros donc et des bijoux en or d’une valeur de 12 milliards, entre autres, pour un total de 47 milliards de francs Cfa. »
    tinyurl.com/ppab3x2
    Il se trouve que l’or est devenu un métal dont l’usage est codifié. Il y a des briques d’or (avec des dimensions bien définies). Et la brique de 1 kg coûte 19 000 000 CFA. Faites le calcul. Le procureur affirme qu’Aîda Ndiongue a un dépôt de 630 kg d’or. Il y a de quoi promettre 1kg à chaque détenue. Donc, ce chiffre du procureur est un faux grotesque. Ce chiffre sera la preuve d’un gros mensonge. Qu’à cela ne tienne, lisez le texte du même Site d’aujourd’hui, tinyurl.com/puo5z24.
    Dans le texte d’aujourd’hui, vous lisez: « Des bijoux d’une valeur estimative de 12 milliards de FCFA (près de 18,3 millions d’euros) ont été aussi retrouvés », a-t-il encore dit »
    Les 12 milliards d’or deviennent 12 milliards de bijoux. Là, on pourra y mettre du diamant, des jades, des émeraudes, etc… L’essentiel étant d’atteindre le chiffre lancé par le procureur. Et pourquoi le journaliste rectifie les dires du procureur pour les adapter ?
    Lors du mensonge sur les 600 véhicules volés du Palais de la république j’avais fait remarqué à une victime des médias, à Thiaroye, que la surface totale de 600 véhicules parqués pare chocs contre pare chocs fait plus de 10 fois la surface du Palais. Alors comment peut-on parquer 600 véhicules dans le Palais. Il me dit: c’est pas seulement au Palais. Les uns étaient au Palais, d’autres ailleurs. Je lui dis que c’est pas ce qu’a écrit le journaliste. Pour pouvoir le défendre, il a rectifié les dires du journalistes pour maintenir le fond, à savoir 600 véhicules volés. Je lui dis: tu sais le rôle que tu es entrain de jouer ? Tu deviens un ajusteur de mensonges de journaliste, un adaptateur de mensonges.
    Comme aujourd’hui, avec le cas du procureur, on est en rectification de ce qu’il a affirmé pour le rendre consommable pour les fanatisés.
    Et comment un homme saint devient-il quelqu’un qui se retrouve à réajuster des mensonges pour les porter ? C’est ce que je vais essayer d’expliquer dans un prochain texte, pour ne pas être trop long.

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