M. Sarr, 43 ans, docteur en économie et ancien représentant du Fonds monétaire international (FMI) au Bénin et au Togo, déclare vouloir ‘’rompre avec le centralisme d’Etat d’une part et introduire des monnaies locales complémentaires et non concurrentes avec le franc CFA d’autre part, afin de permettre aux populations de prendre leur destin en main‘’.
Lors d’une conférence de presse, Abdourahmane Sarr a fait savoir qu’il mise sur les ‘’économies locales dynamisées’’ pour ‘’permettre aux citoyens […] de satisfaire leurs besoins privés et financer eux-mêmes librement [leurs entreprises] dans le cadre d’une démocratie participative’’.
M. Sarr, qui dit avoir démissionné de son poste au FMI en octobre dernier, compte mettre en œuvre une politique de décentralisation bâtie sur la division du pays en 5 pôles ‘’économiquement intégrés’’ les uns aux autres et disposant chacun d’une grande ville comme ‘’épicentre’’.
‘’Nous avons des solutions aux problèmes que vivent les Sénégalais, car depuis deux ans nous avons sillonné les grandes villes du pays pour faire le diagnostic juste’’, a déclaré ce candidat à l’élection présidentielle.
‘’L’engagement citoyen et la confiance à la jeunesse, qui a juste besoin d’être aidée pour prendre son destin en main’’ motivent sa candidature, a-t-il dit, se présentant aux journalistes comme ‘’le candidat de la jeunesse’’.
‘’Toute la communauté internationale, y compris les institutions financières, veulent que l’Afrique prenne son destin en main’’, a affirmé M. Sarr, qui a travaillé au FMI pendant 15 ans.
‘’J’ai confronté mes idées depuis l’université à ce que je faisais au FMI. Depuis 20 ans, je réfléchis à cette solution, c’est-à-dire introduire des monnaies locales dans des économies locales dynamisées, faciliter l’accès au crédit, satisfaire les besoins en biens et services des populations dans leurs localités, pour [bâtir des] communautés de base fortes’’, a-t-il expliqué.
Il se réclame du libéralisme, qu’il entend bâtir sur les ‘’les valeurs d’autonomie et de liberté’’.
Selon le leader du MRLD – créé il y a un an -, l’Etat ne peut plus répondre à toutes les attentes des populations. Aussi a-t-il déploré que certains Etats se trouvent encore dépendants de l’étranger dans plusieurs domaines, plusieurs années encore après leur accession à la souveraineté internationale.
‘’Je l’ai préparée depuis très longtemps. J’ai ma caution et je ne l’ai pas volée’’, a-t-il déclaré. Le versement d’une caution de 65 millions de francs CFA est l’un des critères requis pour se présenter à l’élection présidentielle au Sénégal.
Il lui faut juste quelques signatures. s’il y a des citoyens qui veulent le voir candidat, il n’ont qu’à aller rapidement se déclarer chez lui. il est encore temps. C’est la solution pour valider sa candidature. C’est le règlement électoral. il faut arrêter de pervertir l’info
Malheureusement,maintenant Nafékhyi nio eupe Sénégal.C’est dommage Dioupp véridique sincére tout cela avec la foie(Musulman ou catholique)nitt bouko nek légui niou diabolisé toutil leu.Désolé,il faut etre à l’image d’ingrat arriviste de la trempe de Ablaye Wade pour se faire aduler,donc Guorr bouguouniouko.Vraiment Désoléééé pour mon Pays et pourtant amnaniou ay royoukay thie Magg you bax yi fi teudeu…pour ne citer que Les GRANDS MARABOUTS(RTA) des différants Tarikhas dont les Nafékh nous timpanisent tout le temps de leurs oeuvres.Qu’Allah nous préserve notre cher Sénégal thie sénne barké toppaka ba thie Sang bi(PSL).Amineee…..