Il était une fois entre Niangal et son peuple. Avant le 25 Mars 2012, le premier promettait monts et merveilles et était prêt à s’agenouillait pour quémander les suffrages du second. Pour quelqu’un qui tournait en rond dans une morosité sans fin où la maussaderie le disputait aux frustrations et où les dimanches ressemblaient aux lundis, ce dernier se jeta dans les bras de Niangal. Tête baissée ! Mais erreur. Niangal n’avait qu’un rêve qui se déclinait en quatre mots : succéder à Me Wade. Aujourd’hui, il a fini de plonger le peuple dans une sorte de souffrances psychologiques. Qui apparaissent en rapport avec des situation particulières : chômage minima sociaux, bref toute forme de précarité sociale.
Après seulement quinze mois de compagnnoge, le couple craque à belles dents. Niangal et son régime vivent auxanges, avec toutes sortres de jouissances terrestre ; le peuple, le pauvre, autant pour moi, tempete contre eux et les prend pour responsables de son malheur. La mine quotidienne, brunée par une vie de misère (cherté de la vie, inondations en vue, scandales à n’en pas finir, marchés de gré à gré…). Le peuple croyait en la devise de Sunugal : un peuple – un but – une foi. Erreur ! Sous Macky, son bourreau, la tendance est un peuple – un but – deux camps. Deux camps symbolisés par des Sénégalais d’en haut et des Sénégalais d’en bas.
Actusen.com
Le sujet est si intéressant que l’auteur, journaliste aurait pu faire mieux en développant ! Par contre, je n’y vois pas trop de fautes, par rapport à d’autres articles de journalistes sortis d’écoles de journalisme au Sénégal et même ceux écrits par nos supposés intellectuels de l’UCAD !
Il y a compagnonnage, aux anges, toutes sortes, autant pour moi ( ce terme n’avait pas sa place ici) et tempête. Pour moi, l’auteur n’a fait que des fautes d’inattention, ce qui arrive souvent à de grands écrivains de partout ! Suivez mon ami TOUKARA, il en déniche de succulentes fautes commises dans la plupart des journaux sénégalais !