[Chronique] Comment l’arme pourrait se retourner contre l’APR. Par Abdoulaye Mbodji

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Le co-fondateur de l’alliance pour la république et non moins vice-président du parti, Alioune Badara Cissé, est toujours isolé du parti. A coup sûr l’homme vit des heures dificiles de sa vie politique. Le parti qu’il a aimé, qu’il a vu grandir, celui dont il a vécu les heures sombres de son existence, n’est pratiquement plus le sien. Il s’en est éloigné. Que dis-je il en a été éloigné. Les rasiosn de sa supposée brouille avec le président Macky Sall, restent toujours énigmatiques. Même si la presse dans ses investigations a cherché à les comprendre et nous en a livré quelques unes. Nous ne revenons pas sur ces raisons avancées par la presse car à mon avis elle ne sont que la face visible de l’iceberg. Tant les raisons doivent être énigmatiques. L’homme ne dit rien de ces raisons. Le président Macky sall non plus. Ce que nous savons c’est que le compagnon de galère d’hier est devenu manifestement l’homme sur qui le président ne peut plus compter. Il est écarté du cercle intime du président, écarté des instances décisionnelles du parti. Et c’est là tout le danger. Depuis son isolement il y a un peu plus d’un an, ABC n’a rien perdu de son crédit politque. [xalima] L’homme paraît serein. Fin stratège, tout le monde le sait, l’homme doit surement élaborer sa stratégie. Et l’événement qui s’est produit tout dernièrement, la sortie d’Idrissa Seck de Benno Bok yaakaar, risque de compliquer sérieusement la donne politque pour l’APR. L’autre fin stratège, Idrissa Seck, toujours en quête de stratégie de nuisance à l’encontre de Macky Sall ne manquera pas de faire des yeux doux à Alioune Badara Cissé. Cette alliance a toutes les possibilités de se réaliser. L’isolement d’Alioune Badara Cissé commence à être désespérément long. Une situation qui pourrait forcément l’amener à décider à tout faire perdre à l’APR puisque le parti a cherché à tout lui faire perdre. Cette alliance risque bien de se réaliser. Et c’est l’APR qui en sera la grande perdante. Alioune Badara Cissé a des amis au sein de l’APR. Des amis qui lui sont fidèles et certainement prêts à le suivre. Pour l’heure Alioune Badara Cissé n’a pas rendu sa carte de l’APR. Et l’APR a intérêt à le réhabiliter. Avant qu’il ne soit trop tard.
Abdoulaye Mbodji
Journaliste (promotion 2005/ Ecole Supérieure de Journalisme de Paris).
Abc-macky

15 Commentaires

  1. Merci professeur, si le président en arrive à se séparer avec son compagnon de traversée du désert, le numéro 2 de l’APR, il y a une raison. Si ABC veut être suivi, il doit dire pourquoi entre son camarade et lui , ça ne marche pas. Je n ai jamais entendu Seydou Guéye, Abou Abel Thiam,Mbaye Ndiaye parler de la nécessié du retour de ABC « XAM BA CA »

  2. La drogue a t-elle emporté Alioune Badara Cissé?
    Les choses sont allées très vite. Le Président Macky Sall devait se séparer dans l’urgence de son ministre des Affaires étrangères et de son ministre de l’Intérieur. Alors, le remaniement gouvernemental, qui était dans l’air, a été précipité.
    Le Président Macky Sall s’est senti obligé de procéder à un remaniement de son premier gouvernement. Les griefs accumulés contre de nombreux ministres ne lui laissaient plus le choix. Il était obligé de réagir dans l’urgence. Le sort du numéro 2 de son parti, Me Alioune Badara Cissé (Abc) était scellé depuis plusieurs semaines. En effet, les autorités américaines avaient saisi le Président Macky Sall pour lui rendre compte de contacts inquiétants entre le chef de la diplomatie Sénégalaise et un proche de John Obi, un nigérian, trafiquant de drogue dure, incarcéré depuis plusieurs années au Sénégal (condamné à sept ans de travaux forcés pour trafic international de drogue et association de malfaiteurs). Les Américains avaient clairement fait comprendre au président Sall, que Alioune Badara Cissé ne devrait plus rester à son poste eu égard aux graves faits révélés par la conversation interceptée avec un frère de John Obi. Le département d’Etat américain avait dépêché son Ambas sa deur Levis Lukens auprès de Ma¬cky Sall pour lui expliquer qu’il serait difficile à l’administration américaine de continuer à collaborer avec Alioune Ba dara Cissé

  3. Il s’y ajoute que quel ques jours avant la visite du Président François Hollande à Dakar, les services de renseignements avaient dressé une note qui éclaboussait gravement le ministre Alioune Badara Cissé. Les Rg indiquaient une rencontre entre Abc et certains milieux d’investisseurs étrangers qui ont de nombreux intérêts au Sénégal. Au cours de la rencontre, le ministre des Affaires étrangères du Sénégal se serait engagé pour protéger les intérêts de ce groupe étranger au Sénégal moyennant certains avantages dont un bien immobilier à Paris. On se demande bien si ce n’est pas à cause de cette affaire que le Président Macky Sall mettait en garde, le jour de la Tabaski, ses collaborateurs quant à des actes de trafic d’influence. En sacrifiant Aliou ne Badara Cissé, Macky Sall semble ainsi conforter non seulement son slogan «la patrie avant le parti» mais aussi confirme la ligne de conduite qu’il se fixe en affirmant «qu’il ne protégerait personne».
    Il s’y ajoute que quel ques jours avant la visite du Président François Hollande à Dakar, les services de renseignements avaient dressé une note qui éclaboussait gravement le ministre Alioune Badara Cissé. Les Rg indiquaient une rencontre entre Abc et certains milieux d’investisseurs étrangers qui ont de nombreux intérêts au Sénégal. Au cours de la rencontre, le ministre des Affaires étrangères du Sénégal se serait engagé pour protéger les intérêts de ce groupe étranger au Sénégal moyennant certains avantages dont un bien immobilier à Paris. On se demande bien si ce n’est pas à cause de cette affaire que le Président Macky Sall mettait en garde, le jour de la Tabaski, ses collaborateurs quant à des actes de trafic d’influence. En sacrifiant Aliou ne Badara Cissé, Macky Sall semble ainsi conforter non seulement son slogan «la patrie avant le parti» mais aussi confirme la ligne de conduite qu’il se fixe en affirmant «qu’il ne protégerait personne».
    Il s’y ajoute que quel ques jours avant la visite du Président François Hollande à Dakar, les services de renseignements avaient dressé une note qui éclaboussait gravement le ministre Alioune Badara Cissé. Les Rg indiquaient une rencontre entre Abc et certains milieux d’investisseurs étrangers qui ont de nombreux intérêts au Sénégal. Au cours de la rencontre, le ministre des Affaires étrangères du Sénégal se serait engagé pour protéger les intérêts de ce groupe étranger au Sénégal moyennant certains avantages dont un bien immobilier à Paris. On se demande bien si ce n’est pas à cause de cette affaire que le Président Macky Sall mettait en garde, le jour de la Tabaski, ses collaborateurs quant à des actes de trafic d’influence. En sacrifiant Aliou ne Badara Cissé, Macky Sall semble ainsi conforter non seulement son slogan «la patrie avant le parti» mais aussi confirme la ligne de conduite qu’il se fixe en affirmant «qu’il ne protégerait personne».
    Madiambal Diagne

  4. La drogue a t-elle emporté Alioune Badara Cissé?
    Les choses sont allées très vite. Le Président Macky Sall devait se séparer dans l’urgence de son ministre des Affaires étrangères et de son ministre de l’Intérieur. Alors, le remaniement gouvernemental, qui était dans l’air, a été précipité.
    Le Président Macky Sall s’est senti obligé de procéder à un remaniement de son premier gouvernement. Les griefs accumulés contre de nombreux ministres ne lui laissaient plus le choix. Il était obligé de réagir dans l’urgence. Le sort du numéro 2 de son parti, Me Alioune Badara Cissé (Abc) était scellé depuis plusieurs semaines. En effet, les autorités américaines avaient saisi le Président Macky Sall pour lui rendre compte de contacts inquiétants entre le chef de la diplomatie Sénégalaise et un proche de John Obi, un nigérian, trafiquant de drogue dure, incarcéré depuis plusieurs années au Sénégal (condamné à sept ans de travaux forcés pour trafic international de drogue et association de malfaiteurs). Les Américains avaient clairement fait comprendre au président Sall, que Alioune Badara Cissé ne devrait plus rester à son poste eu égard aux graves faits révélés par la conversation interceptée avec un frère de John Obi. Le département d’Etat américain avait dépêché son Ambas sa deur Levis Lukens auprès de Ma¬cky Sall pour lui expliquer qu’il serait difficile à l’administration américaine de continuer à collaborer avec Alioune Ba dara Cissé.

  5. Il s’y ajoute que quel ques jours avant la visite du Président François Hollande à Dakar, les services de renseignements avaient dressé une note qui éclaboussait gravement le ministre Alioune Badara Cissé. Les Rg indiquaient une rencontre entre Abc et certains milieux d’investisseurs étrangers qui ont de nombreux intérêts au Sénégal. Au cours de la rencontre, le ministre des Affaires étrangères du Sénégal se serait engagé pour protéger les intérêts de ce groupe étranger au Sénégal moyennant certains avantages dont un bien immobilier à Paris. On se demande bien si ce n’est pas à cause de cette affaire que le Président Macky Sall mettait en garde, le jour de la Tabaski, ses collaborateurs quant à des actes de trafic d’influence.

  6. La drogue a t-elle emporté Alioune Badara Cissé?
    Les choses sont allées très vite. Le Président Macky Sall devait se séparer dans l’urgence de son ministre des Affaires étrangères et de son ministre de l’Intérieur. Alors, le remaniement gouvernemental, qui était dans l’air, a été précipité.
    Le Président Macky Sall s’est senti obligé de procéder à un remaniement de son premier gouvernement. Les griefs accumulés contre de nombreux ministres ne lui laissaient plus le choix. Il était obligé de réagir dans l’urgence. Le sort du numéro 2 de son parti, Me Alioune Badara Cissé (Abc) était scellé depuis plusieurs semaines. En effet, les autorités américaines avaient saisi le Président Macky Sall pour lui rendre compte de contacts inquiétants entre le chef de la diplomatie Sénégalaise et un proche de John Obi, un nigérian, trafiquant de drogue dure, incarcéré depuis plusieurs années au Sénégal (condamné à sept ans de travaux forcés pour trafic international de drogue et association de malfaiteurs). Les Américains avaient clairement fait comprendre au président Sall, que Alioune Badara Cissé ne devrait plus rester à son poste eu égard aux graves faits révélés par la conversation interceptée avec un frère de John Obi. Le département d’Etat américain avait dépêché son Ambas sa deur Levis Lukens auprès de Ma¬cky Sall pour lui expliquer qu’il serait difficile à l’administration américaine de continuer à collaborer avec Alioune Ba dara Cissé. Il s’y ajoute que quel ques jours avant la visite du Président François Hollande à Dakar, les services de renseignements avaient dressé une note qui éclaboussait gravement le ministre Alioune Badara Cissé. Les Rg indiquaient une rencontre entre Abc et certains milieux d’investisseurs étrangers qui ont de nombreux intérêts au Sénégal. Au cours de la rencontre, le ministre des Affaires étrangères du Sénégal se serait engagé pour protéger les intérêts de ce groupe étranger au Sénégal moyennant certains avantages dont un bien immobilier à Paris. On se demande bien si ce n’est pas à cause de cette affaire que le Président Macky Sall mettait en garde, le jour de la Tabaski, ses collaborateurs quant à des actes de trafic d’influence.

  7. LE PROGRAMME FENDI PRONE PAR MACKY SALL EST EN MARCHE AU FAITE L’INTELLIGENT PROGRAMME INVENTE PAR MACKY MARIEME SALL EST SIMPLE
    IL A DONNE L’ORDRE A LA SDE-SONES DE FERMER LES ROBINETS
    ENSUITE POMPER LES EAUX DES ZONES INONDEES LES METTRE DANS DES CAMIONS CITERNES ET FAIRE LA DISTRIBUTION AUX DAKAROIS
    BIENTOT TOUTES LES ZONES SERONT FENDI CAR LES DAKAROIS VONT BOIRE TOUTES LES EAUX STAGNANTES
    C’EST INTELLIGENT NON VIVE LE PROGRAMME FENDI TANT LES ZONES NE SERONT PAS FENDI LA SDE N’OUVRIRA PAS LES VANNES
    A VOTRE SANTE CHERS AMIS DAKAROIS NOUS DANS LES REGIONS ON EST HABITUE A L’EAU DE PLUIE

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