PRIE DE VIDER LES LIEUX POUR UNE ARDOISE DE 8.200.000 F CFA A SES BAILLEURS, FARBA SENGHOR LEUR CRACHE A LA FIGURE: « Je m’en fous, personne ne peut rien contre moi! »
Décidément, le tout nouveau coordonateur des opérations de renouvellement du Pds ne craint rien ! Ni personne, et pour cause ! Alors qu’il doit 8.200.000 francs, représentant 4 mois d’arriérés de loyer et 40 mois de Tva, Farba Senghor a signifié à l’huissier et aux responsables de l’Agence immobilière Dekmann Immobilière, que « personne n’expulsera qui que ce soit ici ». A ses hôtes qui invoquent la police et le juge, l’élément hors du commun a martelé : « je m’en fous, personne ne peut rien contre moi ».
À ses visiteurs qui invoquent la police, Farba rétorque : « je m’en fous, aucun policier ne mettra les pieds ici »
Désabusés, les visiteurs indésirables lui ont tout de même rétorqué qu’ils détiennent un titre exécutoire qui provient d’un juge. Réplique assassine de l’élément hors du commun qui vocifère : « Je m’en fous du juge des référés, personne ne peut rien contre moi ». Lorsque les agents immobiliers ont parlé de leur dernier recours, à savoir une réquisition d’assistance qu’ils comptent se faire délivrer lundi, pour une intervention d’éléments de la Police, la colère du maître des lieux est encore montée d’un cran : « Je m’en fous, aucun policier ne mettra les pieds ici ». Face à une telle attitude, l’huissier et les agents immobiliers sont montés dans leur véhicule et sont partis… avant que l’irréparable ne se produise. Ils n’ont pas eu tort, car Farba Senghor et ses hommes sont capables du pire. Et les plus sceptiques n’ont qu’à faire un tour dans les locaux de « L’As » et de « 24 H Chrono », où sa bande d’agresseurs a laissé des marques indélébiles contre l’oubli, lors d’une expédition punitive en 2008. Genèse de l’affaire. L’agence immobilière Dekmann Immobilière, qui a la gestion de l’immeuble occupé par le groupe Express Communication, un R+1, sis sur la Vdn, en face du terrain de foot, après de vaines tentatives de solutions conciliées, se résigne à poursuivre la structure qui lui doit des arriérés de location. Le loyer est fixé à 750.000 francs par mois. Une assignation de payer est donc servie le 04 août 2009 aux occupants. Ayant pris connaissance de cet acte, le groupe verse un acompte d’un mois et s’emmure de nouveau dans le silence, en ne donnant aucun signe de vie à la comptabilité de l’Agence. Ce qui, au bout de quelques semaines, porte les arriérés de location à 4 mois, soit 3 millions Cfa et ceux de la Tva à 40 mois, soit à 5.200.000 F Cfa. Ainsi, le groupe Express Communication reste devoir à l’Agence immobilière 8.200.000 francs Cfa.
L’Agence fait ce lundi une réquisition d’assistance pour le virer de force de l’immeuble
Par l’ordonnance n° 6598, l’affaire est vidée par le juge des référés le 28 décembre 2009, qui ordonne l’expulsion du groupe de presse. L’huissier signifie cet acte le 02 janvier. Aucune réaction d’Express Communication. L’agence joint alors au téléphone, le coordonnateur Assane Bâ, qui dit ne pouvoir rien faire, parce que se trouvant à Touba. Qu’à cela ne tienne, Jacob Bamba reçoit la signification d’ordonnance de référé commandant de vider les lieux. Hier, vendredi 05 février, dans l’après-midi, l’huissier, accompagné de quelques employés de l’agence, se rend à l’immeuble pour procéder à l’exécution. Sur place, on leur fait savoir qu’il n’y a aucun responsable. Joint au téléphone, Assane Bâ arrive aussitôt. Cordial, il reçoit les visiteurs au secrétariat. Cinq minutes après son arrivée, Farba Senghor débarque et met de l’huile sur le feu. Comme il sait, du reste, le faire… Nullement découragés, les agents immobiliers vont faire dès lundi, une réquisition d’assistance pour procéder à l’expulsion et recouvrer les montants dus.
Si j’étais propriétaire de cet immeuble, j’allais casser la gueule à Farba Senghor avant de le déguerpir par la force ! Il n’a pas encore rencontré son « domou badiène » !
farba est un …´et ne t en fait pas il est pareil que son supposer pere