Yémen : Politiques, Intellectuels, journalistes, observateurs, société civile sites d’information et réseaux sociaux, critiquent violemment le président de la République

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Xalima-News
Tous contre Macky. Yemen : politiques, Intellectuels, journalistes, observateurs…, critiquent violemment la décision du président

On peut appeler ça, tirs groupés. En décidant d’envoyer les soldats Sénégalais en Arabie, le président de la République, Macky Sall, s’est attiré une foule de critiques de toutes parts, jusque dans la mouvance présidentielle.

C’est la députée socialiste de Benno Bokk Yakar,  (mouvance présidentielle), Aissata Tall Sall qui a ouvert la brèche. Pour la maire de Podor, c’est pour la première  fois que le Sénégal  participe  «à une coalition arabe décidée par un pays autour de ses pays amis pour aller intervenir dans une guerre interne dans un autre pays», fait-elle remarquer dans « Le Populaire », cité par Seneweb.com. Fustigeant le caractère illégal, qui ne s’inscrit pas dans  « une résolution des Nations unies », la socialiste fait savoir que le chef de l’Etat a pris « des  risques graves parce que même le Pakistan proche de l’Arabie n’a pas voulu s’engager dans cette guerre qui non seulement est une guerre interne mais aussi confrérique entre chiites et sunnites».

Les Libéraux  ont embouché la même trompette: c’est une « initiative inopportune », s’exclame la députée Aida Mbodji, dont les propos ont été rapportés par pressafrik.com. Pour l’édile de Bambey,  « nos troupes ne connaissent pas le terrain. Donc, ils sont en train d’exposer des pères de famille ». Et de conclure en lançant un appel à la « mobilisation » générale  « pour empêcher cet envoi ».

Le Forum Civil, par la voix de son patron, Birahim Seck, juge « Les arguments (de l’Etat) trop légers ».

Des intellectuels ont ajouté leurs voix à ce concert de désapprobation. Le sabreur en chef, c’est l’écrivain de renommée internationale, Boubacar Boris Diop. « C’est une « folle et mystérieuse décision » juge t-il  sur leral.net

Les journalistes-observateurs ont aussi fait entendre leurs voix. Sur dakaractu.com, actualité oblige, « Le Laser du Lundi » de Babacar Justin devient « Spécial Laser sur le Yémen ». « Quand le sang des Diambars finance le PSE », titre le chroniqueur. Pour le spécialiste des questions militaires, l’argumentaire de Macky est trop léger et pas conviancant: « La faiblesse voire l’aridité des arguments du gouvernement est encore mise en relief par le fait (insolite) que la démocratie sénégalaise vole au secours d’un pays médiéval qui est, par ailleurs, le plus sinistre fossoyeur des droits de l’homme. Non seulement on y décapite au sabre – c’est nettement plus cruel que dans la Gambie de Yaya Jammeh – mais les femmes sont interdites de conduite de voiture sur le territoire saoudien. Plus révoltant encore, la sublime charia du Prophète Mohamed (PSL) y est vantée mais pratiquée de façon discriminatoire.  » Pour lui , Macky Sall joue une « partie de poker hautement risquée ».

Avant que la décision soit officielle, le politologue Yoro Dia affirmait sur les ondes de la RFM, dont les propos ont été rapportés par pressafrik que « le Le Sénégal n’est pas plus musulman que le Pakistan, le parlement Pakistanais a estimé que l’armée n’a pas à aller défendre des Saoudiens. La guerre du Yémen n’est pas notre guerre. » Et appela le président Sall à appliquer « la logique arabe » qui veut que « ce sera moi, mon frère et le cousin contre l’étranger. Je ne comprends pas que le Sénégal soit le dernier pays à arriver au Mali qui est un pays frère et veuille être le premier au Yémen. Maintenant si on veut s’aventurer au Yémen uniquement pour des raisons financières, il faut dire que notre Armée devient une sorte de Légion étrangère entre les mains des arabes. »

Même des sites Internet ont pris une position claire en critiquant la décision du président. Le service politique de xalimasn.com, a passé à la loupe le texte de Macky Sall, lu à l’Assemblée Nationale pour son ministre des affaires étrangères, Mankeur Ndiaye. En s’appuyant sur des sources crédibles, parce que produites par des spécialistes du monde arabe, les journalistes du site, démolissent point par point, l’argumentation « truffée de contrevérités » du président de la République et qualifient celui-ci de « va-t-en-guerre » à la recherche de « pétrodollards ».

Le journaliste Aliou Fama, dans sa chronique, sur senego.com, écrit que « Macky Sall seul en guerre contre le Yémen.

les blogueurs et les réseaux sociaux ne sont pas en reste. Toutes les contributions publiées sur xalima et dans d’autres sites sénégalais, critiquent la décision de Macky Sall. Parmi eux, on peut citer Dr Mouhamadou Bamba Ndiaye, et l’écrivain-artiste Bathie Ngoye.

 

Service politique xalima

21 Commentaires

  1. Macky n’a pas d’argent pour son PSE et veut sacrifier des vies pour se maintenir au pouvoir. En etant l esclave de la France, tu as trahi tute la nation senegalaise

    • Cet engagement de troupes du Sénégal suscite de nombreuses questions comme l’avait d’ailleurs été l’envoi, en 1990-1991, de 495 soldats pour participer à la Guerre du golfe, suite à l’invasion du Koweït par des troupes expansionnistes de Saddam Hussein. Dans cette guerre, on se rappelle que le Sénégal avait payé un lourd tribut avec 8 soldats blessés par l’explosion d’un missile sol-sol irakien, mais surtout 92 soldats tués dans accident d’un avion C130 de l’Armée saoudienne qui les transportait pour un pèlerinage aux lieux saints de l’islam en préparation de leur retour au Sénégal. Dans ce nouvel engagement militaire, les autorités sénégalaises et saoudiennes ont cherché à contenir les risques, mais on ne saurait être surpris que des militaires sénégalais arrivent à être comptés parmi les victimes.

      Seulement, l’enjeu d’une guerre aussi lointaine du point de vue géographique en vaudrait-il la chandelle ? La réponse est affirmative. Le premier intérêt est diplomatique. Dans cette importante partie du monde, le Sénégal a choisi son camp, celui de ses amis traditionnels qui ne lui ont jamais fait défaut chaque fois qu‘il a eu besoin d’assistance. Avec un tel engagement, le Sénégal devrait renforcer davantage sa coopération avec l’Arabie Saoudite, le Koweït et les autres Emirats arabes du Golfe.

    • Les diambars sont prêts à aller au front et ils le feront de bon cœur. Arrêtez de gueuler pour ne rien dire. Vous faites de ce sujet un débat qui n’a pas lieu d’être. Combien de fois nos soldats ont été déployés dans le monde pour défendre la cause des pays partenaires du Sénégal. Et sachez que le Sénégal a toujours bénéficié de l’aide des autres et surtout de l’Arabie Saoudite.

  2. Rejoignez cette page pour dire non a l’envoi de nos soldats au Yemen:

    facebook.com/pages/non-%c3%a0-lenvoi-de-nos-soldats-au-yemen/1588969438046034

    Rejoignez cette page pour dire non a l’envoi de nos soldats au Yemen:

    facebook.com/pages/non-%c3%a0-lenvoi-de-nos-soldats-au-yemen/1588969438046034

  3. Un président doit avoir lui même une formation solide, être un homme de dossier, entouré de personnes d’une compétence particulière, ce n’est pas le cas de macky sall ni de ablaye wade d’ailleurs, encore moins de abdou diouf, c’est vous dire pourquoi ce pays n’avance jamais.
    Un président ne peut pas être obsédé par les fonds politiques, les terrains, l’obéissance aux marabouts, les femmes, les biens matériels et sa réelection.
    La décision prise par le président du sénégal est surtout dangereuse et n’a de soubassement que l’argent attendu de ces saoudiens qui ne respectent ni les noirs ni la vie humaine

  4. La première bourde de Macky au pouvoir fut la campagne médiatique et faussement judiciaire de la zéro-isation, la campagne de diabolisation du pouvoir sortant. Tout ce que nous vivons et ce que nous vivrons n’est que la conséquence logique de cette bourde. Et plus Macky le constate, plus il s’enfonce dans une politique de terre brûlée. Parce qu’il est hors de question d’avouer la bourde. Or, il est complètement coincé. Et comme solution les mensonges vont continuer d’être réglés par d’autres mensonges. Il lave la boue par de la boue.

  5. Votre article est plein de mensonges. Car beaucoup de senegalais savent que le senegal ,e peut pas se debiner face à son devoir vis à vis de l’Arabie saoudite . Refuser de venir en aide à ce pays est beaucoup plus suicidaire pour qui connaît ce pays frére.

    • Quand il s’agit d’aumône, de hassaka et d’aide on est toujours les premiers à tendre la mains et si on nous tend la pour qu’on aide les autres en difficultés on dit non c’est ingrat de notre parts. Tout le monde réfléchir et bien réfléchir même si Macky n’envoie pas les soldats à yémén on est pas à l’abri du terrorisme.

  6. Non Mr le Président ! Pas d’importation de terroristes au Sénégal.Nous sommes affamés et assoifés mais voulons vivre en paix . S’il vous plaît cette fois-ci.

  7. A SIDIKI DIOUF; MAIS DE QUOI VOUS PARLER???? l´Arabie Saoudite n´a jamais été menacé et ne sera jamais menacé, DIEU EST LA POUR LA PROTÉGER, cette guerre se déroule au YEMEN pour votre Information, et le YEMEN A ETE AGRESSÉ PAR SES WAHABITES cette Secte Barbares, si vous vous sentez solidaire aller vous m1eme faire cette guerre défendre cette Arabie Séoudite que vous cherissez si bien parce que en réalité ce pays SE NOMME LE HIJAZ l´appellation Arabie Séoudite se sont els colons Anglais qui ont nommé ce pays HIJAZ « Arabie Séoudite » qui veut dire la terre des BEN-SAOUD et pour votre Information savez vous d´oú viennent les BEN-SAOUD et leurs origines, aller voir dans Google….l´Arabie Séoudite a agressé un pays musulman et nous ne Devons pas être du côté de celui qui agresse mais plutôt de celui qui est agressé….

  8. Tous les nafegues et les saytanes de L’APR Elhadji Kasse Abou Abel Thiam Alioune Fall l’horrible Abdou Latif Coulibaly SJD ect. .sont entrain de préparer des argumentaires pour faire passer la pilule ils ont essayé par le mensonge honteux grotesque et ridicule comme ils le font depuis 2012 qu’il envoie nos enfants mourir pour défendre les lieux saints de l’islam ainsi ils espéraient camoufler le vil marchandage entre Macky Sall et le roi arabe donne de l’argent et je t’envoie des chaires à canon

    • les nafékh c’est l’ensemble des imbéciles qui parlent de choses qu’ils ne maîtrisent pas des gens qui parle comme des généraux alors qu’ils sont seulement des menteurs, voleurs qui essaient de manipuler l’opinion publique.

      • @Alune
        tu as tout dit les menteurs et les voleurs sont ceux qui essayent de manipuler l’opinion publique
        qui a parlé de menaces terroristes pour justifier sa décision ?
        Qui veut faire croire à l’opinion que les lieux saints sont menacès ?
        qui a évoqué le fric en contrepartie pour financer son fameux PSE qui n’engage que lui et ses valets comme toi

  9. Il fallait ajouter aussi qu’on a eu seulement les présidents qu’on mérite ,je parle du peuple ignorant,paraisseux,truands beug Lou yomb qu’on est….je ne comprendrais jamais comment un pays pauvres peut accepter qu’un président s’accapare des dizaines de milliards comme fonds politiques sans réagir….en conclusion comme tu dis l’obéissance aux mara,les femmes et la réélection les empêche de penser aux problèmes du pays…Pour les soldats au Yémen,je pense que Macky est entrain de creuser sa propre tombe…..ces arabes ne méritent même pas une vie de nos frères soldats…qu’ils se débrouillent entre eux,c’est pas notre guerre,ils détestent l’homme noir comme je les déteste ; et ça Macky doit le savoir!,ps mais xalima quesce qu’il y’a d’offensive dans mon commentaire pour l’effacer ?

  10. Transformer le vil en or
    Ou le ministre Mankeur Ndiaye est ignorant ou alors il nous prend pour des demeurés et, dans tous les deux cas, y a de quoi avoir peur. Quand il déclare dans une interview sur RFM que « les rebelles yéménites n’ont pas la même vision de l’Islam que nous, ils détestent l’Islam confrérique et détruisent les mausolées des saints », nous qui ne sommes pas des spécialistes de la diplomatie savons pertinemment que c’est faux et que le ministre fait des amalgames dangereux dans un seul but : toucher la sensibilité de nos concitoyens en ce qui concerne les sujets sacrés comme la Mecque et les mausolées des saints. Le ministre sait très bien que le parrain du terrorisme islamiste, le protecteur de AQMI, de Al Qaeda et de l’EIL se trouve être l’Arabie Saoudite.
    Il existe bien au Yémen des terroristes djihadistes notoires comme Anwar Al Awlaki qui a organisé des attentats contre des cibles américaines ou européennes et qui sont discrètement soutenus par Riyad. Ce sont ces gens qui luttent contre l’Islam « négro-africain », contre la vénération des saints et ils ont fait leur démonstration au Nord-Mali. Les houthis sont chiites et leur secte vénèrent des imams, ont des mausolées partout, il n y a qu’à voir la célébration de la achoura ou tamxarit pour se rendre compte des ressemblances factuelles entre leur vécu religieux et le nôtre. L’Iran et l’Irak chiite sont parsemés de mausolées de saints ou d’imams où les fidèles se rendent pour faire des prières. Ceci est inconcevable en Arabie Saoudite où le wahhabisme impose une application stricte et très rigoriste des préceptes. Il est scandaleux que le ministre veuille nous faire croire que l’ennemi de notre Islam est la rébellion des houthis, l’ennemi de notre Islam est et restera toujours le wahhâbisme saoudite. Sunu jangg sorewul dé wayé du nu dof nak !!!

  11. François Hollande en Arabie Saoudite : la carte pour comprendre les jeux d’alliance au Moyen-Orient

    INTERNATIONAL – C’est une visite qui a fait couler beaucoup d’encre. Ce mardi 5 mai François Hollande entamait la deuxième étape de son voyage au Moyen-Orient, avec les ministres des Affaires étrangères et de la Défense, Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian. Après un saut par le Qatar, la veille, pour signer la nouvelle vente de Rafale, François Hollande a rejoint l’Arabie Saoudite.
    Le président français a assisté mardi, et c’est une première pour un chef d’Etat occidental, au sommet du Conseil de coopération du Golfe. Au centre des discussions, les crises que connaît la région, avec en haut de l’ordre du jour, la guerre au Yémen. La France a spectaculairement resserré ses liens avec les monarchies du Golfe lors de cette visite marquée par la vente du Rafale au Qatar et la perspective de « dizaines de milliards d’euros » de contrats avec l’Arabie saoudite.
    Dans un communiqué conjoint, les dirigeants du Conseil de coopération du Golfe et la France ont souligné « que la rencontre de Ryad est le point de départ d’un partenariat spécial » entre eux. Au cours de ce sommet où les monarchies ont fait bloc face à l’Iran, François Hollande s’est notamment inquiété de la « déstabilisation » du Yémen et a réaffirmé « l’engagement de la France » aux côtés des pays du Golfe, majoritairement sunnites.
    Derrière le Yémen, l’affrontement entre l’Arabie Saoudite et l’Iran
    Débutée à la fin mars, la guerre au Yémen dépasse largement les frontières de ce pays, le plus pauvre de la péninsule arabique. En effet, elle illustre en creux la rivalité entre l’Arabie Saoudite et l’Iran. Pour rappel, c’est l’avancée des Houthis, rebelles chiites soutenus par l’Iran, qui avait provoqué l’intervention militaire de la coalition arabe, menée par l’Arabie Saoudite.
    « La guerre au Yémen est une excroissance de la guerre froide que se livrent l’Iran et l’Arabie Saoudite depuis des années », souligne Karim Emile Bitar, directeur de recherche à l’Iris. « En mobilisant rapidement une coalition militaire, Ryad a voulu signifier à Téhéran, qu’elle avait dépassé la ligne rouge [en apportant son soutien aux Houthis, ndlr], explique le chercheur au HuffPost.
    Le clivage religieux est régulièrement mis en avant pour expliquer cette guerre larvée entre les deux pays. En effet, l’Arabie Saoudite est un pays sunnite alors que l’Iran obéit aux rites du chiisme, une autre branche de l’islam. Toutefois, cette ligne de fracture n’est pas « suffisante » pour comprendre ce conflit, selon Karim Emile Bitar. « Il s’agit surtout d’un affrontement géopolitique classique, entre deux puissances régionales », explique-t-il. « Si ces deux mastodontes de la région ont parfois recours à la rhétorique communautariste pour mobiliser les masses, leur affrontement n’a pas de fondement théologique. Il est surtout question de puissance, d’économie et de territoire », ajoute-t-il.
    Jeu d’influence, jeu d’alliance
    La montée en puissance de l’Iran remonte à 2003, au moment de la guerre en Irak, rappelle le spécialiste. Après la chute de Saddam Hussein, dirigeant sunnite, la communauté chiite irakienne devient plus puissante, renforçant ainsi l’influence de l’Iran. « Cette montée en puissance a suscité une réaction de panique des pays du Golfe, majoritairement sunnites, et qui souhaitent arrêter la percée chiite iranienne », poursuit-il.
    L’Arabie Saoudite et l’Iran sont donc les deux leaders de cette « guerre froide » mais les pays voisins ont également leur rôle à jouer. Pour comprendre cet équilibre régional, nous avons demandé à Karim Emile Bitar de décrypter, pays par pays, la position de chacun vis-à-vis de l’Arabie Saoudite et de l’Iran. Un jeu d’influence et d’alliances à découvrir dans la carte ci-dessous:
    Légende: en vert les pays dirigés par des sunnites, en rouge, les pays sous pouvoir chiite, en bleu, les pays dont les dirigeants sont d’une autre influence religieuse. Cliquez sur chaque pays pour avoir le détail des appartenances religieuses des populations, parfois divergentes.

  12. Lisez ce livre pour être édifiés à jamais sur l’islam :  » Mahomet, hisdtoire d’un Arabe, Invention d’un Prophète » édition Labor et Fides, 2012) !( 29 euros ttc à commander par le Net chez Cultura) délais de livraison 8 jours maximum hors Paris.

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