XALIMANEWS: Constitutionnaliste et membre de la Société civile, le Professeur Babacar Guèye ne comprend pas la décision du Conseil constitutionnel qui a invalidé la candidature de Khalifa Sall.
«Sur le plan du droit, le Conseil s’est trompé», a-t-il déclaré sur le plateau de la Tfm. Avant d’ajouter : «De mon avis, Khalifa Sall devait être candidat. Car le rabat d’arrêt dans ce cas de figure est suspensif. C’est ce que nous avons appris à nos étudiants. Moi je ne sais plus ce que nous allons enseigner à nos étudiants. Je ne sais plus comment faire face à mes étudiants et leur dire que le rabat d’arrêt est maintenant suspensif.»
Avec Seneweb
Cher Pr, il faut juste fermer cette faculté. Les 7 Golos ont dit tout sauf le droit. Supprimer le Conseil des incompétents avant qu’il ne soit trop tard.
le conseil ne s`est pas trompe c`est du ma tey.rien de nouveau tout le monde savait deja.je ne suis pas un fan de maky mais il faut lui reconnaitre un merite. c`est une bete politique sans coeur, qui sait ce qu`il veut et comment l`obtenir, qui comprend tres bien la mentalite des senegalais : ils aiment parler et non agir, ils ont peur de la prison et des bombes lacrymogenes, ils aiment lou noy,nekhe ta yombe, nos intelectuels sont des prostitues, nos fonctionnaires sortis de l`enam des corrompus qui pensent que le brevet de l`ENAM veut dire brevet pour s`enrichir, les politiciens, des girouettes, ils tournent dans le sens du vent, et vent veut dire pouvoir. make it easy, give him his second term et be ready togheter to build another senegal. kou nara khagne maky 2em mandat mou teudje la kasso wala mou rey la. s`il perd lui et sa dynastie iront au gnouf.
Il faut rappeler à vos étudiants cette phrase de André laignel
« Vous avez tort parce que vous êtes politiquement minoritaire »
Cela veut dire que le droit est une matière relative c’est une science humaine à ce titre il fonctionne avec les imperfections de l’homme
Dites à vos étudiants que lorsque la justice n’est pas totalement libre ses décisions varient selon la personnalité des hommes qui les rendent
Il n’en demeure pas moins que le rabat d’arrêt reste suspensif nonobstant cette décision plus politique que juridique
Et alors, quelles conséquences ? Comme dit l’adage Wolof « bey weuy na mbouss »! Au pays de N’doubélane, tout est possible parce que le peuple n’a pas de conscience politique forte !