Me El hadji Diouf dézingue Cissé Lô : « Un ancien vendeur de poulets expulsé de Touba qui cherche…”

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La “guéguerre” entre Moustapha Cissé Lô et maître El Hadji Diouf semble se répercuter dans l’entourage des deux leaders. En effet, Cheikh Fall Kane, en fervent défenseur de son mentor, le “député du peuple”, est monté au créneau. Selon le secrétaire général des jeunes du Parti des travailleurs du peuple (Ptp), le président Macky Sall s’amuse avec ma République en couvant un “fou”, un “ignorant”.

Qualifiant Moustapha Cissé Lô d’homme inculte, de “fou heureux propulsé par le Président Macky Sall qui joue avec la République“, le responsable du parti de Me El Hadji Diouf n’a pas porté de gants pour défendre son président. Et selon l’interlocuteur de nos confrère du Témoin, El Hadji Diouf n’est pas l’égal de Cissé Lô. Mais plutôt celui de son chef Macky Sall qui est au même titre que lui un chef de parti politique.

Il poursuit: “Me El Hadji Diouf n’est pas n’importe qui dans ce pays. Avocat international, il occupe dans ce pays le poste de Ministre et de député avec deux législatures sans compter son statut de prince car étant le petit fils de Fodé Diouf, dernier Bour Saloum. Me Diouf est un homme de principe et incarne l’espoir du Sénégal. Contrairement à Cissé Lô qui n’a pas de Vc, ancien vendeur de poulets expulsé de Touba qui cherche une base politique à Dakar .“

Senego

4 Commentaires

  1. Dans un communiqué publié, mardi, l’Australien Far qui détient 15% des permis Rufisque Offshore, Sangomar Offshore et Sangomar Offshore Profond, a signalé qu’il détient un droit de préemption sur la vente des parts dont son partenaire de JV, ConocoPhillips, a entrepris la cession à Woodside Petroleum.

    En effet, le mois dernier, ConocoPhillips s’est lancé dans un processus de vente des 35% qu’il détient sur les trois licences offshore, à Woodside petroleum pour 350 millions $, en plus d’un complément d’environ 80 millions $. Une infraction au contrat, selon Far, qui a déclaré que « ConocoPhillips n’a pas respecté les termes de l’accord d’exploitation conjointe dans le cadre de la proposition de vente de ses intérêts ». La compagnie australienne révèle, par ailleurs, que la période couverte par son droit de préemption n’a pas encore commencé.

    L’opération de cession des parts de ConocoPhillips pourrait ainsi être remise en question. Toutefois, les deux parties ont été invitées par le gouvernement à trouver une solution amiable à ce problème. Far, de son côté, s’est dit ouverte à des négociations, en vue de parvenir à un accord entre les deux compagnies.

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