Le juge a rendu son verdict, hier et l’a tout bonnement relaxé. Ainsi les responsables des régies publicitaires ont été déboutés, aucune réparation ne leur sera allouée. « On m’avait taxé de bandit, de tous les noms, mais aujourd’hui (hier), le tribunal m’a donné raison dans cette affaire qui m’opposait aux propriétaires des panneaux publicitaires », a déclaré Barth. Pour rappel, le maire de Mermoz-Sacré-Cœur avait fait détruire des panneaux publicitaires qui se trouvaient dans son périmètre communal.
Il accusait les régies qui les exploitent ne payaient pas de taxes. Il s’était fondé sur une délibération du Conseil municipal. Une sommation a été, selon lui, envoyée aux propriétaires des panneaux. Et face à ce qu’il considérait comme une obstination de ces derniers, il avait fait enlever manu militari les panneaux. Leurs propriétaires qui l’accusent d’avoir détruit leurs matériels l’ont attrait devant le tribunal pour réclamer une réparation à hauteur de 700 millions de francs.
Le Populaire