Les sommités du monde de la culture africaine sont à Dakar. C’est pour les besoins du centenaire de la naissance d’Alioune Diop du 3 au 5 mai sur le thème : « Alioune Diop, l’homme et l’œuvre face aux défis contemporains ». La cérémonie officielle était présidée par le Chef de l’Etat en compagnie du ministre de la culture et le Président du Sénat.
La cérémonie officielle était l’occasion d’entendre les discours du représentant du Pr Assane Seck, Président de la section sénégalaise de la Communauté Africaine de Culture, de celui d’Abdou Diouf, Secrétaire Général de la francophonie, de Mme Yandé Christiane Diop, Directrice de Présence africaine et épouse de l’illustre disparu, du discours du chef de l’Etat entres autres.
Alioune Diop, fondateur de la maison d’édition Présence Africaine était aussi l’un des fondateurs du mouvement de la négritude. Le discours du Pr Assane Seck qui le dit précise que : « s’il est peu cité c’est juste une discrétion volontaire pour permettre à tout le monde d’utiliser ultérieurement sa maison d’édition, Présence Africaine ». Alioune Diop qui définissait la négritude comme : « le génie négre et la volonté d’en révéler la dignité ». Il appartient aujourd’hui aux héritiers selon le Pr Seck de maintenir haut le flambeau.
Alioune Diop, « le Socrate noir » disait le Président Senghor, informe le discours d’Abdou Diouf, avait donné ainsi aux africains avec Présence Africaine, un véritable moyen d’expression. Avec les signatures d’illustres personnalités comme Senghor, Césaire, Damas, Monod, Sartre, André Gide, ce fut « un coup de tonnerre dans le ciel littéraire parisien ».
L’épouse du défunt, confiante avec l’engouement des jeunes sur l’œuvre d’Alioune Diop, dira que Présence Africaine sera toujours présente. Mme Yandé Christiane Diop qui n’a pas pu retenir ses larmes en parlant de la mort d’hommes de culture comme James Campbell, Sotigui Kouyaté entres autres.
Le Chef de l’Etat dira qu’Alioune Diop : « a ouvert une voie qui nous mène à la libération de la pensée africaine ». Le Président Wade très touché va expliquer son émotion : « Alioune Diop est un aîné, un ami et un compagnon de lutte d’où cette fierté d’être au cœur de ce colloque ». Pour Me Wade, on parle d’unité africaine, de renaissance africaine tout cela n’est en fait que le prolongement substantiel de Présence Africaine. Ainsi le Chef de l’Etat pense qu’Alioune Diop allait certainement aujourd’hui aimer le monument de la renaissance. Il a félicité celle qu’il appelle affectueusement sa sœur, Mme Yandé Christiane Diop et de qui il voit : « le modèle parfait de la femme noire ». Pour terminer Me Wade dit attendre beaucoup des travaux pour comme tout le monde dépasser la simple attitude contemplative.
Alioune Diop est mort le 2 mai 1980.
PRESSAFRIK.COM
Encore des Mensonges.
Tous ces mensonges pour son monument, vraiment le ridicule ne tue plus.
Wade me fait rire, quand, il dit connaître les Alioune Diop. De source sur, Wade ne fréquentait pas ce grand Homme. Wade est le dernier à publier un livre aux éditions Présence africaine. Les Cheikh Anta, Krouma du Ghana, G. Naser, Mandela, Senghor, Seku Toure, Lamine Diakhate, Sembene Ousmane, et tan d’autres activistes ont débute le grand combat, pas Wade. Il ne fréquentait même pas ces Hommes dignes. Il venait juste de découvrir la France, la culture, et la femme blanche. Au moment où ces africains luttaient pour libérer l’Afrique, Wade était dans les boites de nuits en France. Il n’a jamais eu le temps d’assister les réunions des étudiants et professeurs africains, toujours occupe par sa guitare et ses copines. Il n’aller même pas rendre visite son petit frère Cheikh Anta a l’époque professeur d’université, dieu le sait. Un vrai Kaw Kaw de Kebemer, qui voulait être d’abord toubab, avant tout. Wade était un DJ, parfois il jouait sa guitare en chantant des morceaux de Taxuran et de daw raabiin dans le metro, pour impressionner les blanches. Sans mentir, Wade sait bien ce que je dis.
3 personnes connaissaient Maître Wade.
1. Cheikh Anta Diop. (Wade ne prononce jamais le nom de ce grd Homme)
2. Serigne Abdoulahat MBacke : (Wade parle plus des autres que ce fils de Serigne Touba)
3. Senghor : Son rival (Senghor ; jamais sa classe)
Prêt pour la revolving des Mentalités.
Vive le Sénégal libre.
Vive l’Unité Fédérale et Révolutionnaire des Etats d’Afrique.
[email protected]
.