Les erreurs des ministres de Macky Sall.

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XALIMA NEWS: Sauf Augustin Tine des forces armées, Aminata Mbengue Ndiaye de l’élevage, Pape Diouf de la pêche et des affaires maritimes, et Youssou Ndour du tourisme, séparatistes au niveau de la presse.
« Quand un ministre de la république bouge, toute la presse doit être en mouvement, c’est une leçon que tout ministre doit apprendre et faire apprendre à ceux qui bourdonnent autour de lui »
Une certaine presse dira qu’on s’en fout, si le ministre, son chargé de communication ou son attaché de presse, coordonnent en séparatisme. Quand le ministre doit faire une tournée quelconque à travers le pays, il choisi sa propre presse. Ce séparatisme que les organes de presse constatent est tellement flagrant, qu’il faut le dénoncer et leurs faire savoir, que même convoyée, leurs bavures seront étalées en pleine place publique. Comment se fait-il qu’un ministre, qui a besoin de transparence se permet de cibler une certaine presse, comme si les autres ne représentaient rien du tout. Ils oublient qu’un organe peut être grand, mais celui qui le représente soit petit. Qu’ils apprennent cette leçon élémentaire, qui dit « Quand un ministre de la république bouge, toute la presse doit être en mouvement ». Donc qu’ils n’essayent pas de privatiser cette régle. A Ziguinchor avec le président de la république, ses conseillers en communication avaient tout bonnement choisi une certaine presse, laissant en rade ceux qui sont sur place. Nous rappelons que ceci avait créé une clameur générale d’indignation et de protestation au sein de la presse. Avec Cheikh Habiboulah Diéye, lors de sa visite des mairies saccagées de Thiès et de Tivaouane ; sa chargée de communication, médiocre qu’elle est, avait agi de la façon la gauche envers les autres journalistes, qu’elle disait ne pas avoir vu leurs noms dans la liste de présence, qu’elle avait rendu. Pour elle, il n’y avait que dix journalistes or qu’ils étaient quatorze. Aujourd’hui, c’est avec Oumar Guéye, dont le chargé de communication déduit, que le bus qui doit transporter les journalistes, n’avait pas de place, or qu’il avait déjà ciblé certains, ce n’est pas une affaire de parti, mais une affaire d’état etc. etc.etc. Les organes comme la RTS, APS et LE SOLEIL, qui sont de l’administration, ne sont plus au courant du mouvement des ministres entre autres et coordonnés par des privés. Qu’ont-ils fait pour être ridiculiser de cette manière ? Dans tous les cas les deals, que font les chargés de communication et les attachés de presse avec certains journalistes est bien connu du milieu, car ils ne se nourrissant que de restant. Le temps jugera, car les uns partent et d’autres reviennent. Qu’ils se mettent dans la tête, que c’est le peuple qui a eu raison de Wade et un jour aura raison de Macky et de tous ceux qui l’entourent.
Frédéric Diallo Xalimasn Thiès.

2 Commentaires

  1. DÉCLARATION

    La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.

    Devant le constat :

    d’une situation générale de mal gouvernance,
    de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
    de non respect des textes universitaires,
    de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
    de la dégradation des conditions de travail,
    de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
    de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.

    L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….

    L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.

    Ainsi, l’AG exige :
    le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
    le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
    Heures Complémentaires du second semestre,
    perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
    le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
    le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,

    L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
    Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.

    Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.

    Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
    L’Assemblée Générale


    Saint Louis, 22/06/2012.

    SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).

    APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

    Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Ans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

    LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

    Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement don’t certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.

    Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.

    C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.

    VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.

    L’Assemblée générale
    _
    leral.net 9 oct. 2012
    de Citoyen

    Sauvons nos universités publiques du naufrage.

    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.

    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.

    A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.

    Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

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