Moussa Sow, le jeune attaquant sénégalais de Lille aurait été victime de pratiques mystiques qui l’ont empêché de marcher pendant deux semaines, alors qu’il était âgé de 18 ans, si on en croit les révélations de son frère et agent, Abdoulaye Sow, dans les colonnes du quotidien français « l’Equipe ».
Dans les colonnes du magazine français « l’Equipe » de ce dimanche, le grand frère de l’attaquant des « Dogues » de Lille, Moussa Sow, auteur de cinq buts cette saison, a fait une révélation de taille. Si on en croit ce dernier, à l’âge de 18 ans, son frère souffrait d’une maladie dont ils ne connaissaient pas les symptômes. Après moult analyses médicales, les résultats ne donnaient rien.
« On n’a jamais su ce que c’était. Les analyses médicales ne donnaient rien. Il y a eu des pratiques mystiques autour de lui », a attesté son grand frère dans les colonnes du quotidien sportif français « l’Equipe ».
Selon ce dernier, le cas de son frère qui n’arrivait plus à marcher, avait fini par sceller l’union sacrée de la famille autour de lui. Et ce n’est qu’après l’intervention de certains anciens qui étaient venus à son chevet, que son frère, « un beau jour », s’est relevé.
Abdoulaye Sow par ailleurs agent de son frère, actuel pensionnaire de Lille, a encadré son petit frère, dès le bas âge en vue d’une carrière dans le football, sans aucune implication de la famille : « A 10 ans lorsque mon frère prend une licence, la famille est loin de tout ça », relate t-il dans « l’Equipe ».
Et Moussa Sow qui prend la parole, n’a pas manqué d’évoquer son statut de binational. Il avoue avoir eu des difficultés au débuts pour s’intégrer dans le pays d’origine de ses parents.« Au début, quand j’allais au Sénégal, je ne me sentais pas spécialement Sénégalais. Je le voyais aussi dans le regard des gens », a déclaré l’ancien rennais.
C’est toutefois, selon lui, quand il s’est imprégné de la culture sénégalaise, en commençant à parler peulh, puisqu’il est pulaar, qu’il a senti des changements.
nettali.net
