Hommage à Amadou Guèye Ngom : Le grand frère que je n’ai pas eu…

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Seul le souvenir nous venge de la mort… Nous voici au premier anniversaire de ta disparition en janvier 2010. Tu étais parmi les plus distingués, les plus fins de nos hommes de culture, sinon le meilleur de nos critiques d’art et littéraires. Tu étais un bijou. Malraux nous disait qu’en ‘face de la mort, il n’y a que ce qui résiste à la mort : l’immortalité’. Mais l’immortalité, il faut en être digne. Senghor nous dit : ‘Pour vaincre la mort, il faut d’abord se marier, avoir des enfants qui vous prolongent. Mais le plus important est de créer des œuvres de beauté qui restent et qui vous survivent et qui témoigneront pour vous devant les générations.’ Tu t’es bien inscrit dans cette grâce, mon si cher grand frère Amadou, mon ami. Nous gardons de toi le souvenir d’un considérable homme de culture : érudit, exigeant, juste, honnête, courageusement engagé dans toutes les luttes de sa société. Il était difficile de ne pas te respecter.

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