Une nouvelle approche écologique (Ou la réfutation de « théorie du réchauffement climatique »). Par Dr Mouhamadou Bamba NDIAYE

Date:

[OUI, LES « GROS POLLUEURS » NE SONT PAS VERITABLEMENT CEUX QU’ONT CROIT !!!]

La menace écologique est au centre des préoccupations de tous les dirigeants, tant des pays riches que pauvres ; en témoignent les nombreuses conférences mondiales sur le réchauffement climatique ; dans deux jours, les rideaux seront tirés sur celle de Durban (Afrique du Sud) qui n’a véritablement pas connue la ferveur des précédentes (Cancun et surtout Copenhague) – la très grave crise économique et financière est certainement passée par là ; en tout cas, les maux sont toujours là et de plus en plus préoccupants : sécheresse (désertification), inondations, tremblements de terre, cyclones, etc. ; et la liste ne cesse de s’allonger ; autant de catastrophes, de désastres et de fléaux (« pestes » ou « plaies ») – Un véritable panorama pseudo apocalyptique ! Ainsi va le monde ! Dirait l’autre. Selon la plupart des experts en climatologie, c’est la production exagérée de ‘’gaz à effet de serre’’ qui serait à l’origine du réchauffement de la planète qui serait à son tour responsable des changements climatiques et aurait pour conséquence la recrudescence des catastrophes naturelles ; c’est ainsi qu’ils prêchent la diminution de la production des ‘’gaz à effet de serre’’ et le ménagement de la forêt qui serait le poumon de notre planète (absorption du gaz carbonique). Oui, telle est l’approche laïque qui diffère fondamentalement de l’approche religieuse.

En vérité, dans la perspective religieuse, c’est la généralisation de la turpitude, en cette fin des temps (akhirou zaman), qui est plus déterminante dans la genèse des troubles écologiques que la production des ‘’gaz à effet de serre’’ ; en effet, selon le Prophète (PSL) : « Il n’est pas un peuple qui ne soit ouvertement livré à la débauche, sans que la peste (« plaie » ou fléau d’une manière générale) ne l’ait frappé, ainsi que des maladies qu’ignoraient ses ancêtres. ». Oui, la responsabilité de l’homme est toujours engagée dans la survenue des maux qui le frappent. Actuellement, nous vivons une crise morale sans précédent rappelant l’époque du Prophète Loth ; la perversité, l’homosexualité, entre autre, s’est répandue surtout en Occident dans des limites intolérables et incompréhensibles, malgré tous les rappels et condamnations explicites rapportés par la Bible. Et donc à l’évidence, les occidentaux qui ont manifestement tourné le dos au Christianisme ont perdu le sens du temps, comme le disait Jésus Christ dans l’Evangile :

(54) Jésus disait aussi à la foule : « – Quand vous voyez un nuage se lever à l’Ouest, vous dites aussitôt : « Il va pleuvoir », et c’est ce qui arrive. (55) Et quand vous sentez souffler le vent du Sud, vous dites : « Il va faire chaud » et c’est ce qui arrive. (56) Hypocrites ! Vous êtes capables de comprendre ce que signifient les aspects de la terre et du ciel ; alors, pourquoi ne comprenez- vous pas le sens du temps présent ? ». (Luc 12 : 54 – 56)

A l’évidence, nous vivons une époque particulièrement opaque et ténébreuse ; une époque de grande perplexité, d’instabilité, de méfiance, d’inquiétude, de malaise, de confusion ; ‘’une époque où il devient évident sur terre que rien ne peut subsister s’il n’a pas été décidé ou exécuté selon la volonté de Dieu’’ ; tel que annoncée par le Prophète  Esaïe, il y’a des milliers d’années (Esaïe 8 : 10). Et dès lors, il est devient illusoire d’envisager une stratégie cohérente pour faire face à la menace écologique, en dehors de Dieu. Les références coraniques qui nous donnent la solution aux problèmes écologiques sont très nombreuses ; elles sont unanimes que c’est la pluie qui est un don de Dieu – une eau bénie –  qui a le pouvoir de redonner la vie à une terre morte. Oui, c’est Dieu qui a le pouvoir de tout recycler qui nous montre ses Signes, comme un appel à plus de clairvoyance et d’humilité, à ‘’ceux qui réfléchissent’’, ‘’ceux qui savent’’ (savants), ‘’ceux qui comprennent’’ et ‘’ceux qui raisonnent’’  (30. Les Romains : 19-24 – Ar-Rûm). Ainsi, les scientifiques sont interpellés plus que quiconque :

En vérité, c’est le comportement moral de l’homme qui détermine la santé de son environnement :

(58) Le bon pays, sa végétation pousse avec la grâce de (Dieu) son Seigneur ; quant au mauvais pays, sa végétation ne sort qu’insuffisamment [il y’a une corrélation entre la qualité de l’environnement et la spiritualité d’une communauté]. Ainsi, déployons-Nous les enseignements pour des gens reconnaissants. (7. Al-Arâf : 56-58)

Ainsi, l’état de l’environnement est un reflet fidèle de la spiritualité de la communauté. En vérité, l’homme est responsable de tous les malheurs qui le frappent ; c’est dire donc toute l’importance de l’introspection et du repentir :

(10) (Noé dit 🙂 J’ai dit : « Implorer le pardon de votre Seigneur, car Il est grand Pardonneur, (11) pour qu’Il vous envoie du ciel des pluies abondantes (12) et qu’Il vous accorde beaucoup de biens et d’enfants, et vous donne des jardins et des rivières. (71. Noé : 10-12 – Nûh)

En d’autres termes, un peuple qui s’amende, échappe à la menace écologique, s’enrichit, renouvelle sa population et atteint la sécurité alimentaire ; c’est dire qu’il ne peut pas y avoir une solution cohérente pour lutter contre la sécheresse en dehors de la « perspective de Noé», et donc du repentir.

Dans la perspective religieuse, l’homme est en union avec son créateur et avec son environnement qui a lui aussi une âme ; oui, tout ce qui est sur terre et dans les cieux a une âme, célèbre les louanges de Dieu et est en phase avec son Créateur (17. Le Voyage Nocturne : 44 – Al-Isrâ’) ; et seul l’homme est capable de rompre cette harmonie de l’univers par son libertinage (22. Le Pelèrinage: 18 – Al-Hajj). Ainsi, si l’homme se comporte comme il se doit, il est en phase avec son Créateur et avec tout son environnement ; tout est clément à son égard, et donc pratiquement rien ne l’agresse. En revanche, si l’homme est incrédule ; il n’est plus en phase avec son Créateur et non plus avec tout son environnement ; tout lui devient hostile, tout l’agresse ; et en réagissant de façon disproportionnée ou aberrante, il se crée toutes sortes de dysfonctionnements (allergies et autres affections auto-immunes, etc.). Oui, tout est potentiellement allergène ou carcinogène (inducteur de cancer) – ou autant nocif. Ainsi, la hausse des phénomènes allergiques est un indice fiable d’incrédulité dans une société donnée, de même que l’indice des suicides et des maladies auto-immunes (suicide « biologique ») ; elles sont toujours concomitantes de désordres environnementaux et de catastrophes naturelles.

La menace écologique est un signe divin, un avertissement – un appel au changement de comportement :

(59) … Nous n’envoyons de miracles (Signes) qu’à titre de menace. (17. Le Voyage Nocturne : 59 ; Al-Isrâ’). (12) D’autres gens, avant eux, avaient crié au mensonge : le peuple de Noé, les ‘’hommes du Puits’’, les Thamoud, (13) les ‘Ad, Pharaon, les frères de Loth [la première communauté homosexuelle de l’univers], (14) les hommes d’Al ‘Aïka, le peuple de Tubba. Tous avaient traité les prophètes de menteurs. Ma menace s’est réalisée. (50. Qâf : 12-14)

Certes, la responsabilité de l’homme est engagée, mais il s’agit surtout d’une responsabilité morale, contrairement à ce que veulent nous faire avaler les partisans de la ‘’théorie du réchauffement climatique :

(30) Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont acquis. Et Il pardonne beaucoup. (31) Vous ne pouvez pas échapper à la puissance d’Allah sur terre, et vous n’avez en dehors de Lui, ni maître, ni défenseur. (42. La Consultation ou La Concertation : 28-31 – Ach-Chûrâ).

Et donc à l’évidence, c’est la généralisation de la turpitude, en cette fin des temps, qui est plus déterminante dans la genèse des troubles écologiques que la production des gaz à effet de serre. Oui, les « gros pollueurs » ne sont pas véritablement ceux qu’ont croit ! Ce sont les incrédules et les pervers qui sont véritablement les plus grands pollueurs de l’environnement. Et donc, comment la planète pourrait- elle ne pas être en perdition ?

 

Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE

Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar

Pédiatre à Thiès

Recteur de l’Université Virtuelle ‘’La Sagesse’’ de la Fondation Serigne Babacar SY Ihsaan – Bienfaisance (Thiès).

http://sites.google.com/site/universitevirtuellelasagesse/

http://www.facebook.com/dr.bambandiaye/

http://sites.google.com/site/missionmahdi/ 

http://sites.google.com/site/dahirathies/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

CAN 2023

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE

Sénégal : Menaces sur la République et germes de la division (Par François Mendy)

Une école en crise. Des loyers hors de prix....

De la nécessité de privatiser le secteur privé (Pr Abou Kane)

Le président de la République doit rencontrer le secteur...

La symbolique de la rupture (Par ADA POUYE)

Laisser la présidence régenter la foi, les corps de...