Quatre mois après le meurtre du commerçant sénégalais Babou Sèye, froidement abattu par des cambrioleurs devant sa boutique, sis au quartier Château d’eau de Brazzaville, (Congo), c’est au tour hier, d’un autre commerçant sénégalais, Mamoudou Dème 34 ans, de connaître le même sort. Il a été retrouvé mort hier, dans sa boutique, ligoté des mains et des pieds, étranglé avec un morceau de tissu et poignardé au niveau de la carotide. La Police locale a ouvert une enquête.
La grande faucheuse a de nouveau frappé au sein de la communauté sénégalaise établie à Brazzaville, (Congo). Le drame fait suite à la découverte macabre du corps sans vie du commerçant Mamoudou Dème 34 ans, retrouvé dans sa boutique, sis au quartier «Bas-Congo». À en croire, Hameth Tidiane Dème, frère de la victime, établi à Dakar, le défunt avait émigré dans ce pays, il y a deux ans, pour faire fortune dans le commerce. Divorcé, sans enfants, il était, selon son frère, employé dans une boutique de commercialisation de produits alimentaires. «Nous venons d’être avisé du drame et il semble que ses bourreaux l’ont ligoté, avant de l’égorger», a renseigné notre interlocuteur.
Seulement, pour avoir de plus amples informations sur les faits, nous avons pris langue avec Amadou Ly, Secrétaire général de la communauté sénégalaise à Brazzaville. Revenant sur les circonstances qui ont précédé ce drame, Amadou Ly a révélé que les faits se sont produits, «ou dans la nuit d’avant-hier, ou dans la matinée d’hier». Dans tous les cas, il a affirmé que c’est hier, ver 18 heures, que les voisins de la victime, ayant remarqué qu’il n’avait pas ouvert de la journée sa boutique, ont alerté les membres de sa famille présente à Brazzaville.
La porte de la boutique était fermée à clé et aucune trace d’effraction n’a été relevée
Une fois sur place, ces derniers ont de suite constaté que la porte de la boutique dans laquelle il passait la nuit était verrouillée. «Après avoir tambouriné en vain, nous avons récupéré la clé de secours qu’il avait l’habitude de confier à un voisin, et nous avons ouvert la porte», a confié Amadou Ly. Une fois à l’intérieur, ils sont tombés sur le corps de Mamoudou Dème, étalé de tout son long.
«Il avait les pieds et les mains solidement ligotés. Nous avons aussi remarqué qu’il semblait avoir été étranglé avec un morceau de tissu et poignardé au niveau de la carotide, juste sous l’oreille gauche», a souligné notre interlocuteur. C’est sur ces entrefaites, renseigne-t-il, qu’ils ont avisé les éléments de la police de l’arrondissement de Bas-Congo, qui se sont déportés sur la scène du drame. Les constatations d’usage effectuées par les limiers, note notre source, ont permis de remarquer «des bizarreries» de ce drame qui, selon lui, ont amené certains parmi les témoins, à écarter la thèse du meurtre, en avançant celle d’une fin mystérieuse.
Le corps a été acheminé à la morgue du Chu de Brazzaville, la police a ouvert une enquête
Se voulant plus explicite, Amadou Ly a soutenu «qu’aucune trace d’effraction n’a été relevée dans la boutique. La porte de la boutique n’avait pas été défoncée et aucune trace de cambriolage n’a été décelée. De plus, aucune autre issue pouvant servir aux éventuels meurtriers d’entrer ou de sortir des lieux n’a été constatée». Ces observations troublantes notées par la police, le corps du défunt a été acheminé à la morgue du centre hospitalier universitaire (Chu) de Brazzaville par les services de ladite morgue. Pour l’instant, la question du rapatriement du corps de la victime n’est pas à l’ordre du jour, a précisé M. Ly qui a indiqué que la communauté sénégalaise et les services du Consulat attendent les conclusions du médecin légiste et les premières révélations de la police.
Rappelons que le 26 septembre 2010, Babou Sèye 35 ans, autre commerçant sénégalais parti faire fortune au Congo, avait été froidement abattu d’une balle au dos, vers 20h30mn, devant sa boutique, sis au quartier Château d’eau.
Abdoulaye DIÉDHIOU
popxibaar.com
il nous est impossible à nous autres Senegalais , Maliens et Guineens
dont les Sociètés sont très tot ouvertes aux autres Cultures du Monde ,
il nous est impossible de comprendre ces peuplades d’Afrique Equatoriale et Centrale qui ont eu historiquement que très peu de
contact avec l’exterieur hormis la Traite Negrière et la Colonisation bien
sur……
Ces populations du Congo , du Cameroun, du Gabon et de la Cote d’Ivoire acceptent plus facilement l’Autoritarisme ,la Brutalité et les Excès du Colonisateur Français qui les maintenait au Fouet et au FER ,
que notre Esprit de Dialogue et de Palabre que nous avons Herité de
Nos Grands Empires
Alors que Congolais ,Gabonais , et Camerounais n’ont developpé
historiquement aucun Empire Identifié !!
Nous nous devons de nous mefier de ces gens à cause de leurs
Reactions Imprevisibles pour Nous !!
Bien dit mon cher Niani Bagn Na, ces gens là sont de vrais barbares au vrai sens du terme. Ils ne cessent de tuer nos braves fréres partis loin du pays natal pour faire fortune. Ces barbares de congolais continuent de massacrer les braves etrangers alors qu’eux, etant de vrais sapeurs (diay tar) et de vrais fénéants, parcourent le globe et font leurs deals. Ils sont partout sans que personne ne les embette. Comme solution, il faut répliquer, c’est-à-dire qu’ à chaque fois qu’ils tuent un Sénégalais, faudra faire pareil en tuant un congolais, ils sont faciles à trouver. Allez juste au HLM, Scat Urbam, Gd médine et Yoff. TROP C’EST TROP.
les sénégais devront cesser d’aller vers ses pays africains comme le congo braza ou kinsacha, le nigéria, la somalie, l’angola la guinée équatoriale tous ces pays ne connaissent des actes de barbares , ils mangent des hommes boivent leur sang et le sénégalais arrivé un fois chez eux ne voit que l’argent et comment et ou le trouvé.
president bi mo thi wara diauk .bouniou la djiteulai pour nga sameu senegalaiyi ,bouniou toumourankai,khif,sonou,diakhlai,ngay khababal thi palai bi defani ya ray gayndaigi,bou lafa vote dieulai woul korbiya dieulai lafa.MANALOMA TOUSS MANGI THI AMERICAIN DIOKH NANIOUMA SENE PASPORT DOMERAM YAK SA NDELE BOUYE NOURAUK TATOU GOLO THIM.