Le sélectionneur allemand du Cameroun, Volker Finke, a été pris en grippe par des journalistes en conférence de presse, la veille d’affronter la Côte d’Ivoire (19h00).
On connaît des entraîneurs français qui auraient bien du mal dans certaines conférences de presse durant des CAN. Celle des Camerounais, ce mardi, valait ainsi beaucoup plus par ses questions que par ses réponses. Des questions ? Plutôt des attaques en règle envers le sélectionneur Volker Finke, coupable de ne pas utiliser Clinton Njié. L’attaquant lyonnais est devenu l’attraction numéro 1 du pays. Il est reproché à l’entraîneur de laisser le joueur sur le banc en raison d’une altercation qu’il aurait eue avec Stéphane Mbia, présent, lui aussi, en tant que capitaine dans la salle. L’ancien Marseillais n’a donc pas échappé au règlement de compte.
Un journaliste insiste, demande au capitaine : «Le problème, c’est pas Mbia ?» Ce dernier sourit. «Non, je ne crois pas. Vous dites ça alors qu’on est très sereins dans la tanière, ça se passe bien.» On a échappé au pire ? Non pas encore… Le micro revient sur la gauche. Un confrère se lâche. «Vous savez que le peuple camerounais vous déteste. Si vous perdez, vous démissionnerez ou vous attendez qu’on vous chasse ?» Finke regarde, atterré. «Je me concentre sur le match…» Un match qui pourrait accoucher d’une conférence de presse épicée…
lequipe.fr
Monsieur Giresse a tout à fait raison, son contrat est terminé, et il appartient maintenant aux autorités Fédérales et au Ministère de prolonger son contrat ou d’y mettre fin ! N’oublions pas que Giresse n’est pas un formateur, il ne pouvait faire qu’avec les joueurs dont dispose le Sénégal, c’est la même règle partout ! Par contre, on peut reprocher à un sélectionneur ses choix tactiques et des joueurs qui doivent mettre en mouvement cette tactique ! Donnons à n’importe quel coach Sénégalais de D1 vingt joueurs du Brésil évoluant en 3ème division de ce pays, il vous ferait des merveille dans notre championnat national de D1 parce que la manière de jouer des Brésiliens, du joueur évoluant en Club officiel à celui qui s’amuse sur la plage n’a rien à voir avec la manière de jouer des Sénégalais, dans les mêmes conditions ! Au Sénégal, dès que vous lancer un ballon à des gamins de 10 13 ans répartis en équipes, vous les voyez tous courir vers le ballon de manière très désordonnée comme si chacun voulait absolument avoir ce ballon pour s’amuser !