Agression contre Karim Wade : Une plainte plane sur la tête de Pape Ndong

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XALIMA NEWS – L’incident qui avait causé la blessure de Karim Wade, avant-hier, connaît un rebondissement. Alors que la clameur refuse de s’estomper, un autre élément vient s’ajouter à la cacophonie autour de cette affaire.

Ce dossier peut bien connaitre une source judiciaire après que l’agresseur du fils de Wade a été retrouvé. L’agent présenté comme celui qui a plaqué le fils de Wade s’appelle Pape Ndong. Il fait partie des éléments pénitentiaires d’intervention (Epi). Il ressort d’investigations menées par L’Obs que Pape Ndong est affecté à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Rebeuss il y a juste un mois environ. Il était en service au Camp Pénal. A peine son identité dévoilée, une plainte plane sur sa tête. Même si Karim Wade s’est abstenu de traduire l’agent en justice, ses partisans regroupés au sein du mouvement « Libérez Karim » ( Mlk) sont en train d’étudier les voies et les moyens pour saisir la justice. Des conseils d’avocats sont en train recueillis pour savoir si, d’une part, le Mlk peut bien se constituer partie civile dans la procédure qu’elle compte intenter contre Pape Ndong. D’autre part, il s’agit de s’assurer que la loi permet d’ester en justice contre un agent dans l’exercice de ses fonctions.

L’Observateur via Leral

3 Commentaires

  1. La Justice, sur ordre du parquet (Ministère de la Justice) donc le pouvoir a pu recevoir des ordres pour choquer les Sénégalais qui n’aurait que ce scandale à la bouche, soit qu’ils sont pour ou contre Karim ! Pendant ce temps, la grosse gaffe de la participation de notre Président à la marche pour la liberté d’expression, et le soutien à « Charlie Hebdo » et ses caricaturistes de Mahomet, sans oublier que les bailleurs du CLUB DE PARIS commencent à nous chercher des poux dans la tête pour ne pas honorer leurs engagements dans leur » aide » pour le fameux PSE ! Sinon, personne ne peut comprendre pourquoi cette violence disproportionnée sur la personne de Karim Wade qui ne pouvait résister à deux agents sans violence exagérée ! Dans aucun pays de droit, on ne force un justiciable à aller sur les bancs des accusés, à fortiori si ses AVOCATS sont absents ! Soit nous sommes un Etat de droit ou nous ne le sommes pas, il n’ y a pas de mi-figue mi-raisin en matière de droit de l’homme !

  2. Il était de toute façon prévisible que ce procès aboutisse à des situations de ce genre. Parce que l’absence d’issue était prévisible dés la conférence de presse d’Aliou Ndao. Il y avait une accusation excessive et impossible à prouver sous le soleil. Et il y a un pouvoir qui a osé faire cette accusation excessive qu’il ne pourra jamais prouver, mais un pouvoir qui n’acceptera jamais de perdre la face. Alors ? Alors, tout le monde est mal à l’aise.
    Macky est mal à l’aise, et il ne cessera jamais d’être mal à l’aise. Parce qu’il s’agit d’une chose sérieuse qui aurait nécessité de prendre le temps d’enquêter et d’enquêter surement. Puisqu’il a le pouvoir, qu’il a sa presse et qu’il a le cœur qu’il a, une enquête sûre, couronnée d’une découverte sûre même de 1000 FCFA d’illégal dans les affaires de Karim aurait suffit à Macky pour le mettre en prison à vie (s’entend tant qu’il sera au pouvoir). Mais avec les législatives qui pointaient, les locales qui allaient suivre, et tout le gain politique espéré, Macky Sall a lancé sa machine dans la précipitation. Or bien étudiée la machine était un couteau à double tranchants: tuer politiquement Karim ou mourir. Macky a lancé sa machine à cause de ses besoins politiques, mais il l’a fait sans en maîtriser les paramètres. Dés lors il lui fallait forcer vers une seule issue, celle qui est impossible: culpabiliser Karim, par n’importe quoi. Ce qui donne ce que nous sommes entrain de vivre. Même le juge sait qu’il ne fait pas de la justice, mais qu’importe.
    Le Grégoire est mal à l’aise. Une pareille expérience, pour un magistrat, c’est un signe de fin carrière. Ce juge ne rêvera plus de siéger à la cour de la Haye avec cette grosse tâche dans son cursus. Il sait donc ce qu’il perd de ce procès. Mais que faire ? La culpabilisation devient presque une obligation pour lui. Les preuves ? Il est certain qu’il ne les aura jamais. Alors, dans ce dilemme il gère le présent. Aujourd’hui, il se rappelle qu’il a le pouvoir, il en use comme fard, un pouvoir d’exclure, de faire taire, le pouvoir d’obtenir le silence. Cela empêche de penser à demain.
    Le procureur est mal à l’aise, plus même que le juge. Puisqu’il ne peut échapper à l’accusation d’avoir mis le juge dans le pétrin.
    Les avocats de la défense sont mal à l’aise parce que chargés de démontrer l’évident. Il n’y a pas plus sidérant que d’être obligé de démontrer que le soleil est le soleil.
    Seuls les avocats de la partie civile sont heureux. Ils n’ont rien à perdre et tout à gagner.

  3. La Justice, sur ordre du parquet (Ministère de la Justice) donc le pouvoir a pu recevoir des ordres pour choquer les Sénégalais qui n’aurait que ce scandale à la bouche, soit qu’ils sont pour ou contre Karim ! Pendant ce temps, la grosse gaffe
    de la participation de notre Président à la marche pour la liberté d’expression, et le soutien à « Charlie Hebdo » et ses caricaturistes de Mahomet, sans oublier que les bailleurs du CLUB DE PARIS commencent à nous chercher des poux dans la tête pour ne pas honorer leurs engagent dans leur aide pour le fameux PSE ! Sinon, personne ne peut comprendre pourquoi cette violence disproportionnée sur la personne de Karim Wade qui ne pouvait résister à deux agent sans violence exagérée ! Dans aucun de pays de droit, on ne force un justiciable à aller sur les bancs des accusés, à fortiori si ses AVOCATS sont absents ! Soit nous sommes un Etat de droit ou nous ne le sommes pas, il n’ y a pas de mi-figue mi-raisin en matière de droit de l’homme !

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