Devant la Commission d’instruction de la Crei: Bara Tall accable Karim

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Xalima news – Devant les juges de la Commission d’instruction (CI) de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), Bara Tall, le patron de Jean Lefebvre, anéanti par le défunt régime de Me Abdoulaye Wade, a complètement éclaboussé Karim Wade présentement écroué pour présomption d’enrichissement illicite. Pour preuve, Libération révèle qu’il a versé à son témoignage une lettre très compromettante qui porte la signature de Karim Wade. Pour le moment, c’est le mystère total autour de cette missive. Seule certitude : cette lettre a été adressée par Karim Wade à Bara Tall. De plus, elle contenait des instructions.

Source: Libération

3 Commentaires

  1. Quelle est la valeur juridique d’un témoignage de Bara Tall dans une affaire de Karim Wade ? Ce n’est là qu’une preuve de plus qu’on est bien dans un dossier politique que l’on tente de peindre en judiciaire. Comment peut-on prendre l’ennemi de quelqu’un pour en faire un témoin ? La CREI serait peut être pardonnable si elle l’ignorait, mais elle le sait comme tout sénégalais le sait. Il y a quand même des critères minimales pour qu’une justice qui se respecte puisse prendre le témoignage de quelqu’un. Or Bara Tall a été condamné par la justice sénégalaise pour faux et usage de faux en écriture. C’était lors du dossier « Porter Presse ». Youssou Ndour, Bara Tall et Cheikh Tall Dioum était des co-propriétaires du groupe de presse 7 Com (Le Populaire, la défunte radio 7 FM et l’imprimerie Roto 7). Cheikh Tall qui devait une dette à Pierre Ayim se décide à la payer en lui cédant sa part du groupe. Youssou en voyage musical, Bara Tall confectionna une fausse lettre, avec une fausse signature de Youssou Ndour, qui disait que Youssou lui donne tous les pouvoirs pour le représenter au conseil d’administration du groupe. Riche de son propre faux, Bara convoqua le CA où il était seul avec Pierre Ayim. De ce CA il prit beaucoup de décisions (puisqu’il représentait à lui seul deux voix par le faux), particulièrement la nomination de Yakham Mbaye, actuel directeur de Libération, à la tête du Populaire. Youssou Ndour de retour contesta ces décisions, Bara refusa de les changer. Youssou déposa une plainte. Ce fut le « Porter Presse ». Bara instrumentalisa Yalham Mbaye et tous ses journalistes pour chaque jour titrer des ignominies sur Youssou Ndour et sa famille. En réponse Youssou composa la chanson « Porter Presse, Justice, Justice ». Lorsque Youssou gagna son procès, Bara refusa de s’appliquer. Les sénégalais qui n’ont pas oublié se souviendront que pendant au moins 4 jours, deux Populaires différents ont été édités et vendus dans Dakar, tout au moins, celui de Bara avec Yakham et celui de Youssou, et aussi, riche de sa décision de justice, Youssou requit la gendarmerie qui expulsa Yakham et ses journalistes.
    Et que se passe-t-il aujourd’hui ? Encore les médias effacent tout ceci de la mémoire des sénégalais pour nous tympaniser avec un Bara Tall avec une « lettre qui enfonce ». C’est pas le même qui croyait par une lettre enfoncer Youssou Ndour ?

  2. accablez sans preuve palpable…hihi et puis venant de bara tall l ami de macky….hihi ca fait drole cas meme….hihihi senegal le pays des incapables…on dirait ke le fils de Wade est le plus intelligent des senegalais…vraiment ca fait rire…macky moom il grossit rek comme un idiot pendant que son peuple maigrit

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