L’heure est grave. Il est des moments dans la vie des hommes où ne rien dire équivaudrait à consentir ; et il est des situations où ne pas dénoncer certains états de fait égalerait à faire preuve d’irresponsabilité .
Saint – Louis , réputé capitale de la Téranga , a été hier le théâtre d’une violence entre militants de 2 camps , un acte que nous déplorons jusqu’à la dernière énergie. Le temps de la politique est vraiment éphémère et j’invite les différents protagonistes à une reprise de conscience pour que la campagne se passe dans la paix et la fraternité .A quelques jours de l’élection présidentielle, ne nous entretuons pas car nous sommes tous des sénégalais et nous appartenons à un même peuple .Toutefois, l’Etat doit garantir aussi la sécurité des personnes et de leurs biens, garantir aussi la liberté de pensée, de parole et d’association. Mais comment peut-il assumer cette fonction éminemment régalienne s’il exerce un pouvoir prédateur, s’il s’est échafaudé un appareil répressif implacable contre d’honnêtes citoyens ? Une question qui mérite bien réflexion …
A bon entendeur, Salut !
Le Mouvement Wallou Ndar s’indigne contre la violence. Par Zahir Fall
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Correction : ce n’est pas une violence entre deux camps. C’est une violence qui frappe des membres de Pastef. Ce n’est pas la première fois que des militants de Pastef sont agressés. Après le saccage de leur siège à Yoff, au lieu de condamner cet acte ignoble, certains se permettent de crier au complot. Ce qui donne du courage aux agresseurs qui se pensent dans l’impunité. Ils peuvent continuer à agresser, se diront-ils, car de toute façon on dira que ce sont des gens de Pastef eux mêmes qui se sont agressés. On encourage ainsi l’escalade de la violence. Pastef fait des percées partout au Sénégal. Aussi bien pour le parti au pouvoir que pour une certaine opposition rétrograde, c’est la cible. Ils pensent qu’avec l’intimidation et les manipulations, Ousmane Sonko ne pourra pas réussir sa noble mission de libérer le Sénégal de l’étau dans lequel les politiques l’ont enfermé depuis 1960. Mais le changement c’est maintenant ! Jotna ! Sonko Président dans le respect et la non violence.
La violence est venue indiscutablement du camp du Pouvoir qui a peur car elle sait qu’elle a perdu les élections d’où cette violence pour tenter d’intimider la principale force de l’Opposition qui est la Coalition SONKO PRÉSIDENT !!!
Et le plus cynique est que juste après la barbare agression des Patriotes de PASTEF, j’ai entendu le Politicrd Saint-Louisien Ibrahima DIALLO, un Ancien Socialiste recyclé Apériste, dire honteusement et de manière criminelle que c’est PASTEF qui continue sa stratégie de victimisation !!! Le même sinistre individu de continuer à développer en disant que cette scène de violence est inconnue à Saint-Louis où tous les Partis ont toujours cohabité en paix et dans la concorde : histoire d’essayer de faire dire et de faire croire que c’est PASTEF, nouveau dans le champ politique, qui est à l’origine des violences !!!Ce qui est totalement faux : pour preuve dette vidéo de mars 2012 entre les deux tours où (tiens-tiens) le Politicard Ahmed Fall Braya alors au cœur du Pouvoir PDS, attaquait le convoi du Candidat Politicard Macky SALL à Saint-Louis…
Vidéo à voir : https://www.youtube.com/watch?v=h7H8qgQ6GJ0
Il faut condamner la violence d’où qu’elle vienne ! Dans l’histoire politique du Sénégal, en général c’est le parti au pouvoir qui violente, qui agresse. Ces mêmes gens du pouvoir se battent souvent entre eux, car les enjeux (xaliss, postes…) y sont très élevés. Pour intimider l’adversaire, casser de l’opposant. Cette violence est ancienne et elle va se perpétuer tant qu’on changera pas la manière de faire la politique (la politique alimentaire, distribution de postes à des gens qui ne le méritent pas, la course aux mallettes d’argent…). La politique des combines, des réseaux, des militants alimentaires, conduit à la défense d’intérêts personnels, non pas par des arguments, mais par la violence physique, les insultes (Suzanne Camara, Cissé Lo, Farba Ngom, Diazaka…), les manipulations de l’opinion (Madiambal Diagne, le Quotidien, Libération…), les manoeuvres politiciennes, la mise sous tutelle de la justice et de l’administration.
Sonko est le seul qui propose de réformer en profondeur le Sénégal. Xolat jikoyi ! Xolat doxalin yi ! Il est temps d’arrêter la violence politique. En quoi faisant ? En envoyant à la retraite, tous ces politicards professionnels, habitués aux promotions non méritées, à distribuer de l’argent à tort et à travers, à diviser les sénégalais sur le plan ethnique, confrérique, social, ou économique et même politique. Les inégalités c’est eux (politiciens professionnels), les divisions (mouride/tidiane), c’est encore eux.
Le Sénégal est un bien commun. Préservons le ! Seul Sonko a un discours et des actes responsables à ce niveau. Il parle à tous les Sénégalais, sans distinction ! Pour l’UNITE DU SENEGAL et la PAIX DU SENEGAL, votons Sonko le réformateur.