C’est la plus importante cyberattaque de l’histoire. Le président de Microsoft, Brad Smith, est monté au créneau, ce dimanche, pour aviser les Etats contre la tentation de cacher des failles informatiques qu’ils auraient repérées.
Il affirme que les gouvernements et les services de renseignements portent une part de responsabilité dans la propagation du virus WannaCry qui a été utilisé, depuis le 12 mai, dans cette cyberattaque d’ampleur mondiale. En effet, ceux-là sont accusés de détecter des failles de sécurité dans les systèmes d’exploitation pour leurs propres objectifs. Des données qui, selon lui, sont ensuite volées et utilisées par des hackers.
Xalima, la rédaction