La réponse de la République du Sénégal à la demande du groupe de travail sur la détention arbitraire (DOCUMENT)

Date:

La République du Sénégal a fourni une réponse suite à la demande du groupe de travail sur la détention arbitraire demandant la libération de Karim Wade. La lettre du groupe de travail datée du 15 mai 2015 a cependant reçu une réponse tardive.
Notre source nous révèle que la réponse de l’Etat du Sénégal est arrivée au lendemain du dernier jour du délai. Ce qui fait qu’elle a été irrecevable aux yeux du groupe du travail. Voici donc en exclusivité la réponse de la République du Sénégal.

Dakaractu.com

5 Commentaires

  1. Nous, on se fiche complètement de ce que dis l’ONU, ce machin-là. Ce qui est important pour nous, c’est que Karim a profité de la présidence de son père pour s’enrichir sur notre dos. Par conséquent, il est bien là où il est. Pour nous, Karim est un voleur. Un point, un trait.

  2. Cette réponse aura pour première conséquence de doucher les fanatisés qui voulait s’accrocher à une éventuelle fausseté de l’information. Maintenant les « c’est faux » et autres « manipulations de la presse » sont derrière nous.
    Et si le ministre de la justice cherchait là à aménager une porte de sortie pour Macky Sall, quitte à servir de fusible ou à encaisser les remontrances des Yakham.
    Le ministre de la justice a hérité des bévues de Mimi Touré pour la satisfaction du cœur de Macky Sall et des Boloré. Il n’a pas pris son courage à deux mains pour dire la vérité tout de suite, à savoir que ce dossier n’avait rien de juridique, qu’il s’agissait d’une vengeance d’un président indigne d’une république. Il a cru que ses artifices de connaisseurs des arcanes du droit conjugués au travail assidu d’abêtissement de la presse des 100 lui fera trouver une formule pour rendre Karim Wade inapte politique (c’était le but de l’acharnement de Macky) tout en sauvant la face du président qu’il faut présenter comme un républicain qui ne veut pas s’immiscer dans les affaires de la justice, sauf pour limoger exceptionnellement le procureur en pleine audience au tribunal. Alors plus le temps passe, plus cela devient plus difficile. Parce qu’il fallait comprendre dés le début que le temps est l’ennemi du mensonge. Petit à petit les abasourdis de fortes doses de médiatique se réveillent et comprennent, et il devient plus difficile de leur faire croire que le Soleil se lève au Nord.
    Macky Sall en a trop fait. on a dépassé le temps des possibles rafistolages. Que Macky prennent son courage à demain pour poursuivre sa dictature, son terrorisme qui n’épargne même pas de terroriser de pauvres dames pour qu’elles épousent ses ministres.

  3. Soyez plus sérieux. La CREI juridiction mal construite ne peut avoir sur celle de la CEDEO puis sur celle des Nations Unies.

    Rejuger Karim dans un tribunal de droit commun. Sinon il est déjà sorti d’affaires par ces commissions et groupes

  4. Soyez plus sérieux. La CREI juridiction mal construite ne peut avoir raison sur celle de la CEDEO puis sur celle des Nations Unies.
    Rejuger Karim dans un tribunal de droit commun. Sinon il est déjà sorti d’affaires par ces commissions et groupes

  5. Putain !!! C’est quoi ces conneries ; l’Etat du Sénégal ne respecte même pas les délais.
    Et pire dans le texte, il y’a des erreurs de date. Le document nous parle de Juin 2014 et Juin 2015. Il faut savoir quand même.
    De plus, la date limite est le 25 Aout 2015 et ce qui est bizarre est que le document date du 29 Mai 2015. Ce qui signifie que le gouvernement du Sénégal savait qu’il allait être forclos (ou bien le voulait) et a pré-rédigé ce document

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

CAN 2023

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE

Absence du gouvernement et accusation contre le PDS : Le démenti des Libéraux

Le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) réfute catégoriquement les allégations...

Il faut une nouvelle Constitution pour l’efficacité de la rupture annoncée par le nouveau gouvernement (Expert)

XALIMANEWS- Professeur titulaire en droit civique à l’Université Cheikh Anta...