A un exercice de mise au point, Cheikh Bâ s’est employé à battre en brèche toutes les rumeurs selon lesquelles son imprimerie serait en faillite et que sa femme aurait demandé le divorce.
Dans les colonnes de Weekend Magazine, l’imprimeur Cheikg Bâ a apporté la réplique à ceux que le prenaient pour quelqu’un qui, de nos jours, vit dans la dèche. « Mais, je ne suis pas en faillite », fait-il savoir d’emblée. Et il s’épanche sur sa santé financière en révélant : « j’ai toujours mon imprimerie La Sénégalaise. J’ai même acheté une machine offset qui est en train d’être montée et qui m’a coûté 200 millions francs Cfa. »
Pour Cheikh Bâ, si de fausses informations sont véhiculées faisant état de sa banqueroute « c’est parce que je ne distribue plus d’argent ». Mais que ceux qui veulent le voir dans cette posture de machine à distribuer de l’argent déchantent car l’imprimeur a « 40 employés » à prendre en charge. Mais surtout, Cheikh Bâ veut s’éviter le « drame de Alioune Petit Mbaye ». Il rappelle que ce dernier « a investi son argent et a aidé beaucoup de gens mais quand les choses se sont mal passées pour lui, il a du quitter le pays. » Lui ne veut pas finir comme son ami. Et respire la forme financière. Machallah !
Ce n’est pas tout ce qui a été dit sur son compte. Comme les conséquences découlent des causes, il était répandu que sa femme, l’aguichant top model Erika était sur le départ. Cheikh Bâ en rit et donne pour preuve aux sceptiques : « Ma femme est à mes cotés et on dit que je suis divorcé. Je suis chez moi avec ma femme. » Comme si cela ne suffisait pas, celle-ci prend le combiné et laisse entendre : « que Dieu nous préserve du divorce ! ».
En femme comblée, Erika dont les pronostics ne la donnaient aussi tenace dans son ménage renchérit : « je suis très bien avec mon mari. Entre nous, c’est pour le meilleur et pour le pire. » Voilà qui est clair même si son tendre époux ajoute ceci : « ma femme est contente de ce que j’ai. » Et dans ce couple, il faut savoir que la confiance y est comme du béton dans une battisse. Preuve en est donnée par Cheikh Bâ qui assure que même si sa femme l’avait « surpris sur une autre femme, elle n’aurait pas quitté pour autant. Et inversement. »
Pour finir, Cheikh Bâ dit à ceux qui veulent l’entendre qu’ils ne comptent pas sur lui pour faire la pluie et le beau temps dans les boîtes de nuit parce que « j’ai 50 ans, j’ai un fils qui a 29 ans. Je ne peux pas me permettre de le rencontrer en boîte ou d’y courir les filles.»
Par Baya, [email protected]
galsentv.com
force et courage qui dit du mal de toi ne te connait pas.aux hlm on connait ta gènerositè,ton sens du devoir.toute la population des hlm est derriere toi et te soutient.tu sortiras vainqueur de toutes les epreuves.t,as bien fait de prendere commexemple petit mbaye.qui n,avaut cessè de faire du bien d,aider les gens mais maintenant ils l,ont oubliè .t,as bien fait de penser au futur de ta famille.ndame rek ngay ame.PAPE BARA depuis italie
Salut, il n’y a pas de fumée sans feu. Quand ça va pourrir ça va se sentir.