Endettement : le Sénégal a- t -il triché?? (Par Ibrahima SENE)

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Ce que l’on appelle  » tricherie du gouvernement »  ne l’est aucunement !

 Le gouvernement a toujours parlé de l’encours de ses dettes, selon les  critères retenus par l’UEMOA et acceptés par le FMI et la Banque mondiale.

C’est ce qui fait  que le plafond de la dette à 70% du PIB, calculé selon ces critères,  a  autorisé nos Chefs d’Etat,  à crier contre ce qu’ils appellent un  » acharnement » sur leur politique d’endettement pour financer leurs besoins en infrastructures, alors que la dette des pays des grandes puissances dépasse de loin leur PIB en pourcentage, contre seulement 45% pour l’ Afrique! 

La réplique de ces Institutions de Bretton Woods est  donc venue pour leur reprocher que  leur endettement ne prend pas en compte celui des autres Entités publiques, contrairement à ces grandes puissances.

 C’est pour cette raison qu’elles ont avancé  que  « le taux d’endettement public » au Sénégal, dont le Président est en première ligne  pour dénoncer cet «  acharnement », est en réalité près du plafond de l’UEMOA de 70%, tout en ne précisant pas que ce plafond est calculé pour « l’endettement du gouvernement » et non pour « l’endettement public » pour lequel il n’ y a aucun plafond!

En vérité, pour « l’endettement public », ce qui est retenu, c’est la capacité de remboursement  des Gouvernements, par rapport à leurs recettes fiscales, ou d’exportation, et non par rapport leur PIB.

En effet, si  s’était le plafond  de l’endettement public sur le PIB » qui était plafonné à 70%, même les Etats Unis seraient au centre des critiques des Institutions de Bretton Woods sur le niveau de leur endettement, pour cause de sur- endettement excessif.

Donc , soyons vigilants pour éviter d’être porteur de la stratégie des Institutions de Bretton Woods, visant à contrer les critiques  » d’acharnement sur le niveau de la dette » de nos pays, pour pouvoir continuer à freiner le financement public d’infrastructures nécessaires à notre développement, en nous recommandant de laisser cela au privé.

Le FMI fait donc un amalgame entre «  endettement du gouvernement »  et « endettement public » pour tenter de défendre leur objectif de perpétuer la dépendance de nos Economies, sous prétexte de paver le terrain au privé !

Nos pays l’ont essayé  durant deux décennies, sous les programmes d’ajustement, sans jamais voir le privé, local ou international, prendre le relais de l’Etat qui s’est désengagé.

Aujourd’hui que nos Etats aient pris conscience de cette fourberie, et décident de prendre leur responsabilité, ces Institutions  cherchent, pour les contrer,  à les mettre en mal avec leurs opinions, à travers des réseaux sociaux à leur solde.

 Refusons donc,  de nous faire instrumentaliser à cet effet, comme le sont, chez nous,  certains Economistes du genre Meïssa Babou, ou Hommes politiques du genre Mamadou Lamine Diallo, qui passent le plus clair de leur temps à indexer la politique d’endettement du Président Macky Sall !  

Exigeons, par contre, le droit de nos Chefs d’Etat à contracter  des dettes pour financer nos infrastructures, tout en  prenant  en compte  nos capacités de remboursement  à partir de nos recettes fiscales et/ou  de nos exportations, pour  éviter  d’entraver nos capacités de financement budgétaire des besoins sociaux des populations.

 Donc, être contre le Président Macky Sall ne devrait pas rimer avec une  complicité avec les Institutions de Bretton Woods,  dans leur stratégie de  à blocage de  notre développement économique et social, et de réduction de notre fracture sociale et territoriale,  pour perpétuer  ainsi notre Dépendance vis à cis d’elles et des grandes puissances occidentales

Tous ceux qui ont à cœur la souveraineté de nos peuples sur leur destin sont ici interpellés !

         Now we see the light, Stand Up for our  Rihgt !           Never Give Up our fight !

                                          Ibrahima SENE/PIT/SENEGAL

                                              Dakar le 15 janvier 2020

2 Commentaires

  1. Ibrahima Séne du PIT : « Le quotidien de 2014 risque de rattraper très tôt Macky Sall »

    L’allié dans le cadre de la mouvance présidentielle Benno Bokk Yaakaar (BBY) sans complaisance envers Macky Sall. Dans une interview du journal « l’enquête », Ibrahima Séne du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT) qui réagit par rapport au discours de fin d’année, ne manque pas de lui préciser que « le quotidien de 2014 risque de le rattraper très tôt». L’interview.
    Un discours de fin d’année devrait être avant tout, un bilan officiel sur l’état de la Nation, décliné au plan économique, social, culture, et au plan de sa sécurité intérieure et extérieure, afin de mettre l’accent sur les principaux défis auxquels le pays aurait à faire face durant l’année nouvelle qui pointe à l’horizon, et les voies et moyens qu’il faudrait mettre en œuvre pour les relever.

    De ce point de vue, le Chef de l’Etat s’est d’emblée placé sur ce qu’il voudrait faire, pas seulement sur l’année qui va venir, mais surtout, sur tout ce qui reste de son mandat, et même, hors de son mandat, avec son programme « Sénégal Emergent » (PSE) qui a pour horizon 2023, alors que son mandat termine en 2017 selon les engagements qu’il a pris devant la Nation.
    L’on a eu l’impression d’un « discours programme nouveau », différent, sur bien des points, de la Déclaration de Politique Générale que Madame le Premier Ministre venait de décliner, deux mois avant, à l’Assemblée nationale.

    En Effet, Madame le Premier Ministre déclarait que son « Programme s’inscrit dans le « Yonnu Yokute », alors que le Chef de l’Etat nous dit que son Programme c’est le PSE qui intègre le celui de « Yonnu Yokute » et celui de la « Stratégie Nationale de Développement Economique et Social » (SNDES), qui est la nouvelle version du « Programme National de Développement Economique et Social » (PNDES), que Wade et les partenaires Techniques et Financiers (PTF) avaient concocté en 2011.
    Ainsi, par rapport à la Déclaration de Politique Générale de l’ancien Premier Ministre Abdoul Mbaye, il n’y a que les « conclusions des Assises nationales » qui ont manqué !

    En fait, ces « Conclusions » ne sont plus dans le Programme de réforme du Président Macky Sall, ni pour 2014, ni pour son Programme de long terme. A cet effet, rien n’est prévu dans le budget de 2014, encore moins dans sons discours de nouvel an, pour tenir un référendum sur les Institutions, qui est la réforme phare des Assises nationales. La seule réforme dont il a fait référence, c’est celle de l’Acte III de la Décentralisation, qui n’a été ni objet d’un large consensus, ni conforme aux « Conclusions des Assises nationales ».

    Il va ainsi faire la prouesse de braquer le peuple des Assises nationales contre lui. C’est surtout, dans le contenu concret de son discours programme, que l’on peut que l’on peut tenter d’apprécier si celui –ci a répondu à l’attente des Sénégalais. C’est ainsi que, sur la sécurité intérieure, le Président de la République a évoqué les négociations encours pour la paix en Casamance, tout en précisant les positions de l’Etat qui n’ont jamais fait avancer ce dossier, à savoir : « insertion de ceux qui veulent se désarmer » et « programme de reconstruction de la Casamance » !

    La question de savoir que faire avec ceux qui ne veulent pas désarmer et avec ceux qui se sentent exclus de l’élaboration des programmes de reconstruction de la Casamance et de leur mise en œuvre pour faute d’une approche inclusive, reste encore sans réponse, faisant que l’optimisme du Chef de l’Etat sur l’imminence de la paix, laisse perplexe, et pose plus de questions qu’il n’en résout.

    Pour la sous région et la région Afrique, l’accentuation de l’alignement du Chef de l’Etat sur les stratégies géopolitiques de la France et des USA, ( transfert de la Direction du service anti terroriste de la France au Sénégal, Installation à Dakar de l’Etat major de l’armée Française de lutte anti terroriste au Sahel , et l’accréditation d’un Représentant du Gouvernement américain pour la Casamance) replace notre pays dans la situation peu enviable de « parias des Autorités de la CEDEAO et de l’UA », comme l’illustre la dépêche d’AFRICA 24 en ces termes :

    « Une réunion d’urgence des chefs d’Etat africains consacrée à la situation en République centrafricaine et au Soudan du Sud, deux pays où les combats ont fait rage au cours des dernières semaines, a eu lieu hier lundi 29 décembre 2013 à Banjul (Gambie). Cette réunion de l’Union Africaine va mettre l’accent sur la nécessité d’une réaction urgente de l’UA, afin de mettre un terme à la violence inter communautaire en RCA, où des milliers de personnes ont été tuées depuis le début de la crise au mois d’août». Le Président Macky Sall est dans la voie d’être perçu en Afrique comme son prédécesseur honni. Tout cela risque de nous éloigner d’une paix imminente en Casamance, tout en transformant notre pays en cible du terrorisme islamiste dans notre sous région.

    Ensuite le Président de la République a parlé des 150 milliards de « ressources souveraines » obtenues, et des « 100 milliards attendus », sans nous dire qu’il s’agit d’un crédit de la Banque Atlantique installée à Dakar et dans quelles conditions ce crédit est octroyé au Fonsis , qui n’a été doté que de 3 milliards dans le budget 2014 ! Quand au PSE qu’il a immédiatement évoqué après, ses ambitions de croissance durable du PIB de 7% , et du revenu par habitant entre 2014 et 2023 de 4 à 5 % , soit un niveau inférieur à celui du Ghana qui , entre 2005 et 2011, a atteint 5,4% sans pour autant être considéré « pays émergent » !

    Le « Sénégal Emergent » ne sera donc pas émergent en 2023, malgré les 2,5 milliards payés à cet effet !
    Ensuite, le Chef de l’Etat nous a parlé des 38 milliards d’économie pour 2014 suite à sa gestion « sobre, rationnelle et transparente » du budget, mais il a omis de dire que 20 milliards de cette économie résulte de la diminution de la subvention SENELEC, avec toutes ses conséquences sur les tarifs, dont l’augmentation est rejetée par les Sénégalais qui sont, sur cette question, en ordre de bataille.

    Les couches populaires et les travailleurs risquent de se braquer contre toute hausse des tarifs de l’électricité, contre la quelle ils se sont toujours battus sous Wade. C’est aussi une baisse des loyers pour logements conventionnés pour 11 milliards, sans préciser que, pour la location de bâtiments administratifs et logements à l’étranger (Diplomates et Consuls), il a prévu des dépenses de 19,5 milliards ! Il a déshabillé Paul pour habiller Jean.

    De même, ce que l’Audit du fichier de la Fonction publique a montré comme des irrégularités se chiffrant à 48 milliards, lui aura permis de pouvoir recruter dans son Cabinet, 13 nouveaux Conseillers spéciaux et 10 Chargés de mission, et au Secrétariat Général de la Présidence, 9 nouveaux Conseillers Techniques et 13 Chargés de mission, qui ne sont rien d’autres que du personnel politique, qui lui est nécessaire dans une année électorale comme 2014, où se tiennent les élections locales !
    Cela a plus que doublé les Dépenses de personnel au Cabinet de la Présidence de la République, qui sont passées de 556.541.820 FRS à 1.308.294.280 FRS CFA ! Ainsi, le Chef de l’Etat semble revenir sur sa gestion vertueuse !

    Cependant, c’est quand le Chef de l’Etat a parlé de la campagne agricole de 2012/2013, en occultant qu’elle sera pire, sur tous les plans que l’année dernière, et que la disette frappe déjà dans plusieurs localités, qu’il est devenu clair que son objectif, dans son discours, n’est pas de faire prendre conscience aux Sénégalais des problèmes aux quels le monde rural est confronté à l’issu de cette campagne, mais , juste, pour annoncer une politique agricole de continuation de celle héritée de Wade, que ce dernier avait du mal à matérialiser face à la mobilisation des organisations de défense des intérêts de l’exploitation agricole familiale.

    Le Chef de l’Etat, dans son discours, a fait abstraction de cette résistance, pour énoncer la continuation du Projet de Développement Intégré Durable de l’Agrobusiness au Sénégal ( PDIDAS) initié par Wade et la Banque mondiale, pour aménager des terres dans le bassin du Fleuve Sénégal, dont 60% seront attribuées à l’Agrobusiness. Ce projet d’un montant de 42 milliards de Frs Cfa, que le Chef de l’Etat a évoqué, est un emprunt de l’Etat du Sénégal pour développer l’Agrobusiness au détriment de l’exploitation agricole familiale dans les zones concernées. Notre pays s’endette ainsi pour se « faire beau » aux yeux de l’Agrobusiness !

    C’est aussi, avec les 30. 000 hectares des « Domaines Agricoles Communautaires » (DAC) la continuation, sous un vocable nouveau, du Plan REVA de Wade, basé sur la spoliation des terres du Domaine national. Ce mimétisme a atteint son comble avec le nouveau « Programme d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise » (PRACAS), d’un montant de 581 milliards, qui est l’équivalent de la GOANA de Wade, qui a englouti près de 600 milliards pour enrichir sa clientèle politique qui servir de base sociale à son régime !

    Ce qui est surtout à garder en repaire, c’est le Décret qu’il a pris pour mettre en application la Loi no 2011-07 du 30 mars 2011, que Wade n’avait pas osé prendre après avoir fait adopter par sa majorité mécanique à l’Assemblée nationale, dans un contexte pré électorale chargé, pour permettre au Chef de l’Etat d’immatriculer directement des terres du Domaine National, sans l’Avis ces Conseils ruraux, devenus des Conseils municipaux, pour les attribuer à des privés sous forme de propriété privée.

    C’est cette Loi qui lui a permis de se passer des travaux de la « Commission de Réforme foncière » qu’il avait instituée, pour prendre des dispositions lui permettant de mettre en œuvre le PPIDAS, les DAC, et surtout le volet foncier du PSE qui nécessite 100. 00 hectares. Pour renforcer son dispositif d’accaparement des terres du Domaine National, l’Acte III de la Décentralisation a reconduit l’approbation préalable du Préfet à toute délibération du Conseil municipal sur les questions foncières avant exécution ; ce qui remet en cause l’effectivité formelle de leur compétence d’attribution et de retrait de ces terres.

    Ainsi, le discours du Chef de l’Etat n’a pas répondu aux attentes des organisations du monde rural, ni à celles des élus locaux ruraux en la matière. Il en est de même dans le domaine de la Santé et de l’Education. En effet, les organisations syndicales de la Santé s’attendaient à des mesures pour résoudre la crise financière des hôpitaux, consécutive au Plan SESAME, et se trouvent en face de la généralisation de cette crise financière au niveau de tous les autres ordres du système de santé, avec la gratuité des Césariennes, et la prise en charge gratuite des enfants de 0 à 5 ans, sans décliner les modalités de leur financement !

    Pour le système de l’Education nationale, confronté à la détérioration de la qualité des Enseignants (9% des enseignants maîtrisent le Français ; 39% sont aptes à enseigner le Français ; 29% sont incapables de résoudre des problèmes de mathématiques parfois du niveau du CMI) , avec de mauvaises performances des élèves ( 81% de taux d’échec en test national en lecture, calcul, culture générale), et à la crise dans l’Enseignement supérieur, suite aux recommandations de hausse des inscriptions de la « Concertation Nationale sur l’Avenir de l’Enseignement Supérieur « (CNEAS), le Chef de l’Etat a décliné sa décision ferme d’appliquer ces recommandations, au risque de détériorer d’avantage le climat social en milieu universitaire, au lieu de profiter de son projet « d’Assises nationales sur l’Education », pour les suspendre, afin de donner plus de chance à une réforme globale, concertée et consensuelle du système de l’Education nationale.

    Une telle attitude serait conforme avec son PSE, qui veut « aligner l’ Enseignement Supérieur avec les besoins de l’ économie » , mais elle serait aussi en porte à faux avec son ambition de réserver l’enseignement supérieur à la progéniture des fortunés en faisant de « Dakar, un Campus Régional de Référence » ( bac +5, voire 32/3vpour le tourisme et les mines), à travers la mise en place de partenariats avec de grandes universités internationales.

    Enfin, c’est le projet de tenir une « Conférence sociale pour un pacte de stabilité et d’émergence » qui dessine clairement la volonté du Chef de l’Etat , comme il l’a fait avec l’Acte III de la Décentralisation, et avec la CNAES, d’imposer une précarisation accrue du travail à travers la réforme du Décret 70-180 organisant le travail journalier, celle du contrat à durée déterminée, et les dispositions qui régissent le recours aux « heures supplémentaires ». Ainsi, avec le discours du Chef de l’Etat, l’on ne peut que constater que le Sénégal a raté les réformes majeures attendues en 2013, dont celle des Institutions, du Foncier, de la Décentralisation, de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur.

    L’on a aussi pu constater qu’il n’ a eu aucune rupture dans la politique agricole, dans la politique sociale, même s’il a pris la décision de faire baisser les loyers qui concernent principalement la ville de Dakar, où 51,2%, là où des ménages sont des locataires. La manière dont le Chef de l’Etat y a pris, risque d’entraîner des troubles sociaux, puisque les spéculateurs immobiliers ne se trouvent principalement que dans le grand standing » et ne supportent qu’une baisse de 4% de leur loyer, tandis que les propriétaires, à Dakar, qui louent entre 30.00 et 1OO.OOO, et qui sont en grande majorité des retraités qui arrondissent ainsi leur fin de mois, sont confrontés à une baisse de 29% de leur loyer !

    Ainsi, il n‘ y a pas de mesures d’incitation à produire des logements sociaux par les sociétés immobilières. Au contraire, ce sont les petits propriétaires qui sont incités à sortir du marché immobilier pour vendre aux plus gros leurs logements ; ce qui, dans l’ensemble, diminue l’offre privé en logements sociaux. Cette approche de la baisse des loyers par les prix dans le marché de l’immobilier au Sénégal, risque d’être moins efficace, que lorsque sous Abdou Diouf et Dansokho à l’Urbanisme, les loyers de la SICAP et de l’OHLM furent baissés de 40%, obligeant les promoteurs privés à ajuster à la baisse , leur loyer, sans qu’il y ait recours à des menaces pécuniaires ou pénales.

    Cette mesure était accompagnée du recentrage de ces sociétés immobilières à leur mission traditionnelles d’offre de logements sociaux et moyens standing, et de la Banque e l’habitat, au financement des coopératives d’habitat et de l’auto construction, particulièrement appuyé par un prêt de la Direction de la Monnaie et du Crédit (DMC) pour les Fonctionnaires.
    L’année 2014 est donc une véritable année de défis que le Chef de l’Etat a voulue, dans son discours, occulter, pour porter notre attention sur le PSE dont l’opérationnalisation va au-delà de son mandat en court.

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