Création d’un cabinet de consultance : Me Wade cherche fortune avec les projets du Sénégal

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Wade International Consulting (WIC), c’est la trouvaille de l’ancien chef de l’Etat sénégalais qui refuse d’aller à la retraite malgré son âge très avancé. Par ce cabinet de consultance, le prédécesseur de Macky Sall cherche de l’argent.

L’As raaporte dans sa livraison du jour que l’ancien président Me Wade entend mener une nouvelle vie par la création d’un cabinet de consultance « au service de l’Afrique ». Et, pour appâter ses potentiels clients, Me Wade n’est pas allé chercher loin. Il a tout bonnement posté sur son site, les grands projets du Sénégal sous son magistère: de l’aéroport international Blaise Diagne au Grand Théâtre en passant par l’autoroute, le Monument de la renaissance et les logements du Plan « Jaxaay ». Les images défilent sans cesse sur le site créé pour la promotion de WIC.

Et nos confrères de L ‘As d’ajouter que, c’est vrai qu’il a inspiré ces projets dont certains sont réalisés et d’autres en cours de réalisation et personne ne peut lui dénier ce droit, mais ils ne sont pas pour autant sa propriété. Ce sont des projets du Sénégal  financés, pour la plupart, à partir de prêts.

Source: L’As

5 Commentaires

  1. Au Sénégal on ramène tout à l’argent !
    Ce grand homme pétri de qualités et de courage dont peut de sa classe d’âge au Sénégal peuvent se prévaloir aime travailler au Service de son pays et de son continent, pour ne pas dire de toute l’humanité!
    Aller à la retraite, pour un intellectuel de son acabit, serait une perte pour les pays d’Afrique qui voudraient profiter de son imagination très fertile! A cet âge, c’est plus pour le plaisir de faire de grande chose que pour des milliards, à moins qu’il veuille en faire don à une fondation qui porterait un jour son nom.
    Nous aurons tous, qu’on le dise ou pas des raisons de lui dire un grand merci !

  2. En bon mouride, il montre à tous les jeunes que le travail, c’est son viatique.il n’ y a pas d’âge pour cesser de travailler. Tant que les moyens physiques et intellectuelles le permettent, on doit travailler, car loin d’être une sinécure, le travail est un sacerdoce. Malheureusement, chez nous, on n’a pas cette mentalité du culte du travail. On envoie les gens à la retraite et leur dit de se reposer, alors que dans des des pays d’Amériques ou end’ Asie, les gens n’arrêtent pas de travailler. Les jeunes doivent s’inspirer du courage de Wade et travailler jusqu’à leur mort, au lieu de choisir de rester dépendants et constituer une charge pour ses enfants et la société en général.

  3. Les sénégalais vivants au Qatar rencontrent une situation très difficile à cause des passeports numérisés car depuis l’instauration de ce dernier, l’ambassade du Sénégal est incapable de venir en aide à ses ressortissants, puisqu’il ne peut établir les nouveaux passeports ni prolonger leur durée de validité.
    En conséquence, cela crée un deuxième problème s’agissant la validité du séjour car le séjour dépend de la validité du passeport et les lois du pays hôte exigent que le passeport soit valable au moins six mois pour que le détenteur du séjour soit en règle. En ce qui concerne les nouveaux nés, ils doivent être impérativement ajoutés sur les passeports de leurs mères ou en avoir un. Et au cas où la mère détient un passeport numérisé il sera impossible de l’ajouter.
    Ainsi il est donné au parent un délai d’un mois pour obtenir un passeport à son enfant, sinon il subira une amende qui se lève à 20 Qatari Riyal équivalent à 2500 FCFA quotidiennement.
    Pour résoudre ce problème c’est souvent la mère qui voyage avec son bébé et laisse derrière elle, ses enfants et son mari qui doit travailler et s’occuper des enfants.
    Dans bien des cas, l’ambassade refuse de délivrer un sauf conduit pour aller faire confectionner le nouveau passeport ou faire le renouvellement au niveau de l’Arabie Saudite pays le plus proche .
    Maintenant imaginer les difficultés qu’une famille de quatre à cinq membres va subir et rencontrer pour renouveler ces passeports.
    Les familles sont ainsi obliger de revenir au Sénégal pour se faire confectionner leurs passeports alors que le billet couter cher (plus d’un million) ; ils sont même obligés de s’endetter pour pouvoir acheter leurs billets car leur travail dépend de la validité de leur séjour.
    Nous ne comprenons cette situation car les ressortissants de pays limitrophes comme la Gambie obtiennent sur place leurs places sans difficultés.
    Nous sollicitons solennellement les autorités sénégalaises compétentes et concernées de nous aider en envoyant un agent à Doha pour faciliter à ces familles l’obtention de passeport.

    Amicale des Ressortissants et Parents sénégalais vivant à Doha- Qatar

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