Bouba Ndour sans tabou: « Viviane, Aldiouza, Ndack et moi »

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Parmi les sénégalais qui font les choux gras de la presse dite People, Bouba Ndour en fait partie. Depuis son divorce avec une autre vedette de la musique sénégalaise, Viviane Chidid Ndour, les rumeurs vont bon train sur ses « nouvelles liaisons », ses « supposées maîtresses », ses virées « imaginaires » etc. Bouba Ndour se lâche dans cette interview exclusive accordée au quotidien « Enquête ». Et c’est visiblement un homme, pas du tout content des « quolibets » portés contre sa personne, qui parle…

 

EnQuête : Depuis quelques temps, vous êtes en dehors du pays. Bouba Adour a-t-il fui le Sénégal depuis son divorce bien médiatisé avec Viviane Ndour ?

Mais non, le problème, c’est que je n’ai pratiquement jamais pris de vacances dans ma vie, car je travaille tout le temps. Donc, à un moment, j’ai décidé de prendre des vacances et suis allé à New-York avec mon fils pour deux raisons. La première, c’est pour me reposer, changer d’air et New-York est la ville toute indiquée. C’est un peu ma seconde ville. C’est une ville que je connais bien, que j’aime beaucoup parce que le pouls de New-York correspond parfaitement à mon idéal de vie. Pour vous dire, j’y ai vécu, j’y ai des amis et je travaille encore avec des gens basés là-bas. Donc, je suis parti là-bas pour changer d’air avec mon fils. Et c’est la là la première raison. La seconde raison, c’est que je voulais aussi voir ma fille qui y vit. Elle s’appelle Marie. Elle est très attachée à moi. Voilà… Cela fait 5 mois que je ne suis pas allé à New-York, mais bizarrement quand je marchais dans la rue les gens m’interpellaient pour me dire qu’ils croyaient que j’étais frappé d’une interdiction de séjour en Amérique, tellement je me suis fait rare. Cela m’a fait naturellement sourire parce que c’est n’importe quoi.

Vous avez visiblement la passion de l’Amérique.

Ah oui ! Chaque fois que je vais aux Usa je ressens comme une bouffée d’air. Cela me donne de la force. De l’oxygène. Il y a un manager de Youssou Ndour qui s’appelle La Gazelle qui ne cesse de me dire que lorsqu’elle me voit à New-York, elle a l’impression de voir une autre personne. Bien vrai que j’adore le Sénégal mais j’aime beaucoup New-York.

Cette passion fait sans doute que vous ressemblez même à un Américain …

Peut-être. Mais je n’essaie pas de ressembler à un américain. Du reste, il y a beaucoup de choses que j’ai apprises dans leur manière de faire. Cela m’aide à m’améliorer au plan social et professionnel. Il y a beaucoup de gens qui vont à l’extérieur pour y étudier. Ils peuvent décrocher beaucoup de diplômes. C’est une bonne chose, mais aussi il y a une école qui est, je pense, différente des savoirs assimilés dans les Universités. Ce type de savoir, basique, qu’on respire dans le vent, on retrouve en Amérique uniquement. C’est-à-dire qu’on y apprend à vivre, de façon responsable, à persévérer, gravir des échelons et se faire. Je pense que c’est ce qui fait la force des Américains.

Retour au pays natal. Monsieur Ndour, depuis votre divorce d’avec Viviane, il y a eu beaucoup de bruits sur le net, dans les journaux etc. Une femme, précisément ??? a fait des déclarations sur vous pour vous traiter de tous les noms d’oiseaux. Est-ce que vous avez un commentaire particulier à faire ?

Pour cela, je n’ai pas beaucoup de commentaires à faire, car j’ai décidé de porter plainte devant la justice.

Ah oui ?

Oui. Il y a des choses que je peux pardonner. Mais quand cela ne me concerne pas tout seul, je ne peux pas le faire. Dans cette affaire, c’est tout un groupe qui a été cité. Les accusations ne sont pas portées contre ma seule personne mais, elles visent un groupe Djolof-Band avec lequel j’ai travaillé durant 11ans. C’est moi qui ai crée le groupe sur fonds propres, j’ai recruté tous ses membres. C’est l’un des seuls groupes au Sénégal où les musiciens ne partent jamais. Ce sont des frères pour moi et ce sont des gens qui me respectent énormément. Que je respecte aussi. Je pense que s’il y a des fuites, cela ne peut venir que du groupe. Je ne suis pas surpris, mais je pense que cela fait mal à l’ensemble du groupe Djolof-Band. Mais puisque nous sommes dans un état de droit, si une personne dit certaines choses, il faudra qu’elle s’explique. Je me dis que pendant 11ans, j’ai géré un groupe donc je me vois mal accorder de l’importance à une seule personne. Peut-être que durant ces 11 ans, la personne était comme cela, mais on sait qui est qui. Malheureusement pendant 11ans, c’est la première fois que j’ai entendu cette personne dire du mal de moi. Mais entre nous, nous nous connaissons bien. Cette personne n’arrêtait de dire : « Papa, nanga def » (Comment ça va papa ?). Donc si c’est la même personne qui se retourne contre moi pour dire des propos discourtois, je ne peux qu’être surpris…

A votre avis qu’est-ce qui fait que vous ne passez pas inaperçu ?

Je pense que cela résulte du fait que je porte le nom de Ndour. Ce n’est pas facile de porter le nom de Ndour. Mais il y a des gens qui ne me surprendront jamais. Je crois que s’il ne s’agissait que de faire des déballages, ce serait la fin du monde. Donc cela ne m’étonne pas du tout honnêtement.

Dites-nous, confirmez-vous votre divorce avec Viviane ou s’agit-il encore de rumeurs ?

Mais il y a bel et bien séparation. Toutefois, je ne révélerais jamais ni à la radio, ni à la télévision, ce qui nous a séparés. Ce qui me lie ou me sépare de Viviane, je ne m’épancherai jamais là-dessus. Je ne le dirais pas sur la place publique car je ne suis pas comme ça. Je veux que cela soit clair…

Mais est-ce qu’il ne faudrait pas éclairer la lanterne des Sénégalais lorsqu’on se pose beaucoup de questions sur ce bien retentissant clash ?

Si. Aujourd’hui, je veux éclairer une chose, c’est que c’est moi qui ai pris la décision de divorcer d’avec Viviane. Elle en connaît la raison. Moi également, j’en connais la raison. Elle ne la dira pas. Moi non plus. Tant qu’elle n’en parlera pas, j’en ferais autant car nous avons des enfants. Et ce qu’on a vécu dans l’intimité de notre couple reste entre nous. Donc personne ne peut me pousser à dire des choses qui entacheraient sa réputation. Je ne pense pas qu’elle dirait du mal de moi. En revanche, je peux dire que c’est moi qui ai demandé le divorce et cela est clair. C’est le premier point. C’est moi qui ai également décidé d’arrêter de travailler avec Viviane. Moi, Boubacar Ndour. Il faut qu’on soit clair. C’est le deuxième point. J’ai lu dans la presse des choses qui m’ont écœuré. Je travaille avec des sœurs, des collaboratrices, des femmes de principe et vertueuses que je respecte beaucoup. Mais un beau jour, tu te réveilles et tu vois leurs photos dans la presse. Tu ne sais même pas d’où ça vient. C’est comme un jeu d’échec. Je prends par exemple le cas Adiouza, je peux vous dire que je ne l’ai aperçue que deux fois dans ma vie. C’est une fille que j’apprécie bien d’ailleurs car elle se bat. Et quand tu la regardes, tu sens qu’elle a la tête sur les épaules. Son père, c’est mon ami.

Apparemment, cela vous a fait mal…

Honnêtement, il y a des choses vilaines que les hommes devraient se priver de dire. Je ne parle pas pour moi, mais pour elles. Ces filles qui sont appelées à se marier un jour. Et voilà, on invente des choses imaginaires sur elles. On salit leur réputation alors qu’elles ont de la famille, des voisins etc. On dit que les Sénégalais n’inventent pas des faits mais ils les travestissent. Personnellement, je ne suis pas d’accord avec cela. Souvent, ils créent des histoires et les montent de toutes pièces. Imaginez une fille qui sortait avec un homme et qui était prêt à l’épouser. Celui-ci va être habité par un doute que rien ne pourra dissiper. Ce n’est pas bien…

Et Ndèye Ndack alors ?

C’est une fille que je respecte beaucoup et que j’admire. Elle est super bien et on est très amis. Elle est professionnelle et fait bien son boulot. Et voilà, là aussi, un beau matin on a vu dans la presse comme cela s’est passé avec Adiouza, qu’elle et moi, sommes ensemble. (Il étouffe un rire nerveux). Parce qu’une fois je suis allé à un combat de lutte et Ndèye Ndack était là-bas avec des Américains et le lendemain c’est parti. L’histoire a été montée de toutes pièces…

Vous voulez dire que les gens prêchent le faux pour connaître le vrai ?

Je veux que les choses soient claires. Ce n’est pas une femme qui est à l’origine de mon divorce avec Viviane. Je ne veux pas, non plus, que les gens pensent que c’est Viviane qui est venue me demander le divorce parce qu’il y avait une autre femme. Ce n’est absolument pas vrai ! Le pourquoi de mon divorce avec Viviane, elle le sait et moi aussi, je le sais. C’est important. Des gens se marient et puis divorcent. Ainsi va la vie. Viviane n’a tué personne. Moi non plus. Ceux qui écrivent, parlent ou commentent, vivent des choses plus graves. Ce n’est pas la fin du monde. Quand des gens sont ensemble, c’est parce que Dieu le veut bien. Si Dieu en décide autrement, ils se séparent en paix. Je ne souhaite aucun mal à Viviane parce que nous avons des enfants. Elle ne me souhaite peut-être pas de mal. Nous étions mariés. Nous avons essayé une deuxième fois, cela n’a pas marché. J’ai encore pris mes responsabilités. Sans rancune. En revanche, ce que je ne vais pas accepter, c’est ce que font certains. Je lis des infos émanant de gens proches de Viviane et qui se mettent à parler des relations des autres. Quand tu te lèves pour parler, soit tu dis des choses soit tu te tais. Or ces gens parlent pour ne rien dire. Je pense que quand on décide de parler, on ne doit pas le faire à moitié. En disant seulement ce qui t’intéresse et en omettant volontairement le reste. Moi, je m’appelle Boubacar Ndour. Je suis un fervent talibé de Seydina Limamoulaye. Je travaille depuis que j’ai 16 ans. Nul ne me verra dans des choses pas claires. Et personne ne m’a encore vu dans dans quelque chose de louche. Mon frère est l’homme le plus en vue au Sénégal. Et pourtant, je ne lui dois rien. Je le respecte et il me respecte. Je suis un chef d’entreprise. Je dirige des personnes. J’ai ma famille. Et il y a des gens pour qui je suis une référence. Je ne vais pas accepter que n’importe qui se lève pour dire certaines choses sous prétexte qu’elles sont sur l’espace public. Je ne connais pas ces choses. Je ne connais que le travail. Vous savez, ce qui m’intéresse, c’est qu’on me confie une mission, comme par exemple gérer le programme d’une télé. Et qu’au bout de onze mois, je fais de cette télé la première chaîne du Sénégal. Ou que je fasse un ou des albums avec une musicienne comme Viviane qui puissent être les meilleurs en Afrique. C’est ce qui m’intéresse.

Mais vous semblez avoir mis une croix sur la collaboration avec Viviane ?

Oui, j’ai mis une croix la-dessus. Chacun a le droit de prendre ses responsabilités et ses propres décisions avec ses propres raisons. Viviane est une artiste qui chante très bien. Elle a beaucoup de talent. Mais Dieu seul est omnipotent et personne d’autre. Or je ne suis ni Dieu ni son prophète. Toutefois j’ai le droit, en travaillant dans une entreprise, d’arrêter si je ne veux plus m’y investir. C’est une décision personnelle. Nul ne m’a demandé de le faire. Je crois en Dieu. Quand je travaille dans quelque chose, je sens ce que je fais. J’avais divorcé avec Viviane. Je m’étais remariée avec une autre. Et cela ne m’avait pas empêché pas de continuer à travailler avec elle. Cette fois-ci, j’ai décidé d’arrêter. Maintenant, que Viviane fasse son chemin. Il y a cinquante millions de producteurs, cinquante millions de managers qui sont peut-être cent mille fois plus forts que moi. Je prie Dieu pour qu’il l’assiste. Moi aussi, j’ai mon avenir, ma carrière artistique et professionnelle à gérer. Mais pour cette collaboration-là, j’ai décidé d’y mettre fin. Sans aucune rancune d’ailleurs.

Les gens pensent que c’est peut être parce que vous êtes fâché que vous avez décidé de la laisser tomber.

Non pas du tout ! Il y a des façons de se fâcher. Une personne peut prendre une décision de manière libre et délibérée. Et quoi qu’on puisse penser, j’ai décidé de fermer un chapitre de ma vie. J’ai décidé de fermer le chapitre Viviane dans le travail et dans le ménage. C’est aussi simple que cela !

Il n’y aura donc pas de troisième mariage ?

Vous savez, c’est comme si ce que nous avons fait était extraordinaire. Combien de personnes au Sénégal se sont mariées avant de divorcer. Pour, par la suite, se retrouver. Il faut faire preuve de sagesse pour tenir compte des enfants et de beaucoup d’autres raisons avant de décider de réessayer. Maintenant, si on réessaie et que cela ne marche pas, on arrête. Je ne dis pas que c’est sa faute ou celle de l’autre. Mais cela n’a pas fonctionné. C’est tout !

On a l’impression que vous vous aimez toujours ?

Vous savez, ce n’est pas ici que je vais dire si on s’aime toujours ou pas. Je suis assez grand. Je pense que la décision que j’ai prise est personnelle.

Même Youssou Ndour n’y peut rien ?

Youssou, je le respecte beaucoup. Mais il ne peut pas me faire faire des choses que je ne veux pas faire. La dernière fois, si Youssou avait décidé de nous remettre ensemble et que je ne le voulais pas, il n’aurait pas insisté. Il l’a fait et je l’ai suivi parce que c’est ce qu’il fallait faire. Aujourd’hui, on est dans un autre chapitre. Ce que la personne vit et ce qu’elle sent, il n’y a qu’elle qui le sait. On était ensemble, on ne l’est plus. « Waa jobbé dem, waa gannaar war ». Que Dieu la protège et me protège ! On a des enfants. Nul ne peut l’enlever. Mais là, ma tête est ailleurs. Vraiment !

Vous êtes le directeur des Programmes de la Tfm, comment se porte la télé ?

Les gens attendaient beaucoup de cette télé. On a travaillé dur. Je ne suis pas le seul. On est une équipe. Je ne peux même pas imaginer prendre tout sur moi. Car, il y a des gens qui sont là-bas et qui font plus que ce que je fais. Mais, en toute honnêteté, je pense que je pouvais faire plus. D’ailleurs, je vais beaucoup plus m’impliquer. C’est un groupe où il y a beaucoup de gens qui ont du talent. Aujourd’hui, je pense qu’avec les résultats sortis lors du dernier sondage Bda, on ne peut que rendre grâce à Dieu. Je le dis, ce n’est que le début. La formule que doit adopter Tfm se dessine maintenant.

Il y a différentes personnalités qui se côtoient à la Tfm, est-ce qu’il y aura la symbiose qu’il faut ?

Il y a un moment où en regroupant différentes personnes, on ne peut avoir une symbiose. C’est la nature humaine qui est ainsi. Il y a quelque chose qui est important et qui relève de la responsabilité morale. Il y a un directeur, un Pdg, etc. Mais tout cela implique une responsabilité morale. Moi, je fais partie de ceux qui essaient d’installer une bonne ambiance de travail en encourageant les gens à communiquer le plus possible. Même si vous n’avez pas les mêmes idées, vous devez vous parler autant que possible pour échanger et qu’il n’y ait pas d’hypocrisie. Je pense qu’il y’a des gens assez responsables à la Tfm. Seul le cadre de travail les réunit. Ceux qui ne se sentent pas dans ce cadre-là, je pense qu’ils n’ont pas leur place là-bas. Je pense qu’il faut que les gens s’approprient la chaîne. D’ailleurs, on y œuvre. C’est le souhait de l’initiateur de cette télé.

You vient avec son mouvement « Fekke ma ci boolé » de plonger dans la politique. Comptez-vous le soutenir ?

Avant « Fékké ma ci boolé », avant « Y’en a marre », j’avais monté un mouvement. J’ai mon récépissé depuis 2006. Cela remonte à longtemps. Allez voir dans les archives et vous verrez. Je suis jeune mais j’ai toujours eu cette vision. Je l’avais annoncé dans une émission « show tout chaud » que j’avais faite avec Mame Maty Fall sur la 2sTv. Youssou, c’est mon grand frère. On collabore ensemble. Il a ses idées, j’ai les miennes. Ceux qui me connaissent savent que j’aime bien mes idées. Je les défends bien. Pour le moment, c’est « Fékké ma ci boolé » qu’il a mis en place. Je ne suis pas la personne qui est derrière le mouvement de Youssou. S’il arrive un moment où je dois m’impliquer, jouer un rôle et que cela corresponde avec mes convictions personnelles, je le ferais. Je peux plonger dans la mer pour lui. Mais il faut que j’en sois convaincu. C’est mon frère. Je suis toujours avec lui. Il vient de commencer, on est derrière et on pousse. Tout ce qu’il entreprend on est là pour le soutenir. Mais je n’hésiterais pas à lui dire : « Grand », je ne suis pas d’accord, je ne suis pas convaincu ! Et je pense qu’une personne comme Youssou a besoin de cela. Si on doit se chamailler, on le fait. On l’a fait souvent fait, d’ailleurs.

Quels sont les projets de Bouba ?

Mes projets (il hésite). Vous savez, la télé me prend énormément de temps. Mais j’ai un projet qui me tient à cœur qui est le projet « Xeex sibirù ».C’est un projet que j’ai créé au Sénégal et qui est en train de prendre une autre dimension. Le travail qu’on est en train de faire ici est copié en Tanzanie, au Cameroun, au Nigeria l’année prochaine, au Tchad. Le projet est en train de devenir panafricain. Et ce sont des Africains qui ont eu l’idée de le faire. J’ai beaucoup de surprises qui vont être révélées au grand jour. Même si je sais que dans la musique, il est très difficile de gagner sa vie. Financièrement, cela ne porte plus. Mais c’est ma passion. Je vais continuer. Je fais des productions pour le plaisir de les faire. Je n’y gagne rien. Sur tous les derniers albums que j’ai réalisés, inclus celui de Viviane qui marche fort, je n’y gagne rien. C’est juste pour le « fun ». J’ai beaucoup de projets.

Vous ne voulez pas en parler ?

Wait and see. J’ai énormément de projets sur l’international et tout. Et comme je suis libre, je peux m’envoler où je veux.

Comment passez-vous vos journées en tant que célibataire ? Ma vie, je la vis normalement. Je suis « marié » à mes enfants. Ils sont ma raison de vivre. Je concentre toute mon énergie sur eux. Mais aussi, je suis un homme, j’aurai une petite copine incha’allah

Vous avez une petite amie, là ?

Oui bien sur !

Qui c’est, on veut savoir ?

Ce n’est pas important. Là, je m’occupe de mes enfants comme je vous ai dit. Et je profite de la vie. Le mariage n’est pas imminent. Mais je suis un homme et je suis musulman. Je suis quelqu’un de naturellement responsable. Si je vois une femme en qui j’ai confiance j’envoie mes parents demander sa main.

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