Pourtant, Karim Wade n’y est pour rien, nous sommes le mal

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Le cours des évènements sur l’affaire dite des biens supposés mal acquis a fini par mobiliser toute l’attention sur le fils d’Abdoulaye Wade. Faut-il rappeler que la motivation initiale découlait d’une forte aspiration à une bonne gouvernance, rupture souhaitée et promue au laxisme connu dans la gestion des deniers publics? Maintenant que nous voilà engagés dans des poursuites, à bout de souffle sur la ligne d’arrivée, nous voilà perdus dans une confusion, suspendus entre nos promesses d’appui aux efforts de transparence et nos constats refoulés des partis pris. Difficile de distinguer, à présent, la portée des poursuites sur les institutions de la traque des monarques déchus.

Le témoin de notre désarroi est palpable. Il s’agit de l’indifférence sur la culpabilité du mis en cause. Karim Wade n’intéresse l’opinion qu’à travers les conséquences sur le climat social du jugement qui lui sera opposé. Lorsqu’elle ne soulage pas de dommage subi, ne répare pas de préjudice subi, la décision de justice se vide de sa vocation de rétablissement des équilibres sociaux. Dorénavant, nous attendons, de la Cour de répression de l’enrichissement illicite(CREI), achèvement puis dépassement que droiture et délivrance dans la marche de ce pays, le Sénégal.

Nous en voulons encore à père Laye d’avoir trahi nos espoirs de « sopi » et des lendemains prometteurs, rossignols qui chantonnent l’hymne africaine des jeunesses sacrifiées. Pour autant, nous éprouvons encore, tout épris de justice, cette réticence devant la manipulation, devant l’iniquité. Les zones d’ombre assombrissent toujours des horizons convoités, ceux longtemps espérés de l’égalité devant la loi. Awa « coudou » n’est-elle pas sélectionnée, nettoyée puis ménagée?

Nous préférons une solution politique et administrative à la judiciarisation des solutions. Aux gouvernants, nous les attendons sur les défis pressants d’organisation sociale, loin des clameurs populaires enviables de virginité et d’innocence. Faut-il vous asséner que Karim ibn Abdoulaye est le dernier de nos préoccupations pour vous rediriger vers l’ambitieux projet de société. Nous en voulons pour notre argent, pour la conquête de notre dignité d’humain, bafouée dans le sillage de Barcelone ou « Barsakh », pour le retour au bercail espéré mais inquiétant?

Nous nous voulons équidistants des manipulations de père Wade, des fumisteries du maquis acquis à la capacité des aptitudes et des parodies de justice. Nous ne ressentons que meurtrissure de ce malaise d’oiseau dans le feuillage, bruissant de plaintes et de cris, passionnés d’envol vers l’abri, décollé des soubresauts politiciens. La solution à nos problèmes de mal gouvernance est politique, elle requiert des mesures permanentes, le seul arrêt procédural ne suffit pas à redresser les habitudes arrangeantes. Karim Wade ne peut servir de moyen à la volonté manifeste depuis fort longtemps de renouveau démocratique, il est trop petit pour contenir l’immense prévision de gestion sobre et améliorée des richesses nationales. Il est insignifiant devant nos revendications et inspirations motivantes de prise en charge de la soif de progrès et d’émancipation.

C’est triste que, de la CREI, nous n’attendons maintenant que victoire ou défaite de clans et de partisans, accapareurs du destin collectif. Nous ne nous retrouvons pas dans les espiègles échanges de traitres des objectifs de renaissance, des cibles de prospérité, des rêves d’équité et d’égalité. Nous en voulions à Karim Wade pour ses représentations diverses du sénégalais lambda, favorisé d’hérédité et de connivence. Aujourd’hui, en désespoir de cause, nous lui témoignons curieusement notre sympathie de sénégalais, sensible à l’injustice et à l’inefficacité des intrigues perpétrées sur quidam aux fins des règlements de compte.

Il n’est jamais trop tard pour battre sa coulpe, vaincre et convaincre de bonne foi. Karim n’est pas notre ennemi, il traduit fâcheusement notre tendance à abuser de nos pairs. Sidy Lamine Niass est périmé de duperies, Kara Mbacké est passé date depuis les récents dépouillements, nous cherchons à recouvrer notre plénitude. Qu’attendons-nous pour être heureux?

Birame Waltako Ndiaye

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8 Commentaires

  1. vous waltacko…avez placé des espoirs en wade…vous waltacko avez peut etre voté pour lui..vous waltacko lui temoignez votre sympathie singuliére et peut etre meme que vous waltacko etes le mal….ne generalisez surtout pas. il y a des millions de senegalais qui n ont jamais voulu avoir affaire au bestiaire politicien senegalais, qui en particulier n’ont jamais vote pour wade et son pds…qui n ont aucune sympathie deplacee pour des voleurs ou des criminels d ou qu ils soient, ps pds rewmi afp apr…..qui essaient avec conviction de vivre d apres des principes sains et simples(tu ne voleras pas!) et qui donc n ont rien a voir avec le mal dont vous parlez……la prochaine fois parlez en votre nom et laissez nous en dehors de tout ca.

  2. je vous avais dit depuis le debut que karim wade peut etre riche: le senegal a mis a la disposition de son pere 96 milliards( 8 milliards * 12) qu il peut depenser comme bon lui semble sans rendre compte. cest a dire 21 millions 917.000,808 CFA par jour.celui ci son fils ne peut pas avoir un probleme dragent. Si Idrissa seck et macy sall peuvent senrichir sur largent de wade a plus forte raison son fils. Tant qu on est dans des sommes qui tournent autour de 50 milliards karim peut les justifier par les fonds politiques.Si ce gouvernement etait seulement anime par le changement voulu par les seneglais , sa premiere decision etait de changer la loi sur ces fonds . on me disait les sommes detournees depassent largement 1000 milliards .Aujourdhui on se rend compte que les 696 milliards reclames il reste 117 milliards dont il faut retirer les 47 millards de Singapour.car tout le monde sait que alboury ndao ment
    •AHS : 18 938 653 000 CFA appartient a Bourgi (Pouye s’est attaqué au patrimoine de 117 milliards FCfa attribué à Karim Wade qu’il a revu en baisse par une démonstration. «L’évaluation des sociétés Ahs pour la période 2014-2021 a donné la somme de 18,9 milliards de FCfa. Et cet argent est inclus dans les 117 milliards de FCfa visés dans la procédure. Cela revient à évaluer un enrichissement futur. Est-ce que ce n’est pas une erreur fondamentale ? Il faut déterminer un délit d’enrichissement réalisé et non un délit qui pourrait être réalisé. On peut donc dire que, sur les 117 milliards de FCfa, les 18,9 milliards sont faux», a démontré Mamadou Pouye. Même pour cette évaluation, il remet en cause le chiffre de l’expert, «car dans le cadre de Ahs Guinée, la durée de la licence n’excède pas 2017». Pour le prévenu, si on comptabilise ce montant, «on serait alors devant le cas inédit d’un jugement sur un délit qui pourrait se produire dans le futur». Si la Cour venait à accéder à la demande de Mamadou Pouye, il y aurait moins de 100 milliards de FCfa qui feraient l’objet de cette procédure. )
    • HARSTAND : 17 872 864 759 CFA ( cest un terrain de macky sall qui ete decouvert sur la corniche pas de karim dapres le temoignace de Tahibou ndiaye ala crei)
    • BPF : 9 954 683 028 CFA (sur le site internet FINANCECOM de la holding familiale de Mr Benjelloun, ce dernier précise bien qu il est le propriétaire de Blackpearl: http://www.financecominternational.com/conseil_aux_entreprises.php
    « La filiale Black Pearl Finance se consacre plus particulièrement aux opérations de conseils et activités de banque d’affaire sur le continent africain. En s’appuyant sur le réseau panafricain de FinanceCom, Black Pearl Finance a pour objectif d’offrir à sa clientèle internationale des services haut-de-gamme. »)
    le nouveau pouvoir a 3 problemes a regler avec karim wade:
    1. la vengence
    2. masquer son imcompetence comme les promesses electorales ne seront jamais tenues.
    3. Eliminer 1 potentiel adversaire pour les prochaines elections car on peut tout reprocher a karim mais ila fait du concret et du palpable dans ce pays: wedi Guiss boukouthi

  3. Un tout petit peu de logique. Si Karim vole, et de façon aussi flagrante que le dit la presse (cad prête nom et action en milliards), il serait le plus idiot de la planète terre, son père avec lui.
    Rappelez-vous que c’est en 2002 que la presse a commencé à être instrumentalisée contre lui. Première accusation : être le propriétaire des Call-Center qui essaimaient dans Dakar. C’était en vogue, les Call-Center. Ca valait des milliards, dans les rêves. C’est à la même période que le journal Le Nouvel Economiste de France a été lancé sur Karim. Accusation; Partenariat avec des marocains (déjà ?) pour acquérir la Sonatel. Aujourd’hui, il est tentant de voir France Telecom (futur acquérir derrière ces médias). A la même période Latif commence sa série de livre sur la famille Wade.
    Trop tôt, déjà, Wade et famille ont été avertis que le seul axe sur lequel ils seront attaqués sera l’accusation de vol. Wade a été au pouvoir dix ans après. Et durant ces dix ans, il a eu chaque année une caisse noire en milliards pour laquelle la loi dit qu’il peut en disposer comme bon lui semble, sans avoir de compte à rendre à personne. Même Idrissa Seck a eu à se justifier par le pouvoir discrétionnaire de Wade qui lui a permis de racheter des âmes avec les fonds politiques, même Macky a eu à se justifier par des dons de Wade parmi ses 8 milliards. Question : qu’est ce que ça couterait à Wade de mettre une dizaine, une vingtaine, une centaine de milliards de côté pour son fils, de la façon la plus légale puisque la loi dit qu’il peut en disposer comme bon lui semble ?
    Si Karim vole, s’il n’est pas le plus idiot de la terre, alors, il faut m’expliquer comment quelqu’un qui peut ramasser légalement de l’argent puisse préférer sauter en parachutiste, de nuit, depuis une montgolfière, pour passer à porter de main d’un balcon d’un étage pour y voler un porte monnaies qu’il a entrevu. Simplement illogique.
    Si Karim vole, s’il n’est pas le plus idiot de la terre, alors, il faut m’expliquer comment un voleur, face au propriétaire qui crie « Au voleur » avant même quoi que ce soit, que ce voleur finisse quand même par voler et garder le produit là dans la maison du propriétaire.
    Xeme vous dit, en un mot comme en mille qu’il faut être extrêmement borné pour croire à ce qui est écrit dans la presse sénégalaise ces dernières années.
    L’attitude intelligente serait de se demander : qu’est ce qu’on travaille dans mon cerveau et pourquoi ? Même si on n’a pas la réponse, se poser la question, c’est déjà être intelligent.

  4. Dans ce procès, on est bien dans le fond du dossier, non ? Jules Diop nous disait que la CREI détient des preuves irréfutables. On comprend que c’est parce que les gens se disaient que la CREI n’a aucune preuve. Jules Diop nous disait donc qu’au procès, « attendez-vous à voir et entendre autre chose que ce que vous avez lu jusque là dans la presse ». Autrement dit si votre conviction est bâtie sur ce que vous avez lu jusque là dans la presse, sachez qu’il y autre chose. Or, à la date d’aujourd’hui, qu’avez-vous vu ou entendu de nouveau dans le procès et que vous n’auriez pas lu dans la presse ?
    En 2002, Latif Coulibaly disait: » Karim a volé des milliards » avec comme seules preuves sa plume, sa haine et ses objectifs politiques. Et Karim répondait: » Ce sont des accusations mensongères, sans fondement ». Et le peuple, arbitre, se disait qu’il n’est pas possible de se faire une certitude, parce que c’est son père qui est au pouvoir.
    De 2002 à 2012, les Jules Diop, Madiambal, Yakham, Dansokho, Bathily ont continué de répéter « Karim a volé des milliards » et Karim a continué de répéter » ce sont des accusations mensongères ».
    De 2012 à 2014, le travail médiatique a été fortement renforcé par un procureur qui est allé en conférence de presse crier « Karim a volé des milliards » et Karim de répéter « Accusations mensongères ».
    Si dans ces conditions on arrive à un procès, que doit on attendre de ce procès ? Les mêmes sempiternelles « Karim a volé des milliards » et « accusations mensongères » ? Vous conviendrez avec moi qu’on doit attendre de ce procès ce que Jules Diop nous avez promis. Ce qui, dans tous les pays du monde, est appelé « pièces à conviction ». On attendait du procureur spécial, on attendait des avocats de l’état, après « Karim a volé des milliards » et « accusations mensongères » qu’ils nous disent « voici le document qui met fin à vos dénégations », « voici l’objet qui prouve que vous êtes des complices », « voici le matériel qui affirme que vous avez volé », « Voici la pièce qui atteste que vous possédez telle chose ».
    On attend d’un tribunal des éléments, des objets, du matériel, qui nous fait passer de la phase affirmative et subjective à la phase scientifique et objective. On attend d’un procès la matérialité qui met fin au narratif. Le procès ne peut être un prolongement, dans le Palais de Justice, des tournures de phrases de campagne électorale.
    Et pourtant entre 2002-2012 et 2014, l’état a dépensé pas moins de 10 milliards en honoraires, frais de mission, émoluments d’experts, et commissions rogatoires. Vous conviendrez avec moi, qu’on ne se déplace pas du Sénégal à Monaco pour aller chercher une belle phrase. On y va pour chercher des éléments matériels. On se déplace à Singapour pour avoir du matériel et non pour y chercher un beau parleur. L’état a donc payé 10 milliards pour réunir du matériel pour un procès. Au procès, ce devait donc être du matériel.
    Malheureusement, à la date d’aujourd’hui, au Tribunal, le procureur remplace un Dansokho politique, un avocat remplace un Latif, un autre avocat remplace un Jules Diop; et avec les mêmes moyens: la belle langue, la haine bien affiché (même si c’est du théâtre) et leurs objectifs politiques. En procès (en 2014), la situation est la même qu’en 2002. Les politiciens affirmaient que Karim a volé (eux, on les comprend), la CREI continue à affirmer que Karim a volé, alors que l’état a dépensé 10 milliards pour qu’on franchisse l’étape des affirmations.

  5. Accusé d’avoir un patrimoine estimé à 694 milliards de FCfa, Karim Wade limite les avoirs immobiliers de sa famille à deux maisons : une au Point E, une à Sicap Rue 10 et une autre à Touba.
    « Nous n’avons pas d’immeuble au Sénégal, c’est une maison familiale, qui est en train d’être agrandie et rénovée au Point E, à Dakar, à laquelle s’ajoute celle située à Sicap, Rue 10, et une maison en construction à Touba. Nous n’avons pas d’appartement à Avenue Foch à Paris, ni de propriété dans la vallée Chevreuse, ni sur les bords de la Loire », a dit Karim Wade au Procureur. Il a même rappelé les déclarations de son père, Me Wade, qui invitait les maires de France à saisir tout immeuble se trouvant dans leur juridiction et qui lui appartiendrait. Et l’ancien super ministre de renchérir. « Nous n’avons pas de comptes en banque fournis, ni d’actions en bourse ou des titres d’émission, c’est pourquoi je suis fier d’appartenir à la famille de l’ancien président Abdoulaye Wade ». L’on se doute alors que, dans sa réponse au Procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite, Alioune Ndao, il a nié être propriétaire des biens qu’on lui attribue

  6. Dans ce monde contemporain , moderne , globalisé , informé en temps réel , où les distances n’existent quasiment plus , où la possibilité de vérifier tout , sur tout et tout de suite , est devenue (c’est le cas de le dire)un jeu d’enfant ; parce que d’une facilité déconcertante grâce à cette grande technologie qui est la nôtre en ce moment ; mais de même ce monde où , pour les mêmes raisons chacun est en mesure de se procurer les moyens légaux mais aussi illégaux de parvenir à ses fins , et pour assurer aussi sa défense quelle qu’elle soit le cas échéant ; Il est impératif , impérieux , vital même , qu’à un moment , dans la vie d’une nation , tous les hommes et toutes les femmes épris de justice et de bien ; au devant des quels , les leaders politiques , les responsables d’organisations de masses , les intellectuels de tous bords , les industriels etc … , n’acceptent pas et pour rien au monde , qu’une petite poignée d’entre eux , comme c’est le cas actuellement chez nous , il faut le dire ; investis de ce pouvoir qui leur est donné par cette nation même , en abuse si déloyalement sans aucun état d’âme . Sans aucun égare surtout pour le peuple sénégalais pourtant si respectueux des institutions .

    Cela est d’autant plus grave que , cette poignée de détenteurs de l’autorité publique est assurée de sa domination sans faille sur le peuple et de son impunité certaine pour leurs actes indignes et condamnables . Et cela , seulement du fait de l’hypocrisie intellectuelle qui est entretenue , d’abords par des « médias » et une « presse », nationaux , dirigés par les individus que l’on sait (Latif Coulibaly ,Madiambal Diagne , Souleymane Jules Diop etc…) , et même internationaux , tous soutenus en vérité par des Etats tiers , qui ne se soucient en réalité que des intérêts pécuniaires qu’ils peuvent tirer de notre pays , c’est connu de tout le monde à présent (Les très étonnantes et tout aussi surprenantes déclarations , dictées ou non par son gouvernement , de l’ambassadeur PAGANON sur le verdict , dans la procédure Karim WADE , et cela , au grand mépris du très grave danger qu’il font ainsi courir , à la paisible et sociable communauté français établie au Sénégal entre autres méfaits) , par un espoir de probables avantages à en tirer pour certains , et une apathique veulerie de parvenus pour d’autres , qui ne se sentent pas concernés , d’autant eux , tireront toujours leur épingle du jeu quoi qu’il arrive .

    L’exemple des nations pourtant déjà très développées , doit inspirer le peuple sénégalais .
    La revendication d’une justice vraie , basée sur des institutions irréprochables et des textes équitables , des procédures et procès honnêtes , des hommes à l’honorabilité ne souffrant d’aucun doute , est une exigence pour tous les peuples qui aspirent à un développement durable pour tous leurs fils et filles sans aucune exclusion , dans ce monde en mutation si accélérée , ou toute erreur des dirigeants se paye cash par les populations ; LES ETATS NE SE FAISANT PAS DE CADEAUX , PARCE QUE N’AYANT PAS D’AMI , SEULEMENT DES INTERETS .

    L’histoire est à nos portes , et nous contemple .

    Nos cousins et amis ivoiriens , se sont tirés une balle dans le pied ; leur sera-t-il plus jamais possible de remarcher correctement sur leurs deux jambes ? (PARABOLE).

    Nos frères de la Guinée-Bissau , se sortiront-ils jamais des affres de leurs révolutions répétitives ?

    DE TOUTES FACONS , CONDAMNEZ KARIM , ET VOUS AUREZ MENTI SUR VOTRE HONNETETE ET A VOTRE SERMENT , A LA FACE DU MONDE ENTIER , ET DEVANT L’HISTOIRE . POUR NOUS PEUPLE SENEGALAIS LA CHARGE DE LA PREUVE VOUS INCOMBERA TOUJOURS . PARCE QUE LA CREI A ETE UTILISEE A DESSEIN .

    L’EPHORAT , DONT VOUS ÊTES INVESTIS AUJOURD’HUI , VOUS MAGISTRATS DE LA COUR DE REPPRESSION DE L’ENRICHISSEMENT ILLICITE (CREI), TOUT COMME L’AUTORITE MÊME DE MACKY SALL , NE SERA JAMAIS QU’EPHEMERE . MAIS L’ON VOUS RACONTERA « AD VITAM AETERNAM » DANS LES SALONS ET CHAUMIERES DU SENEGAL ET DE NAVARRE ; FAITES QUE CE SOIT EN BIEN . POUR VOTRE LIGNEE .

    LIBEREZ KARIM WADE ET SES CODETENUS IMMEDIATEMENT ET SANS CONDITION , LES WADE ONT DEJA EMERGE LE SENEGAL .

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