Le directeur du programme l’Ecole de gestion Hec Montréal, Jean-François Ouellet et le directeur du bureau international d’Europe, Yvette Cogne en prospection au Sénégal, ont été reçus hier par le directeur du quotidien national « Le Soleil », Cheikh Thiam.
L’Ecole de gestion Hec Montréal souhaite recevoir plus d’étudiants africains et sénégalais. Le directeur du programme de cette institution et sa directrice du bureau de l’Europe l’ont fait savoir au sortir de leur entretien avec le directeur général du quotidien national « le Soleil », Cheikh Thiam.
« L’Institut Montréal est dans une optique de vouloir recruter davantage d’étudiants français et francophiles qui ne sont ni français et ni canadiens, ni internationaux », informe le directeur du programme, Jean-François Ouellet.
Le Sénégal, disent-ils, est une réserve potentielle qui a des étudiants de bon niveau pouvant tirer profit des enseignements dispensés dans leur institution. Celle-ci a mis à la disposition des futurs candidats 5 bourses d’excellence.
« Nous avons offert 5 bourses d’excellence qui prennent en compte l’ensemble des frais de scolarité, pour encourager les personnes à venir étudier dans notre école », ajoute Jean-François Ouellet. L’école qui a une forte colonie d’étudiants européens et d’Asie est venue faire une prospection au Sénégal. La finalité, c’est de nouer un partenariat.
« Nous avons fait une percée importante en Europe et le Sénégal va aussi devenir un partenaire de choix », a laissé entendre Yvette Cogne.
L’autre avantage d’avoir des étudiants venant d’horizons divers, c’est de pouvoir prendre en compte les réalités socioculturelles des pays dans l’enseignement des programmes.
« Nous avons intérêt à avoir les étudiants qui proviennent de partout. Car, le commerce est quelque chose de mondialisée donc toute la partie création était essentiellement les résultats de choc positif en travaillant avec des gens qui présentent des différences culturelles », avance le directeur du programme.
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