Djibo ka, même s’il juste injustes les découpages opérés à Sangalkam, Mbane et Bambilor, croit savoir que les populations ont été manipulées, ne comprenant pas leurs « réactions fortes » par ailleurs.
Il s’était d’ailleurs rendu à Sangalkam pour des raisons de parenté avec la victime du tir du gendarme, Malick Ba. Djibo Ka pense même que son cousin a été sacrifié. « Mais comme Malik est mon cousin, je suis passé là bas. J’ai dit qu’il y a la main de Dieu. Ils ont tort de la sacrifier comme ça. Ceux qui l’ont sacrifié, étaient chez eux tranquillement. C’est un martyr de la démocratie« , a t-il déclaré au cours de l’entretien avec le journal « Le quotidien »
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