XALIMA NEWS – En tout cas un groupe de gauche composé de la Ld, du Pit, du Rta- S/ Pencoo Rééw, de Yoonu Askan Wi, de l’Observatoire Républicain pour la Démocratie et la Citoyenneté (Ordc), de l’Udf/Mbooloo mi) a pris l’initiative pour réussir cette fois-ci cette prouesse. Eh bien ! Ces forces ont proposé dans une déclaration conjointe, la convocation, au plus tard en janvier 2015, d’Assises de l’unité des forces de la Gauche comme base de solution concertée à la division et à l’émiettement. Elles précisent que ces Assises reposent sur une démarche participative et inclusive associant toutes les forces de gauche acquises à la nécessité de la transformation sociale et de la souveraineté du peuple. Il s’agit, selon elles, de développer une dynamique nationale qui allie l’élaboration théorique à la pratique de mobilisation politique pour la défense des intérêts des masses populaires.
De toute façon ce groupe de gauche lance un appel pressant à la Gauche sénégalaise, organisations comme individualités, à assumer ses responsabilités ici et maintenant, à faire preuve d’audace, de lucidité et de courage, pour mettre un coup d’arrêt à son émiettement. Mais aussi pour jouer un rôle de défenseur conséquent et de sentinelle vigilante des intérêts fondamentaux des masses, tout en œuvrant au triomphe de son projet alternatif de transformation sociale. En tout cas il souligne que l’unification souhaitée, pour être féconde et porteuse, devra s’appuyer sur les idéaux, valeurs et principes de gauche afin de refonder et de ré-crédibiliser la politique, l’action politique et les acteurs politiques eux-mêmes. Avant d’ajouter qu’il importe plus que jamais de mettre au cœur de la politique l’éthique, la responsabilité, le respect dû au citoyen et la primauté absolue de l’intérêt général, de l’intérêt du peuple.
Le Populaire
Dans la pratique, comment peut-on parler de Gauche et de droite au Sénégal ? Quand monsieur SAVANE LANDING et sa femme, comme beaucoup d’autres anciens gauchistes des années 70 se sont débrouillés pour avoir des moyens leur permettant de ne plus vivre dans leurs quartiers d’où nous les connaissions ? Quand on a thésaurisé des centaines de millions qui auraient dû aller à l’aide des militants et au bon fonctionnement du parti, on doit se taire et laisser les pauvres prolétaires en paix ! Etre de gauche au Sénégal ne veut plus rien dire depuis des années, sinon N’doye ne se serait pas débroullé pour aller dans une Institution Internationale pour un salaire de 25.000 dollards mensuels sans compter les avantages y afférent ! Ne vous moquez pas des Sénégalais!
Merci!!!
l’hypocrisie ne tue pas au Senegal
Cato