Ecrivain de romans de gare, réactionnaire sulfureux, visionnaire de la géopolitique… Les manières de décrire Gérard de Villiers, auteur de la série de livres d’espionnage SAS, mort jeudi 31 octobre 2013, ne manquent pas. A l’occasion de la sortie du 197e numéro des aventures du prince Malko Linge, en avril, France 2 avait consacré un portrait à l’écrivain.
Il revenait alors d’un voyage à Kaboul, en Afghanistan, où il s’était rendu pour travailler sur son prochain roman. A 83 ans, il ne niait pas s’être constitué un important réseau de sources durant ses cinquante années de carrière. Sans toutefois s’attarder sur celles qui appartiendraient aux services secrets.
« Beaucoup de gens n’osent pas dire qu’ils le lisent »
Sa connaissance pointue du terrain lui avait en tout état de cause permis d’imaginer des scénarios plus que crédibles. Dans le n°191 de SAS, paru en 2012, il imaginait ainsi une attaque de l’ambassade américaine en Libye par des islamistes radicaux. Quelques semaines après la parution du roman, la réalité dépassait la fiction.
De quoi lui valoir l’admiration de certaines personnalités, dont l’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine. « Beaucoup de gens n’osent pas dire qu’ils le lisent à cause de cette [mauvaise] image qui lui colle à la peau », explique ainsi Védrine, louant un personnage « extrêmement intéressant ».
Source: Francetv.info
Un homme qui a fait de toute sa vie une oeuvre pour la domination des USA. A Dieu, Son Altesse Sérénissime.
ON ETAIT TOUS PASSIONNE DE SES ROMANS ENTRE 1980 ET 1990 PETIT A PETIT LES LECTEURS ONT CESSE A S’INTERESSER A SAS QUI EN REALITE EST UNE PURE FICTION PLEINE D’EROTISME PEUT ETRE MEME ON Y RETROUVE UN PEU DE FASCISME TEL QU’IL DECRIT SON HEROS UN BLOND AUX YEUX BLEUS CELA RAPPELLE LA THEORIE DE LA SELECTION DES RACES
LES QUELQUES ROMANS DE SAS CONSACRES AUX CONTINENTS AFRICAINS SURTOUT EN AFRIQUE NOIRE AU BURUNDI,AU ZAIRE,EN ETHIOPIE ECT… IL TRADUIT TOUT HAUT CE QUE LES OCCIDENTAUX DANS LEUR MAJORITE PENSENT DE NOUS ET DE NOTRE CONTINENT
JE REVIENS TOUJOURS A CE QUE DISAIT CE N’ETAIT QUE DE LA FICTION