Un grand projet du Ghana,comme en rêvait le Président Wade ! Par Sadaga Diop

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Un grand projet du Ghana dont notre Président devrait s inspirer pour donner un
coup d accélérateur à notre économie et à nos recherches, comme en rêvait le
Président Wade !

Dans la région du grand Accra, au Ghana, Rlg Communications bâtit un parc
technologique d excellence  et un nouveau modèle de développement.
Hope City, le projet fou du Ghana, devient réalité
Bonne initiative d’un « petit » pays dont les dirigeants, particulièrement les
Chefs de l’Etat qui s’y succèdent ont une grande vision et anticipent  beaucoup
sur les décennies à venir !
Le Président Wade Abdoulaye voulait faire de notre pays, une place financière
et industrielle durant ces prochaines années, mais hélas, le destin en a décidé
autrement et nous allons ramer pendant dix ans en faisant du sur place !
Le responsables du PDS devraient porter une plus grande importance au projet
d’édition du livre mémoire qui indiquerait les grands projets achevés,  à
achever et ceux qui devaient être mis en  uvre entre 2012 et 2016.
Je me réjouis qu’un pays frère prenne son destin en main en comptant
exclusivement sur son expertise national pour l’essentiel.
Ne nous faisons pas d’illusions, le Sénégal comme tous les autres pays de la
zone UEMOA dont la monnaie est garantie par la France ne peuvent avoir une
politique axée exclusivement sur leur développement sans avoir à l’esprit ceux
de la France.
Notre économie est piégée, elle l’a été depuis plusieurs années, quand nous
avons eu la faiblesse d’esprit de n’avoir au moins pensé à produire l’essentiel
des produits manufacturés que nos populations consomment.
Le Sénégal ne s’en sortira jamais, sans une grande révolution sociale, agricole
et semi-industrielle, en mobilisant pendant au moins quinze ans toutes  les
énergies pour la formation des jeunes.
Que nous adviendrait-il si dans quelques mois la France décidait, en accord
avec ses autres partenaires de l’Union Européenne, de dévaluer le Francs CFA de
30% DE SA VALEUR ACCTUELLE ?
Nos populations si habituées à consommer des produits importés du Maroc, en
passant par la Tunisie, jusqu’en Europe, seraient-elles prêtes à supporter une
transition vers un autre paradigme  sur le développement ?
Serions- nous alors contraints à penser le bonheur d’abord avant de parler de
développement ?
La grande question serait de poser la question de savoir s’il était possible de
vivre heureux au Sénégal sans développement au sens exogène du terme ?
Ce débat doit être posé avant qu’une autre dévaluation nous tombe sur la tête
dans moins d’un an !
Je vois déjà les pleurs, les jérémiades, les appels au secours de l’occident de
ceux qui depuis des  années préconisaient un décrochage de notre monnaie par
rapport à l’Euro que je considère, moi, comme une aide très substantielle, dès
lors que nous importons l’essentiel des produits dont nos populations ont
besoin!

Un grand projet du Ghana dont notre Président devrait s inspirer pour donner un
coup d accélérateur à notre économie et à nos recherches, comme en rêvait le
Président Wade !

Dans la région du grand Accra, au Ghana, Rlg Communications bâtit un parc
technologique d excellence  et un nouveau modèle de développement.
Hope City, le projet fou du Ghana, devient réalité
Bonne initiative d’un « petit » pays dont les dirigeants, particulièrement les
Chefs de l’Etat qui s’y succèdent ont une grande vision et anticipent  beaucoup
sur les décennies à venir !
Le Président Wade Abdoulaye voulait faire de notre pays, une place financière
et industrielle durant ces prochaines années, mais hélas, le destin en a décidé
autrement et nous allons ramer pendant dix ans en faisant du sur place !
Le responsables du PDS devraient porter une plus grande importance au projet
d’édition du livre mémoire qui indiquerait les grands projets achevés,  à
achever et ceux qui devaient être mis en  uvre entre 2012 et 2016.
Je me réjouis qu’un pays frère prenne son destin en main en comptant
exclusivement sur son expertise national pour l’essentiel.
Ne nous faisons pas d’illusions, le Sénégal comme tous les autres pays de la
zone UEMOA dont la monnaie est garantie par la France ne peuvent avoir une
politique axée exclusivement sur leur développement sans avoir à l’esprit ceux
de la France.
Notre économie est piégée, elle l’a été depuis plusieurs années, quand nous
avons eu la faiblesse d’esprit de n’avoir au moins pensé à produire l’essentiel
des produits manufacturés que nos populations consomment.
Le Sénégal ne s’en sortira jamais, sans une grande révolution sociale, agricole
et semi-industrielle, en mobilisant pendant au moins quinze ans toutes  les
énergies pour la formation des jeunes.
Que nous adviendrait-il si dans quelques mois la France décidait, en accord
avec ses autres partenaires de l’Union Européenne, de dévaluer le Francs CFA de
30% DE SA VALEUR ACCTUELLE ?
Nos populations si habituées à consommer des produits importés du Maroc, en
passant par la Tunisie, jusqu’en Europe, seraient-elles prêtes à supporter une
transition vers un autre paradigme  sur le développement ?
Serions- nous alors contraints à penser le bonheur d’abord avant de parler de
développement ?
La grande question serait de poser la question de savoir s’il était possible de
vivre heureux au Sénégal sans développement au sens exogène du terme ?
Ce débat doit être posé avant qu’une autre dévaluation nous tombe sur la tête
dans moins d’un an !
Je vois déjà les pleurs, les jérémiades, les appels au secours de l’occident de
ceux qui depuis des  années préconisaient un décrochage de notre monnaie par
rapport à l’Euro que je considère, moi, comme une aide très substantielle, dès
lors que nous importons l’essentiel des produits dont nos populations ont
besoin!
Un grand projet du Ghana dont notre Président devrait s inspirer pour donner un
coup d accélérateur à notre économie et à nos recherches, comme en rêvait le
Président Wade !

Dans la région du grand Accra, au Ghana, Rlg Communications bâtit un parc
technologique d excellence  et un nouveau modèle de développement.
Hope City, le projet fou du Ghana, devient réalité
Bonne initiative d’un « petit » pays dont les dirigeants, particulièrement les
Chefs de l’Etat qui s’y succèdent ont une grande vision et anticipent  beaucoup
sur les décennies à venir !
Le Président Wade Abdoulaye voulait faire de notre pays, une place financière
et industrielle durant ces prochaines années, mais hélas, le destin en a décidé
autrement et nous allons ramer pendant dix ans en faisant du sur place !
Le responsables du PDS devraient porter une plus grande importance au projet
d’édition du livre mémoire qui indiquerait les grands projets achevés,  à
achever et ceux qui devaient être mis en  uvre entre 2012 et 2016.
Je me réjouis qu’un pays frère prenne son destin en main en comptant
exclusivement sur son expertise national pour l’essentiel.
Ne nous faisons pas d’illusions, le Sénégal comme tous les autres pays de la
zone UEMOA dont la monnaie est garantie par la France ne peuvent avoir une
politique axée exclusivement sur leur développement sans avoir à l’esprit ceux
de la France.
Notre économie est piégée, elle l’a été depuis plusieurs années, quand nous
avons eu la faiblesse d’esprit de n’avoir au moins pensé à produire l’essentiel
des produits manufacturés que nos populations consomment.
Le Sénégal ne s’en sortira jamais, sans une grande révolution sociale, agricole
et semi-industrielle, en mobilisant pendant au moins quinze ans toutes  les
énergies pour la formation des jeunes.
Que nous adviendrait-il si dans quelques mois la France décidait, en accord
avec ses autres partenaires de l’Union Européenne, de dévaluer le Francs CFA de
30% DE SA VALEUR ACCTUELLE ?
Nos populations si habituées à consommer des produits importés du Maroc, en
passant par la Tunisie, jusqu’en Europe, seraient-elles prêtes à supporter une
transition vers un autre paradigme  sur le développement ?
Serions- nous alors contraints à penser le bonheur d’abord avant de parler de
développement ?
La grande question serait de poser la question de savoir s’il était possible de
vivre heureux au Sénégal sans développement au sens exogène du terme ?
Ce débat doit être posé avant qu’une autre dévaluation nous tombe sur la tête
dans moins d’un an !
Je vois déjà les pleurs, les jérémiades, les appels au secours de l’occident de
ceux qui depuis des  années préconisaient un décrochage de notre monnaie par
rapport à l’Euro que je considère, moi, comme une aide très substantielle, dès
lors que nous importons l’essentiel des produits dont nos populations ont
besoin!

Un grand projet du Ghana dont notre Président devrait s inspirer pour donner un
coup d accélérateur à notre économie et à nos recherches, comme en rêvait le
Président Wade !

Dans la région du grand Accra, au Ghana, Rlg Communications bâtit un parc
technologique d excellence  et un nouveau modèle de développement.
Hope City, le projet fou du Ghana, devient réalité
Bonne initiative d’un « petit » pays dont les dirigeants, particulièrement les
Chefs de l’Etat qui s’y succèdent ont une grande vision et anticipent  beaucoup
sur les décennies à venir !
Le Président Wade Abdoulaye voulait faire de notre pays, une place financière
et industrielle durant ces prochaines années, mais hélas, le destin en a décidé
autrement et nous allons ramer pendant dix ans en faisant du sur place !
Le responsables du PDS devraient porter une plus grande importance au projet
d’édition du livre mémoire qui indiquerait les grands projets achevés,  à
achever et ceux qui devaient être mis en  uvre entre 2012 et 2016.
Je me réjouis qu’un pays frère prenne son destin en main en comptant
exclusivement sur son expertise national pour l’essentiel.
Ne nous faisons pas d’illusions, le Sénégal comme tous les autres pays de la
zone UEMOA dont la monnaie est garantie par la France ne peuvent avoir une
politique axée exclusivement sur leur développement sans avoir à l’esprit ceux
de la France.
Notre économie est piégée, elle l’a été depuis plusieurs années, quand nous
avons eu la faiblesse d’esprit de n’avoir au moins pensé à produire l’essentiel
des produits manufacturés que nos populations consomment.
Le Sénégal ne s’en sortira jamais, sans une grande révolution sociale, agricole
et semi-industrielle, en mobilisant pendant au moins quinze ans toutes  les
énergies pour la formation des jeunes.
Que nous adviendrait-il si dans quelques mois la France décidait, en accord
avec ses autres partenaires de l’Union Européenne, de dévaluer le Francs CFA de
30% DE SA VALEUR ACCTUELLE ?
Nos populations si habituées à consommer des produits importés du Maroc, en
passant par la Tunisie, jusqu’en Europe, seraient-elles prêtes à supporter une
transition vers un autre paradigme  sur le développement ?
Serions- nous alors contraints à penser le bonheur d’abord avant de parler de
développement ?
La grande question serait de poser la question de savoir s’il était possible de
vivre heureux au Sénégal sans développement au sens exogène du terme ?
Ce débat doit être posé avant qu’une autre dévaluation nous tombe sur la tête
dans moins d’un an !
Je vois déjà les pleurs, entends les jérémiades, les appels au secours à
l’occident de ceux qui depuis des  années préconisaient un décrochage de notre
monnaie par rapport à l’Euro que je considère moi, comme une aide très
substantielle, dès lors que nous importons l’essentiel des produits dont nos
populations ont besoin!

10 Commentaires

  1. Je ne sais pas ce que votre généie de Kébémer a révé durant ces douze années de régne mais le fait est que ses résultats économiques n’ont pas été dignes d’un grand économiste de sa trempe. Peut être qu’il a pensé tout son temps à réver comme tout bon universitaire. Le fait est que en 1999 le Sénégal avait un taux de croissance de 6,3%. Quand votre Président le plus diplomé du Cap au Cap Vert quittait l’économie avait un taux de croissance de 2,1%. Faites le calcul. Et merci pour les insultes des membres de la Génération du Concret refondue dans le mouvement ‘Libérez Karim’ ainsi que des jeunes travaillistes chomeurs squatteurs invétérés du net.

    • Malhonnêteté ou ignorance pour oser dire que les résultats économiques de Wade n’ont pas été dignes. Et sur quoi se basait Amath Dansokho pour dire que le Sénégal est envahi d’argent de drogue ? Il le disait sans avoir constater de l’argent ? Pourquoi était-il obligé de dire que le Sénégal a utilisé les rebelles de Ouattara pour casser le BCEAO et voler des milliards qui sont investis au Sénégal ? Il inventait sans qu’il n’y ait constat d’une amélioration financière au Sénégal ? Et pourquoi Macky est-il obligé de dire que c’est l’argent sale qui ne circule plus ? Il le dit alors qu’il n’y a pas constat de marasme économique avec l’absence de Wade ? Je ne parle pas des chantiers et réalisations, trop flagrants pour que des gens qui aurait nié l’existence d’une planète nommée Terre puissent les contester. Les vrais chiffres, la population les a constaté par « Deukeu bi daffa Macky ». Quand aux autres statistiques, vas prendre un cours, ici: http://www.pougala.org/html/62_les_statistiques_sur_l_afri.html

  2. Xeme wakhou dof rek ngay wakhe. C’est quoi amélioration financière du Sénégal. Tu parles d’argent sale sans savoir de quoi il s’agit. Le débat sur l’argent qui circule ou qui ne circule pas ne m’interresse pas parceque un débat de caniveaux imposé par une certaine classe politique qui n’en revient pas d’avoir perdu les privilèges et prébendes. Moi je te parle de chiffres réels, d’unités de mesures qui malgré leurs possibles imperfections sont utilisés dans le monde entier. Quand Macky prenait les commandes de ce pays il y avait 47% de la population (au moins cinq millions de sénégalais qui se réveillaient chaque jour avec moins de 500 francs en poche pour manger). C’est cela la situation du pays en 2011. C’est réel et c’est assez documenté. Économiquement ton sage de Kébémer n’a rien donné à ce pays. Au contraire des ressources immenses ont été dilapidés dans des projets fumeux sans aucune rentabilité sociale, économique, financiére (monument de la renaissance, tunnel de soumabédioune, corniche la plus belle d’afrique, plan Jaxay, Plan Takkal, Opération Maïs, Opération Bissap, GOANA,…). On a jamais autant gaspillé des ressources publiques durant ces douze années et malgré toutes les réductions et annulations de dettes dans le cadre de l’initiative PPTE.

    • @@El Amine
      Ce gus est un wadolatre transi, donc un irréductible cretin. Les faits n’ont aucune emprise sur sa cervelle deja formatée pour régurgiter les stupidités que l’Institut Liberale de Malick Dieng leur fait apprendre par cœur.
      Je l’ai rangeé au tiroir des fous de Thiaroye depuis qu’il a osé avancer ici que Talla Sylla n’était pas agressé (selon ce cretin tout cela relève d’une conspiration de l’Occident pour déloger Wade-le-grand-offier de le Legion d’Honneur).

      Cato

      • ²Talla Sylla n’a jamais été agressé. De toute façon tu continueras de répéter comme un perroquet, mais tu n’apporteras jamais de preuves d’agression. Même Talla Sylla avec toute son envie de faire mal à Wade et tous ses proches n’a jamais fourni de preuves, pas de photos (une seule sur son lit d’hôpital sans aucune blessure), pas de vidéo, pas de certificat médical, rien sur la page Facebook de Talla. Moussa Tine qui avait osé accuser Mboup s’était caché sous son immunité diplomatique. Et la plainte de Talla est porté contre X. La gendarmerie et la justice ont fini par comprendre que c’était une farce politique l’une des milliers qui avaient été déversé contre le pouvoir Wade durant ces 12 ans. Aujourd’hui qu’il est possible de porter plainte contre Mboup, contre Wade ou contre n’importe quel PDS parce qu’ils ne sont plus au pouvoir, Talla dit tourner la page et désavoue le Jeuf Jeul qui voulait faire de sa fausse agression un fond politique. Comme le cadavre de Me Seye, comme les 600 véhicules volés, les 800 milliards volés de Karim, ceci restera un fond politique qui ne sera jamais de la vie éclairé même si on élit Talla président du Sénégal. Cela continuera de servir de titre de journaux pour maintenir bien des fanatisés dans leur bulle de haine. De toute façon ils n’ont jamais eu besoin de comprendre pour creuser un sujet au delà des titres de journaux. Talla avait voulu instaurer une commémoration annuelle de sa fausse agression. La première année on a vu le ridicule Niass lui soulever le bras comme un héros. Le malin Tanor a compris et n’a pas voulu participer. Mais Niass n’est plus revenu. Et Talla a compris aujourd’hui que vouloir tirer sur cette fausseté politique pour des besoins de diabolisation, c’est amener des sénégalais à s’interroger et finalement à comprendre le mensonge. De toute façon, des historiens du Sénégal s’y intéresseront. Et malgré la dictature médiatique actuelle, les sénégalais comprendront un jour qu’il n’y a jamais eu d’agression de Talla comme il n’y a jamais eu une incendie de sa chambre d’étudiant. Cet homme est coutumier des faits depuis les mouvements étudiants trotskistes.

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