Le RDS, un «pro-Sonko caché», et après ?

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C’est l’étiquette que viennent de nous coller allégrement des thuriféraires hyper-zélés, qui se croient investis du pouvoir divin de décider du choix politique de leurs concitoyens ! Que fut notre crime ? C’est d’avoir eu le «toupet» de déclarer dans les médias sociaux ceci :

«Que le leader de Pastef, Ousmane Sonko, ait une barbichette à la Ben Laden et un harem d’épouses voilées; qu’il soit un Ibadu Rahmaane, un Al Falah, un Témoin de Jehova ou un Jamra… Ces interpellations stigmatisantes n’ont pas leur place dans un État de droit, dont la Constitution consacre la LIBERTÉ DE CULTE et le droit de conquérir démocratiquement les suffrages des Citoyens»!

A ceux qui insinuent donc que nous serions des &pro-Sonko cachés& nous rappelons que c’est un refrain similaire qu’on nous servait lorsque nous dénoncions l’acharnement politico-judiciaire contre le Maire de Dakar Khalifa Sall et Karim Wade; lorsque nous alertions sur le coup fourré qu’on concoctait contre Idrissa Seck, avec en toile de fond la résurrection des fameux &Chantiers de Thiès&; lorsque, plus récemment, nous nous inscrivions en faux contre ces médisances malsaines taxant Bougane Guéye Dany de franc-maçon…

Et bien avant toute cette actualité récente, on nous avait déjà servi la même rengaine lorsque, en 2007/2008, JAMRA et le RDS dénonçaient publiquement la cabale politicienne visant à débarquer du perchoir de l’Assemblée nationale un certain Macky Sall, sur la base d’une pétition que d’ailleurs notre député et vice-président de l’Assemblée nationale Abdou Latif Guéye avait catégoriquement refusé de signer.

Alors que Macky n’était &rien du tout&, nous avions souverainement (sans lui demander son avis) pris sa défense en dénonçant le calvaire injuste qu’on lui infligeait, en nous conformant simplement aux sublimes enseignements du Messager d’Allah (psl), qui exhorte tout Croyant à se dresser contre l’INJUSTICE, sous toutes ses formes et quelle qu’en soit la victime!

Il n’y a donc rien de nouveau sous les tropiques: nous nous efforçons simplement de rester CONSTANTS dans les principes et valeurs que nous avons toujours défendus depuis 35 ans (JAMRA a été créée en février 1983). Et ce, quel que soit le régime politique au pouvoir. &Yawmal Achura Mubarak&!

Dakar, le 20/09/2018

Le Secrétaire général
Mame Mactar Guéye

8 Commentaires

  1. Toute une famille se cache derrière une organisation dite « religieuse » pour mieux développer ses propres affaires et avoir ses entrées dans chaque régime depuis Diouf. C’est ça Jamra ! Ce serait plus intéressant que Mame M. Guèye nous disent ce Jamra a réalisé pour le Sénégal…

      • Merci mon frère bien répondu,mais c ça le senegalais on demande à qui ne gouverne pas c réalisation mais non pas à ceux qui nous gouvernent…@ce Lemzo est le prototype du negre esclave,plus qu’on lui sussent le sang et qu’on le piétine comme le fait le porc du palais et sa bande d’affamés plus il jouit ….

  2. Monsieur « Lemzo » souhaiterait donc qu’on lui dise ce que JAMRA a réalisé au Sénégal? Quelle tâche ardue ! A moins que nous lui donnions la primeur d’un petit extrait du livre-bilan que JAMRA compte publier à l’occasion de la célébration de ses 35 de combats et de réalisations concrètes!

    – JAMRA, après seulement quatre années d’existence, en février 1987, étendait ses activités au plan international. Surtout dans le domaine de la lutte contre la drogue. Et prend des initiatives hardies. Latif Guèye écrit une lettre au Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, M. Xavier Pérès de Cuellar, pour proposer que l’Onu consacrât l’année 1988 comme « Année internationale de Lutte contre la Drogue ». L’initiative de JAMRA rencontra l’agrément du Président de la République d’alors, qui instruisit l’Ambassadeur du Sénégal à l’Onu d’entreprendre les démarches nécessaires pour appuyer cette proposition de JAMRA. Le Ministre de la Santé du Sénégal, Madame Marie Sarr Mbodj, dans son discours officiel, à la Séance plénière du 18 juin 1987 de la Conférence de Vienne (à laquelle Latif Guéye représentait JAMRA), prit en charge la proposition de JAMRA. Certes, d’autres pays, comme le Canada, avaient des propositions similaires. Mais toujours est-il qu’à la fin des travaux, l’Onu prit la décision historique, à travers la résolution 42-122 du 07 décembre 1987, de décréter la journée du 26 juin « Journée internationale de lutte contre la drogue ».

    – La même année verra paraître le premier ouvrage édité par JAMRA, et intitulé «Le Guééw» qui, sous la plume de Abdou Latif Guèye, structure un système d’accueil et d’écoute des toxicomanes et des jeunes en difficulté.

    – En octobre 1988, JAMRA, en partenariat avec l’Institut Francophone de Lutte contre les Drogues (IFLD), et la CEE (l’Union Européenne), co-organise le «Séminaire sous-régional de formation du personnel administratif de Lutte contre la drogue». Pendant une semaine, le Sénégal était la capitale africaine de lutte et de prévention contre la toxicomanie.

    – JAMRA a été l’une des premières structures caritatives à s’investir dans les Centres de rééducation et de réadaptation de mineurs, dénommés « CAOMI »; dans les Prisons, les écoles coraniques (daaras) les plus démunies du pays. Les premiers militants de JAMRA, jeunes, sans moyens, louaient des véhicules vétustes, tombant régulièrement en panne, les remplissaient de dons en nature (riz, biscuits, bougies, huile, couvertures, friperies) pour faire le tour des Daaras et porter assistance aux plus faibles. Dans les coins les plus reculés du pays.

    – Dans la même perspective, JAMRA a été la première organisation à célébrer le Nouvel An musulman (actualité oblige!) communément appelé « Yawmal Achoura », dans les Centres de Rééducation, les Prisons. En ciblant particulièrement les jeunes démunis, surnommés alors, et à juste titre, par le leader de JAMRA , « Les Enfants Sans Enfance ». Les dons en victuailles que JAMRA offrait régulièrement aux enfants démunis avaient valu à Latif Guèye d’être surnommé « Père Tadiabone », par le regretté Mame Less Dia, patron de l’hebdomadaire satirique, « Le Politicien ».

    – 1989 c’est l’éclatement de l’affaire Salman Rusdhie, avec son Livre blasphématoire contre le Saint Coran et le Prophète Mouhamed (psl). JAMRA organise un sit-in devant la représentation diplomatique de la Grande Bretagne à Dakar, et remet une lettre de protestation à l’Ambassadeur. Avec d’autres organisations islamiques, JAMRA co-organise un grand rassemblement islamique de protestation, présidé par Serigne Abdou Aziz Sy lui-même, à l’Institut Islamique de Dakar.

    – En 1989, JAMRA est membre-fondateur de la «Coordination des Associations Islamiques du Sénégal», regroupant 17 organisations musulmanes, et participe à la création du « Comité AL QODS-Sénégal », pour la défense de la Cause Palestinienne. Abdou Latif Guèye est porté au poste de vice-président.

    – La même année, l’Institut Oeucumènique pour le Développement des Peuples invite JAMRA à Accra, au Ghana, à un Colloque international sur la problèmatique de la formation et du développement.

    – En 1990, Jamra crée «SOS TABAC», en collaboration avec l’Ong britannique Oxfam et l’Association sénégalaise de lutte contre les maladies infectieuses.

    – En 1991, JAMRA crée, sur fonds propres, le Centre National de Documentation et d’Information sur la Toxicomanie et le Sida (CNDITS), hébergé au siège de Jamra, sis au numéro 10 sur l’avenue Bourguiba, à Dakar. Celui-ci est officiellement inauguré le 27 février 1992, à l’occasion du 10e anniversaire de JAMRA, par le Ministre d’Etat Maître Abdoulaye Wade, en présence du Ministre de la Santé, M. Assane Diop. Beaucoup d’étudiants, préparant leurs thèses, viennent régulièrement et gratuitement s’y documenter.

    – JAMRA édite cette année-là un deuxième ouvrage intitulé «Le jeûne, une thérapeutique naturelle», qui offre, sous la plume de Mame Mactar Guèye, une vision des bienfaits physiologiques et psychologiques de la pratique du jeûne, à la lumière de la Science médicale.

    – En 1998, JAMRA s’est particulièrement illustrée aux cotés d’autres organisations de la Société Civile, en initiant la mise sur pied d’un Collectif pour des élections transparentes et paisibles.

    – En 1999 on retiendra surtout l’Affaire du Nigth Club «Rolls» de Mbour. JAMRA dénonce publiquement l’organisation d’un honteux défilé de jeunes travestis et porta plainte contre les organisateurs de cet outrage.

    – 1999 c’est aussi l’année d’un tournant décisif pour JAMRA, qui rend publique, le 17 août, une déclaration pour annoncer sa descente dans l’arène politique. Le Sénégal était à la croisée des chemins. Il fallait choisir un camp. Et JAMRA choisit le camp du combat pour l’Alternance politique, avec en bandoulière son fameux slogan : «Le véritable changement, c’est le changement de comportement».

    – JAMRA réédite en 2006 son programme de prise en charge nutritionnel des Personnes vivant avec le VIH et des Orphelins et Enfants Vulnérables, en partenariat avec l’Eglise Protestante de Dakar et des structures agro-alimentaires privées.

    – En partenariat avec l’UNICEF, JAMRA initie en 2006 un nouveau programme de prise en charge de 400 Orphelins et Enfant Vulnérables.

    – 2006, sur financement de la Banque Mondiale, et en partenariat avec le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP), JAMRA déroule le «Programme de Riposte des Religieux face au Paludisme», dans les zones à risque, comme Mbao et Guédiawaye. Avec à la clé un programme de placement de moustiquaires imprégnés au niveau des Relais communautaires…

    Bref, je vais devoir m’en arrêter là, Monsieur « Lemzo », pour ne pas trop frustrer l’éditeur de notre livre-bilan, et dans lequel il vous sera loisible de prendre connaissance d’autres combats plus récents que JAMRA a menés (et gagnés!), comme la criminalisation du délit de trafic de drogue, à travers la Loi 2007-31, dite « Loi Latif Guèye », etc.

    – Et J’espère que Monsieur « Lemzo » viendra acompagner JAMRA dans la poursuite (toujours sans un sous de l’Etat) de son combat de sentinelle vigilante pour la sauvegarde de la santé mentale et morale de nos enfants qui, au-delà de notre affection filiale, méritent toute notre protection. Car ils constituent la sève, les futures graines de la Nation. Et nous devons, tous, nous faire le devoir de les protéger contre les fléau des temps modernes, en les armant moralement surtout.

    Comme vous pouvez vous en rendre compte, le combat de JAMRA n’est donc pas seulement un combat morale. Il est aussi social, économique, culturel et politique au sens le plus élevé du terme.

    Et j’espère que Monsieur « Lemzo », après nous avoir nommément interpellé, dans son post ci-dessus, pour que nous lui donnions un aperçu de quelques réalisations de JAMRA, nous dira à son tour ce qu’il a lui aussi réalisé pour son cher pays, le Sénégal !

    Et gardons surtout présent à l’esprit ce sage Hadith du Messager d’Allah, qui recommande de « ne témoigner que de ce dont on est sûr de science certaine »!

    « Yawmal Achura Mubarak »!
    Mame Mactar Guéye
    [email protected]

  3. Monsieur « Lemzo » souhaiterait donc qu’on lui dise ce que JAMRA a réalisé au Sénégal? Quelle tâche ardue ! A moins que je lui donne la primeur d’un petit extrait du livre-bilan que JAMRA compte publier à l’occasion de la célébration de ses 35 de combats et de réalisations concrètes!

    – JAMRA, après seulement quatre années d’existence, en février 1987, étendait ses activités au plan international. Surtout dans le domaine de la lutte contre la drogue. Et prend des initiatives hardies. Latif Guèye écrit une lettre au Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, M. Xavier Pérès de Cuellar, pour proposer que l’Onu consacrât l’année 1988 comme « Année internationale de Lutte contre la Drogue ». L’initiative de JAMRA rencontra l’agrément du Président de la République d’alors, qui instruisit l’Ambassadeur du Sénégal à l’Onu d’entreprendre les démarches nécessaires pour appuyer cette proposition de JAMRA. Le Ministre de la Santé du Sénégal, Madame Marie Sarr Mbodj, dans son discours officiel, à la Séance plénière du 18 juin 1987, de la Conférence de Vienne (à laquelle JAMRA était conviée), prit en charge la proposition de JAMRA. Certes, d’autres pays, comme le Canada, avaient des propositions similaires. Mais toujours est-il qu’à la fin des travaux, l’Onu prit la décision historique, à travers la résolution 42-122 du 07 décembre 1987, de décréter la journée du 26 juin « Journée internationale de lutte contre la drogue ».

    – La même année verra paraître le premier ouvrage édité par JAMRA, et intitulé «Le Guééw» qui, sous la plume de Abdou Latif Guèye, structure un système d’accueil et d’écoute des toxicomanes et des jeunes en difficulté.

    – En octobre 1988, JAMRA, en partenariat avec l’Institut Francophone de Lutte contre les Drogues (IFLD), et la CEE (l’Union Européenne), co-organise le «Séminaire sous-régional de formation du personnel administratif de Lutte contre la drogue». Pendant une semaine, le Sénégal était la capitale africaine de lutte et de prévention contre la toxicomanie.

    – JAMRA a été l’une des premières structures caritatives à s’investir dans les Centres de rééducation et de réadaptation de mineurs, dénommés « CAOMI »; dans les Prisons, les écoles coraniques (daaras) les plus démunies du pays. Les premiers militants de JAMRA, jeunes, sans moyens, louaient des véhicules vétustes, tombant régulièrement en panne, les remplissaient de dons en nature (riz, biscuits, bougies, huile, couvertures, friperies) pour faire le tour des daaras et porter assistance aux plus faibles. Dans les coins les plus reculés du pays.

    – Dans la même perspective, JAMRA a été la première organisation à célébrer le Nouvel An musulman (actualité oblige!) communément appelé « Yawmal Achoura », dans les Centres de Rééducation, les Prisons. En ciblant particulièrement les jeunes démunis, surnommés alors, et à juste titre, par le leader de JAMRA , « Les Enfants Sans Enfance ». Les dons en victuailles que JAMRA offrait régulièrement aux enfants démunis avaient valu à Latif Guèye d’être surnommé « Père Tadiabone », par le regretté Mame Less Dia, patron de l’hebdomadaire satirique, « Le Politicien ».

    – 1989 c’est l’éclatement de l’affaire Salman Rusdhie, avec son Livre blasphématoire sur le Saint Coran et le Prophète Mouhamed (psl). JAMRA organise un sit-in devant la représentation diplomatique de la Grande Bretagne à Dakar, et remet une lettre de protestation à l’Ambassadeur. Avec d’autres organisations islamiques, JAMRA co-organise un grand rassemblement islamique de protestation, présidé par Serigne Abdou Aziz Sy Dabakh lui-même, à l’Institut Islamique de Dakar.

    – En 1989, JAMRA est membre-fondateur de la «Coordination des Associations Islamiques du Sénégal», regroupant 17 organisations musulmanes, et participe à la création du « Comité AL QODS-Sénégal », pour la défense de la Cause Palestinienne. Abdou Latif Guèye est porté au poste de vice-président.

    – La même année, l’Institut Oeucumènique pour le Développement des Peuples invite JAMRA à Accra, au Ghana, à un Colloque international sur la problèmatique de la formation et du développement.

    – En 1990, JAMRA crée «SOS TABAC», en collaboration avec l’Ong britannique Oxfam et l’Association sénégalaise de lutte contre les maladies infectieuses.

    – En 1991, JAMRA crée, sur fonds propres, le Centre National de Documentation et d’Information sur la Toxicomanie et le Sida (CNDITS), hébergé au siège de JAMRA, sis au numéro 10 sur l’avenue Bourguiba, à Dakar. Celui-ci est officiellement inauguré le 27 février 1992, à l’occasion du 10e anniversaire de JAMRA, par le Ministre d’Etat Maître Abdoulaye Wade, en présence du Ministre de la Santé, M. Assane Diop. Beaucoup d’étudiants, préparant leurs thèses, viennent régulièrement et gratuitement s’y documenter.

    – JAMRA édite cette année-là un deuxième ouvrage intitulé «Le jeûne, une thérapeutique naturelle», qui offre, sous la plume de Mame Mactar Guèye, une vision des bienfaits physiologiques et psychologiques de la pratique du jeûne, à la lumière de la Science médicale.

    – En 1998, JAMRA s’est particulièrement illustrée aux cotés d’autres organisations de la Société Civile, en initiant la mise sur pied d’un « Collectif pour des élections transparentes et paisibles ».

    – En 1999 on retiendra surtout l’Affaire du Nigth Club «Rolls» de Mbour. JAMRA dénonce publiquement l’organisation d’un honteux défilé de jeunes travestis et porta plainte contre les organisateurs, pour « outrage et détournement de mineurs ».

    – 1999 c’est aussi l’année d’un tournant décisif pour JAMRA, qui rend publique, le 17 août, une déclaration pour annoncer sa descente dans l’arène politique. Le Sénégal était à la croisée des chemins. Il fallait choisir un camp. Et JAMRA choisit le camp du combat pour l’Alternance politique, avec en bandoulière son fameux slogan : «Le véritable changement, c’est le changement de comportement».

    – JAMRA réédite en 2006 son programme de prise en charge nutritionnel des Personnes vivant avec le VIH et des Orphelins et Enfants Vulnérables, en partenariat avec l’Eglise Protestante de Dakar et des structures agro-alimentaires privées.

    – En partenariat avec l’UNICEF, JAMRA initie en 2006 un nouveau programme de prise en charge de 400 Orphelins et Enfant Vulnérables.

    – 2006, sur financement de la Banque Mondiale, et en partenariat avec le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP), JAMRA déroule le «Programme de Riposte des Religieux face au Paludisme», dans les zones à risque, comme Mbao et Guédiawaye. Avec à la clé un programme de placement de moustiquaires imprégnés au niveau des Relais communautaires…

    Bref, je vais devoir m’en arrêter là, Monsieur « Lemzo », pour ne pas trop frustrer l’éditeur de notre livre-bilan, dans lequel il vous sera loisible de prendre connaissance d’autres combats plus récents que JAMRA a menés (et gagnés!), comme la criminalisation du délit de trafic de drogue, à travers la Loi 2007-31, dite « Loi Latif Guèye », etc.

    – Et J’espère que Monsieur « Lemzo » viendra acompagner JAMRA dans la poursuite (toujours sans un sous de l’Etat) de son combat de sentinelle vigilante pour la sauvegarde de la santé mentale et morale de nos enfants qui, au-delà de notre affection filiale, méritent toute notre protection. Car ils constituent la sève, les futures graines de la Nation. Et nous devons, tous, nous faire le devoir de les protéger contre les fléau des temps modernes, en les armant moralement surtout.

    Comme vous pouvez vous en rendre compte, le combat de JAMRA n’est donc pas seulement un combat morale. Il est aussi social, économique, culturel et politique au sens le plus élevé du terme.

    Et j’espère que Monsieur « Lemzo », après nous avoir nommément interpellé, dans son post ci-dessus, pour que nous lui donnions un aperçu de quelques réalisations de JAMRA, nous dira à son tour ce qu’il a lui aussi réalisé pour son cher pays, le Sénégal !

    Et gardons surtout présent à l’esprit ce sage Hadith du Messager d’Allah, qui recommande de « ne témoigner que de ce dont on est sûr de science certaine »!

    « Yawmal Achura Mubarak »!
    Mame Mactar Guéye
    [email protected]

    • il fallait même perdre votre temps pour répondre a ce lemzo. Je n’ai jamais rencontre un maquisard qui dit la vérité. Leur dénominateur commun c’est le mensonge.

  4. Oh Mame Adama,de grâce laisse nous lecteurs indépendants et libres répondre à ce batard de @Lemzo,en le répondant toi meme tu lui accordes une importançe quil na pas…c est c genres demergumenes d citoyens qui vivent des 5000f du pouvoir ou d’un mouton de tabaski qui pensent que tout va bien ….ils ne se soucient même pas de l’avenir de leur enfants ou frères ….donc de grâce ne perd plus ton temps à répondre à c vauriens mon frère ….

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