Macky SALL au sommet de son impopularité !

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« Ceux qui s’obstinent à empêcher une révolution pacifique doivent s’attendre à affronter une révolution violente » – John Fitzgerald Kennedy.
Nos nouveaux types de prédateurs, en faisant l’apologie des investisseurs français, sont tombés dans les travers de la recolonisation sans véritablement tenir compte de ses effets à moyen et long terme. Ces esclavagistes d’une nouvelle ère en liquidant les deniers publics, pour leurs propres intérêts égoïstes, stimulent la perpétration de la prévarication de la richesse nationale. Ces crimes économiques perpétués, dans le but d’assouvir les sombres desseins des lobbys capitalistes Français, entravent malheureusement la liberté d’action des compagnies Sénégalaises.
Le pouvoir continue de s’incliner sous le poids des intérêts économiques de ces bailleurs d’antan. Ces colonisateurs, pour obtenir leur retour sur investissement, abusent de la complicité de cette marionnette manipulée au pinacle de l’État. Le bradage du patrimoine portuaire à ces expansionnistes permet au tenancier du pouvoir de rembourser indirectement les dettes contractées lors de la précédente campagne électorale. Cette ruée vers l’exploitation des terminaux à conteneurs du PAD de Dakar, a pour principal objectif de diversifier leurs activités pour alimenter leurs paradis fiscaux.
Cette frénésie de vouloir solder à vil prix, les ressources naturelles à des fins de projet colonialiste, a amené ce nègre de service de la présidence à bazarder illicitement à l’amiable la concession du terminal vraquier du môle 8 à la société Française Necotrans. C’est fort de cette conspiration au motif inavoué que ce boy de la France a confisqué l’exploitation du trafic de pondéreux, pour imposer l’hégémonie d’une entreprise étrangère qui n’a aucune expertise en la matière, au détriment de 24 entreprises nationales employant aux bas mots 45 000 sénégalais.
Nos faux gouvernants font fi des aspirations légitimes du bas peuple tout en se contentant de préserver et servir les avantages exclusifs des impérialistes français. Profitant de la mafia organisée sous le règne de ce nègre de service, dépourvu de la moindre ressource intellectuelle, les expansionnistes s’accaparent à tout-va de toutes les opportunités d’affaires vu que les marchés sont imperméablement fermés aux firmes nationales. Travaillant dans le cadre des réseaux françafricains, ce gouvernement d’aventurier corrompu jusqu’aux os, paraphe des contrats sans débat en détournant à leur profit les commissions occultes passées en dessous de table.
Ce minable valet de la France de la présidence, doué d’une extrême nullité, se sert à souhait du fleuron de l’économie sénégalaise comme une plate-forme pour embourber dans la pire des servitudes les privés nationaux. Ce marchand d’esclave a fait le pari abscons de faire jouir délictueusement à la firme esclavagiste Necotrans un investissement non Productif de 48 milliards de FCFA. Ce placement pouvait pourtant servir à ces 24 entreprises locales d’autant plus qu’il a été acquis des suites d’un emprunt auprès des banques de la place et non sur fonds propre.
Ce projet extraverti vers la France est indigeste car rien que la période initialement requise de 15 ans a été indûment rehaussée jusqu’à 25 ans. Ce détournement plus que cocasse, réalisé par le jeu de prête nom via son fidèle bailleur de fond, Gregory Querelle le PDG du groupe NECOTRANS, fera chaque année aux bas mots 22 milliards de F CFA de profit, pour un investissement emprunté à l’ordre de 48 milliards de FCFA. Ce qui revient à dire que sur 25 ans cette société empochera iniquement 550 000 000 000 FCFA. Le port de Dakar est dorénavant une vache à lait que les impérialistes français utilisent selon leurs bons vouloirs pour se refaire une santé financière.
Ces pratiques dignes de l’époque coloniale se passent pourtant sous le nez des défenseurs absolus de la nation même s’ils ont une sucette dans la bouche les empêchant de porter à haute voix les récriminations justifiées du petit peuple. Le Mouvement Yen a marre (cheval de Troie), après avoir savamment manipulé le peuple, se terre dans un silence assourdissant au point de recevoir les décorations de Laurent Fabius pour service rendu à la France. Normal puisque ces traitres de la nation sont en connivence avec les colons.
Cet état de fait pousse le saltimbanque de la présidence, façonné par ces colons, à s’écarter du chantre de la transparence juste pour consolider l’influence des sociétés françaises. L’’attribution sans concurrence de l’exploitation du Môle 2 de Dakar au groupe néocolonial Bolloré, donne une dimension plus abominable, de la mainmise des français sur la recolonisation de notre économie.
Ce corrupteur de père en fils, en se hissant sur les dépouilles de nos entreprises locales avec son bâton colonial, ne fait que reprendre de la main droite ce qu’il avait fait semblant d’allouer de la main gauche, car étant le principal pourvoyeur de fonds de la campagne de diabolisation du président WADE, qui l’avait chassé du port de Dakar. Ce groupe néocolonial abusera de ce monopole pour piller sans vergogne nos richesses, sans réinvestir en retour pour la modernisation de ce butin de guerre, parce qu’étant dans son espace de privilèges.
Pendant que le docile mouton de panurge de la présidence se plie débilement devant les directives de cette politique de subordination esclavagiste des milliers d’emplois évoluant dans le domaine de la logistique portuaire sont en train de fondre comme du beurre sous le soleil. Comme au temps de la traite négrière, ce groupe d’hommes blancs se paye le luxe d’occuper illégalement cette espace aussi stratégique, qui normalement devait être octroyée aux entreprises locales, avec la complicité de ces vendeurs d’esclaves. Bolloré et Necotrans, comme du temps de Faidherbe, se contenteront de faire le maximum de profit en exploitant abusivement les ressources portuaires, narguant ainsi tous les investissements consentis par DP WORLD.
Pour poursuivre son projet impérialiste, le groupe néocolonialiste Bolloré qui en 80 ans de présence au Sénégal, n’a entrepris la moindre transformation structurelle, manœuvre à merveille cette justice taillée sur mesure, pour achever politiquement le ministre d’État Karim WADE, simplement parce qu’il avait opté pour une diversification des partenaires économiques du Sénégal et plus particulièrement pour le pôle des pays émergents asiatiques.
En réalité, le ministre d’Etat Karim WADE est arbitrairement séquestré pour avoir commis le crime de lèse-majesté de vouloir faire sortir l’économie sénégalaise de l’hégémonie de la France. Imbu d’un sens inouï de patriotisme, il était convaincu qu’il faillait renforcer le PAD à travers des infrastructures viables raison pour laquelle DP World a très tôt retenu son attention, étant donné que Bolloré tourné uniquement vers l’intérêt de la France, ne faisait point le poids devant cette firme émiratie qui pesait rien qu’ en 2012, 3 121 milliards de ¨dollars de chiffre d’affaire.
Piloter en sous-main par les occidentaux, ces aliénés agissant sous leurs coupoles s’activent dans l’ombre de ce gadget juridique dénommé CREI, pour dénigrer l’ancien partenaire stratégique DP World, devenu par la force des choses un trésor caché retrouvé de 430 milliards de FCFA appartenant au ministre d’Etat, Karim WADE. L’unique objectif caché derrière le harcèlement sans fondement juridique du frère Karim WADE, vise à détruire politiquement ce fervent nationaliste qui a tenu la dragée haute contre toute velléité de recolonisation l’économie sénégalaise.
Au moment où ces impérialistes s’emparent des atouts traditionnels de l’État, leurs bras financiers tels que la banque mondiale exigent la mise en place de réformes universitaires contestées et exécutées par leurs complices établis au sommet de l’État. Pour jouir des effets d’une dette astronomique promise par ces bailleurs de fonds, cette réforme inique de l’enseignement supérieur a été approuvée de façon sauvage par le gouvernement, sans concertation avec la population concernée.
Cette lettre d’intention économique exécutée par ce gouvernement de pillards et rejetée par les étudiants fait planer le risque d’une année blanche, exacerbant par ce fait la crise de l’éducation déjà dans une situation inquiétante. Cette procédure enclenchée dans la précipitation n’est pas conforme avec l’idée des réformes telles que voulues par les institutions financières internationales. Pour le nègre de service de la présidence, seul les caprices crypto-personnels des groupes Français comme Bolloré et Nécotrans ont de l’importance à ses yeux.
Les appels au secours légitimes des étudiants ne sont qu’une question mineure pour cet officier de la légion d’honneur française qui illustre encore une fois de plus le mépris qu’il éprouve à l’égard de sa jeunesse. Le salut pour lui et la ministre de l’enseignement supérieure, Marie NIANE, ne réside que dans l’oppression, l’humiliation et la violation des droits du bas peuple.
La ministre Marie NIANE pour camoufler sa mauvaise foi, prétexte arrogamment que cette réforme, validée dans un climat d’improvisation, permettra de désencombrer l’UCAD afin de réduire les lourdes charges de l’État. Selon nos décideurs gouvernementaux les ressources additionnelles issues de cette cette austérité permettront de bouleverser immédiatement les conditions de vie des étudiants. Cette justification maladroite est loin de complaire la jeunesse estudiantine, rassasiée des envolées verbales qui en plus d’être loin de leurs intérêts, ne sont en fait que du dilatoire.
Ces jeunes étudiants comprennent difficilement que leurs habitudes séculaires de survie proches de la misère, soient violées et piétinées, sous le prétexte malhabile du principe sacro-saint des recommandations des partenaires au développement, à un moment où les dépenses de prestige répétées de nos décideurs politiques ont atteint un niveau jamais égalé. Au moment où les inscriptions sont passées de 4 500 FCFA à 75 000 FCFA, le salaire des DG a été rehaussé de 5 millions de FCFA avec une prime annuelle de 21 millions de FCFA.
Au moment où leurs bourses mensuelles à l’ordre de 36 000 FCFA sont supprimées, cette poignée de privilégiés au sommet de l’État abuse des deniers publics comme bon leur semble. L’illustration a été faite avec l’octroi tout récemment de 80 millions de FCFA aux membres de l’APR pour tenir un meeting à Paris et 700 millions pour festoyer l’anniversaire de leurs 5 ans. Étant pour la majorité dans un état de pauvreté extrême et où les conditions minimales d’une vie décente ne sont pas réunies, les étudiants ne peuvent plus se contenter d’écouter les mensonges d’État du benêt de la présidence. Par ces temps de misère, les députés ont bénéficié de rutilants 4X4 coûtant 35 000 000 de FCFA l’unité, en plus de leurs salaires exorbitants de 1 million de FCFA.
Cette jeunesse trahie n’arrive toujours pas à comprendre qu’au moment où 4 000 étudiants sont entassés dans un amphithéâtre devant contenir 500 personnes que le fessu Macky SALL, pour satisfaire la libido de la népotique Aminata TALL, érige le CESE, une institution aussi budgétivore qu’inutile. Ils n’arriveront pas avaler cette amère pilule si l’on sait que les salaires des 120 sénateurs du CESE sont passés de 700 000 F CFA à 2 000 000 FCFA.
Les étudiants ont résolument du mal à comprendre qu’au moment où certains parmi leurs camarades ne sont pas orientés faute d’infrastructure adéquate que le bon d’essence mensuel des députés passe de 250 litres à 300 litres. A ces honteuses dérives gabègiques s’ajoutent le fait qu’au même moment 150 vacataires maitrisards rasent les murs de l’université. Et pourtant chaque fin du mois le président de l’assemblée nationale et du conseil économique environnemental bénéficient de fonds politiques de 50 millions de FCFA. A cela viennent s’ajouter les 10 600 000 000 FCFA de fonds politiques dilapidés en 8 mois par le nègre de service de la présidence.
Rien que les fonds politiques du président de l’assemblée nationale à l’ordre de 600 000 000 FCFA/ année couvrent le salaire moyen de ces 150 vacataires chômeurs car se situant à 270 000 000 de FCFA. Le gouvernement n’a trouvé rien de mieux que d’octroyer des primes de logement à l’ordre de 150 000 FCFA aux députés soit le salaire d’un vacataire enseignant à l’UCAD. Pendant que ces dignitaires du régime se vautrent dans l’opulence avec des avantages indus les pauvres étudiants sont contraints de se serrer la ceinture. Quelle injustice !
Au moment où on assiste à la privatisation du système éducatif, la girafe Abdou DIOUF ose déclarer que ‘’ le Sénégal est entre de bonnes mains’’. Normal puisque le valet de la présidence suit son parcours qui consiste à baisser la culotte pour se mettre quatre pattes devant leurs papas François HOLLANDE. Les 45 milliards de FCFA consentis pour l’édification de la salle de conférence de Diamniadio et les 7 milliards de FCFA détournés sous le prétexte loufoque de service pour la communication du sommet inutile de la francophonie pouvaient construire 5 grandes universités et désengorger l’UCAD. L’amère impression qui se dégage au niveau du bas peuple est que le boy des expansionnistes Macky SALL a été élu pour servir la France, qui en profite pour nous recoloniser sous un autre visage moins hideux via des masques comme la francophonie.
Le secrétaire général de la présidence, Seydou GUEYE, avec ses dents aux couleurs de jaune d’œuf qui débordent et se dédoublent comme une course poursuite à l’autoroute à péage, au lieu de s’attaquer au président WADE, devrait plus tôt parler au pantin de la présidence pour qu’il cesse de spolier le PAD et de s’agenouiller devant ces colons pour leur demander la pitance. Vu la situation alarmante de ce pays, si réellement Macky SALL aimait sa jeunesse comme celui qui a généralisé la bourse, il allait rationaliser les dépenses de l’Etat en supprimant le CESE, en diminuant le salaire des DG, en ramenant le salaire des députés de 1 150 000 FCFA à 500 000 FCFA et non en escroquant ces braves étudiants.
Cette jeunesse estudiantine qui voit sa dignité bafouée se lèvera à coup sûr sous peu, comme les jeunes Égyptiens et Tunisiens, pour dire non et non à ce gouvernement à jeun d’actes concrets. Ces vaillants étudiants doivent savoir que la décadence du chef de la transition, Macky SALL, est irrévocable, d’ailleurs c’est juste une question de temps car ce nègre de service, après avoir déçu tous les espoirs placés en lui, est au bout du souffle.
Éternel Wadiste
Moïse RAMPINO

2 Commentaires

  1. Revoilà moïse Rampino, le fils de Sarr rampant.

    Le tétard qui a pondu ces lignes, jouit -il de toutes les facultés, qu’on doit attendre d’un homme émancipé.

    Est -il toujours sur la liste d’attente du psychiatre qui devra lui doit injecter le psychotrope à ce névropathe fils d’un histrionique pervers.

    Eh oui, Karim n’est plus prompt à payer tes consultations chez la psychologue.

    En plus, où as tu appris que nous avons élu un Président, né après l’indépendance, pour qu’il soit juste populaire , et qu’il vienne nous asséner des bonimensonges à visée populeuse. On a déjà trop subi d’enfantillages de 2000 à 2010.

    Moise, tu n’émeus personne avec tes éructations et flatulences de brebis galeuse…

    Rampino, tu peux continuer à ramper mais wata Watt, à babiller mais sans nous sallir de ta bave fétide.

    Vive la Républiquedu Sénégal.

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