La découverte a médusé les douaniers de Nador, au nord du Maroc, et démontre, s’il en était besoin, que l’argent sale de la drogue n’est plus à une transgression près pour faire prospérer un business, semeur de corruption, de déchéance et de mort.
L’engrenage florissant de l’illicite a conduit des narcotrafiquants à redoubler d’imagination pour masquer leur sombre forfait. Prêts à tout, ces derniers ont dissimulé pas moins de 200 000 capsules de drogue dans des toasts, et plus sacrilège encore, ont caché 10 kilos d’héroïne dans… 30 Corans !
Sans foi ni loi, ces criminels pensaient tromper la vigilance des fins limiers de la douane en confiant à une femme, accompagnée de ses quatre enfants, la périlleuse mission de convoyer ce chargement inhabituel jusqu’en Espagne, où, selon le site d’information Nador City, la drogue était destinée à un membre de la famille, chargé de revendre la marchandise.
Mais il n’y a pas de crime parfait, et bien que n’ayant reculé devant rien pour parvenir à leurs fins, les narcotrafiquants ont été trahis par le comportement suspect du conducteur du véhicule, qui n’était autre que le fils de 25 ans de celle censée faire illusion en parfaite mère de famille…
Oumma.com
Soubb annalahi. C’est ignoble de la part des narcotrafiquants ; ils ne leur restait plus que ça. On doit les chatier tous : les auteurs et les commanditaires. C’est plus qu’un crime de dissimuler ce maudit produit, cette maudite marchandise dans le Saint Coran.
Que les Dieu les punisse.