Gaz et le petrole au Senegal, El Hadji Malick Tall et le journaliste Baba Aidara font des révélations fracassantes

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El Hadji Malick Tall recoit le journaliste Baba Aidara .Au menu les tenants et aboutissants sur les contrats pour l’exploration de gaz et de petrole au Senegal avec des revelations fracassantes à la lumiere des accusations de Abdoul Mbaye

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3 Commentaires

  1. Humm !!
    Très déçu de Baba Aidara encore une fois, et bien sûr certains écoutent sans rien comprendre, mais vont se contenter de le féliciter parce qu’il donne des noms de société, des chiffres à la volée, alors qu’il n’y comprend rien en réalité et fait de graves confusions et erreurs d’interprétation.

    Vous ne comprenez rien du principe des licences d’exploration et d’exploitation de pétrole. Une fois que le Sénégal octroie une licence d’exploration et d’exploitation à une compagnie, en définissant les termes du revenue sharing une fois que l’exploitation aura démarré, ce que la société attributaire de la licence en fait au niveau international n’est pas vraiment le problème du Sénégal qui n’a plus qu’à attendre qu’un géant pétrolier arrive pour investir les centaines de milliards nécessaires, et que le Sénégal recueille ses 10 % de part des revenues de ce pétrole.

    Vous confondez tout. L’on vous parle de 200 milliards d’investissement, vous entendez 200 milliards de gain ou de bénéfice. Même les 22 milliards dont Baba parle (je suppose que ce sont les 45 M$ en 2015) que TOG aurait payé, là aussi c’est faux, il s’agit d’investissements.

    Un peu de lecture pour les paresseux
    http://www.oilvoice.com/n/Tender-Oil-Gas-signs-a-significant-investment-deal-for-onshore-exploration-in-Senegal/a2f9aaf8292b.aspx

    Sonko parle de taxes perdues, mais on n’en n’est pas encore là car aucune production n’a encore démarré. Ce que les traders font à l’international de la licence d’exploration sénégalaise pour trouver des risk takers qui acceptent d’investir des centaines de milliards dans la prospection au Sénégal n’a rien à voir avec les taxes ou impots du Sénégal.

    Je peux continuer sur tous les points que Baba le boulanger a évoqués pour démontrer à quel point il est passé à côté, soit de façon maladroite, soit par ignorance profonde, soit par pure mauvaise foi.

    MARVEL
    [email protected]

  2. Macky Sall: Leçon non sue (0/10)
    A l’origine, il y a le partenariat public-privé et le BOT (Build Operate Transfer). Le Sénégal a signé avec DPW sur le même model. De cette signature est né DPW Dakar. La CREI, de sa traque des biens mal acquis, avait peut être, la mission de comprendre comment les choses sont faites (une mission inavouée de prendre une leçon). Et comme stratégie la prêche du faux pour avoir le vrai. A la fin de tout le tintamarre médiatique, il est apparu que DPW Dakar est une propriété du Sénégal (bien sûr avec quelques autres actionnaires), et elle est positionnée pour la reprise une fois arrivée à l’étape Transfer du BOT. Cette conclusion est prouvée par la levée de l’administration provisoire, et la non intégration de DPW dans l’accusation finale. Et ceci n’a rien à voir avec la fonction du Port qui est aussi un autre représentant du Sénégal.
    Après avoir compris ce qu’ils avaient appelé les « ingénieux montages financiers » de Karim Wade, Macky Sall a voulu appliquer la leçon. Pour le pétrole du Sénégal, il fait concocter un ingénieux montage financier qui consiste en un Timis Corp, puis Petro-Asia, et localement un Petro-Tim positionné pour l’étape Transfer du BOT. Seulement voilà, le Petro-Tim local est unipersonnel et n’appartient qu’à son frère (même si dans le statut une porte y est aménagée pour un autre inconnu à venir), et aucune action pour le Sénégal.
    Mais malheureusement, dans la presse sénégalaise, comme ce fut dans le cas Sudatel où celui qui verse 89 milliards au Sénégal est présenté comme corrupteur et celui qui verse 0 F est présenté comme étant le seul saint, ici, aussi, c’est le contraire de ce qui devait être compris qui est répété par des journalistes motivés pour cela.

  3. Donnez nous ces révélations fracassantes .Dites à Baba Aidara,que quand on porte un patronyme Aidara on ne ment pas.Baba vit aux Usa et Kosmos Énergy est une compagnie américaine, pourquoi il ne saisit pas les juridictions américaines compétentes pour faire éclater la vérité. Restez sur les médias à raconter des balivernes ne t’avance à rien.
    DIEU N’AIME PAS LES MENTEURS

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