L’équipe du Sénégal féminine de basketball va entamer mardi la première phase de son stage de préparation en direction de l’Afrobasket 2015 prévu au Cameroun, a appris l’APS auprès du Comité de normalisation du basket sénégalais (CNBS).
‘’D’une durée prévue de trois jours, ce stage sera suivi d’un second qui se tiendra à Bucarest du 15 au 21 mai et qui sera ponctué d’un tournoi de basketball’’ précise le communiqué du CNBS transmis à l’APS.
La première phase de ce stage qui va se dérouler à Dakar, concerne uniquement les joueuses locales, tandis que la deuxième phase qui va se dérouler en Roumanie dans le cadre d’un tournoi va enregistrer la participation de toutes les joueuses, explique le texte.
Le Sénégal, troisième lors de la dernière édition de l’Afrobasket au Mozambique, partage la poule B avec l’Angola, double champion en titre, l’Algérie. Cette poule sera complétée par les prochains qualifiés des zones 2 et 3 et le bénéficiaire d’une wild-card.
La poule A de l’Afrobasket prévu au Cameroun en septembre prochain est constitué du Cameroun, du Mozambique, de l’Afrique du Sud, du Gabon, de l’Ouganda et du Mali.
Voici la liste des joueuses retenues pour le stage
Mame Diodio Diouf, Couna NDao, Elma Malou, Oumou Khairy Thiam, Fatoumata Diango, Ndèye Sène, Magaly Mendy, Aya Traoré, Sabelle Diatta, Diary Diouf, Astou Traoré, Mame Marie Sy, Aminata Fall, Fatou Kiné Kane, Maïmouna Diarra, Ramata Dao.
Quelles soient intellectuelles, joueuses de niveau&u internationale ou bien simples vendeuses de cacahouètes ou de poissons, la femmes Sénégalaises, à l’image de beaucoup d’autres dans le monde est convaincue que les cheveux que la nature lui a donnés ne sont pas dignes d’être assumés ! Ces joueuses sont très ridicules avec leur crinière au vent lors des matchs ! Le pire est que même quand elles jouent à côté de leurs coéquipières dont les cheveux sont naturellement lisses, elles n’ont pas hontes ! Merci à madame N’goné N’doye d’avoir osé dire publiquement que c’est une honte de voir nos femmes se faire coudre sur le crâne des cheveux de femmes d’autres peuples ! Il fallait oser, au moment où de grandes intellectuelles ont succombées aux mèches et perruques !