Suspicions sur sa gestion de fonds – Aminata Touré se dit amusée par toutes ces « révélations » cousues de fil blanc

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Xalima news – L’ancien Premier ministre Touré ayant fait l’objet de suspicions quant à sa gestion de fonds qui auraient transité par elle, un communiqué nous est parvenu pour des éclaircissements. C’est ainsi qu’il est indiqué qu”’Aminata Touré se dit amusée par toutes ces ‘révélations’ cousues de fil blanc et signale que si l’objectif visé est d’influer d’une forme quelconque sur ses décisions politiques, cela est perdu d’avance, sans manquer d’attendre de pied ferme les petits comploteurs à la petite semaine”. La même source avait relevé auparavant que “suite à la persistance notée depuis quelques jours dans la diffusion de nouvelles concernant Madame Aminata Touré, C’est le lieu de préciser ce qui suit : Les fonds du procès Habré sont gérés par le comité des bailleurs de fonds avec à sa tête un administrateur. Les chèques remis par Abbas Jaber et Suneor sont au nom du Trésor sénégalais”.

Source: EnQuête

4 Commentaires

  1. Mimi ne devait pas pouvoir s’offusquer de vivre ce qu’elle a fait vivre à d’autres. Franchement elle devait se dire qu’elle vient de quitter le pouvoir, par conséquent elle a le devoir de reddition de chaque jour des ses comptes. Et la reddition procède par accusations délibérées dont elle a la charge de prouver la fausseté. C’est la présomption de culpabilité. Franchement pour être logique avec tout ce qu’elle a eu à faire, Mimi Touré devait s’interdire de nier une accusation, ou de s’accorder une mise au point face à une rumeur. Elle devait tout accepter, tout supporter, et attendre stoïquement d’être devant la justice pour se défendre.
    Elle doit rendre compte. Et d’ailleurs pour qu’elle n’ait pas l’occasion de brouiller les éventuelles pistes d’enquête, elle devait être mise en prison en attendant que des enquêtes sérieuses puissent déterminer si elle a volé ou pas. Pour cela, elle devait être en prison, et attendre que la justice fasse sereinement son enquête. Si elle n’a rien à se reprocher, elle ne doit avoir rien à craindre.

  2. L’instigatrice de toutes les machinations judiciaires sur d’honnêtes citoyens, s’est faite prendre dans son propre piège. Cette femme qui n’a aucune assisse populaire a voulu compenser son impopularité par le mensonge pour se forger une personnalité. Mais mal lui en a pris puisque les résultats calamiteux de sa gouvernance sont en train de le mettre à nue.Ce qui fait qu’aujourd’hui, la peur est entrain de changer de camp.

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