Où vont nous mener les ambitions devenues irréfrénables de Karim Wade ? Il nous est revenu, en ces jours graves pour notre pays, que le chef d’orchestre de toutes ces manoeuvres grossières autour de la question électorale n’est autre que Karim Wade. Si son père n’a pas annoncé, comme en plusieurs occasions il l’aurait voulu, dont la dernière serait son message à la nation de la fin de l’année, son retrait du pouvoir – message attendu deux heures et demie après l’heure convenue par le peuple anxieux-, ce serait à cause de lui. Soit parce qu’on l’aurait encore convaincu que le projet insensé de se faire succéder par son fils, avait encore quelque chance de succès. Soit parce que l’héritier présomptif lui-même se serait opposé à ce que Papa renonçât au pouvoir. Le vieux avait déjà tant trimé, à ses yeux, qu’il serait dommage qu’il abandonna, si près du but. Son aversion pour Souleymane Ndéné Ndiaye étant bien connu, le petit serait encore derrière toutes les couleuvres que le président fait avaler à son PM depuis qu’il l’a nommé Directeur de campagne. D’abord, il lui a mis Djibo Kâ dans les jambes comme une sorte d’alter ego au titre du « Fal 2012 », ensuite, Pape Diop, nommé Délégué général aux élections pour le compte de la coalition, hiérarchiquement au-dessus
de Souleymane Ndéné, selon la presse qui avait révélé l’information. La démission d’Abdou Fall, directeur de cabinet politique du Président Wade serait aussi à mettre au compte de « l’impopulaire Karim Wade », selon une formule très prisée par la presse étrangère, du fait de l’insoumission à son autorité diffuse du très politique ancien ministre de la Santé.
La question du « Plan B » – c’est-à-dire le dépôt d’une autre candidature du parti à côté de celle de Wade- dont, en son temps, aurait disposé le Pds, « au cas où… », ainsi que l’avait annoncé à la presse laministre d’Etat Awa Guèye Kébé, Karim l’avait fait écarter. Mettant du coup une pression énorme, la plus énorme de toutes, sur le Conseil constitutionnel. Et soumettant son père à une sorte d’obligation de résultat, dès lors que sa candidature écartée équivaudrait à un suicide politique personnel, un naufrage collectif pour toutes ses familles, politique et biologique. Le président de la République, l’homme le plus puissant au Sénégal, après Dieu et le peuple (pour ce dernier, quand il sera vraiment excédé ; ce dont il n’est pas loin), était donc contraint d’user de tous les moyens imaginables pour contraindre les juges. Et il ne s’en est pas privé. De la coercition aux récompenses, les bruits qui courent dans les salons –et qui n’ont rien à voir avec les cinq millions d’augmentation de leurs salaires- sur comment ont été amadoués les cinq sages pour les métamorphoser en « Les cinq mages », ne sont peut-être pas que des bruits. Les moyens utilisés n’auraient rien à envier à ceux de Cosa Nostra… Pourtant, au début de l’alternance, et c’était très sensé, un banquier (un vrai) lors de discussions avec ses amis, tournait leurs angoisses en dérision quant à un projet de succession, dans le cadre d’une « monarchisation démocratique » du Sénégal. Selon ce banquier par ailleurs plein d’humour, il ne fallait pas qu’on se prenne la tête, Karim Wade était en quête d’un trésor non pas de guerre, mais d’un trésor de jouissance de 200 millions de dollars. Et quand il les aurait, il se taillerait pour se la couler douce à travers le monde. Et à la question de savoir pourquoi Karim voulait tant d’argent, notre banquier répondra que c’était pour lui, une façon de s’assurer pouvoir continuer à vivre sur le même pied, c’est-à-dire, à l’époque, « voyager en première, disposer d’un appartement dans toutes les grandes villes d’Europe et d’Amérique, avoir une domesticité à sa disposition », etc. Selon donc notre banquier, le garçon n’était qu’un sybarite en quête de voluptés terrestres. Et on pouvait le croire, et on a pu le croire longtemps encore, avec sa propension au jet privé, son amour pour les terres de farniente comme le Maroc, sur fond d’emmagasinage de milliards tant que, si on en croit Wikileaks – et pourquoi pas-, des diplomates américains ont surnommé le fils Wade « Monsieur 15% ». Or sur quoi a travaillé Karim où il pourrait picorer 15% ? Réponse : Les chantiers de l’Anoci (450 milliards), l’autoroute à péage non encore achevée (déjà 320 milliards), le plan Takkal (600 milliards), l’aéroport Blaise Diagne ; et quelques autres menu machins tels DP World, Air Sénégal International, puis Sénégal Airlines , etc., etc., etc. 15% de tout cela, ça fait quand même un bon paquet. Et là, on retrouve le fils d’Abdoulaye Wade au coeur d’intrigues visant à écarter tout sur son passage pour se frayer un chemin vers le pouvoir, au risque de voir le pays exploser entre les mains de son père ? Où est passé le sybarite, jouisseur et avide que d’argent ? A ce stade, que dit notre banquier, pourtant si perspicace ? Il donne sa langue au chat, comme on dit. Alors, place au modeste observateur, besogneux obligé de gagner sa vie en essayant d’expliquer la politique et les hommes politiques. Cher ami banquier, vous n’aviez pas tort, alors. Ce qui est arrivé, c’est que le garçon a goûté à l’euphorisant le plus puissant de tous, sans y être vraiment préparé, tellement quand les Idy, Macky, Ndéné et d’autres se battaient pour mener son père au pouvoir, il les considérait un peu comme des jeunes aventuriers n’ayant pas toute leur tête. Cet euphorisant, la drogue du pouvoir, est un mélange, chez nous Africains, d’argent facile, de foules en liesse, de marabouts obséquieux, d’intellectuels de service, de médias complaisants, de fonctionnaires calculateurs et de militaires ambigus, de flagorneurs professionnels, tout un monde qui vous enivre au narcotique de la glorification, vous soulève de terre, vous met en orbite, en lévitation. La réalité vous est présentée sous son jour le plus enivrant. Aucun argent ne peut donner ça, c’est sur fond d’hymnes en cuivre joués par des gens en uniforme, pendant que d’autres en arme, veillent sur votre sécurité. Même quand vous dormez. Il y faut une grande âme et une tête pleine, sinon une sacrée expérience pour relativiser tout ça. Si vous ne vous êtes pas battu pour en arriver là, si vous n’avez pas une grande culture politique, lu Tolstoï (Léon 1828-1910) ou de Gaulle, ou Mamadou Dia, les effets en sont dévastateurs. Aveuglé par tant de lumière, vous avez à la fois le sentiment de toute puissance, et une peur bleue, même de votre ombre. Et ça mène à la folie. Seule celle-ci peut conduire n’importe qui à encourager, pousser même, voire contraindre son père à mener des batailles pareilles à celles qu’Abdoulaye Wade mène, aujourd’hui, à 90 ans, ou si peu moins. Mais il fallait qu’au bout du chemin, se trouvèrent non pas cinq sages, mais cinq mages des temps modernes qui ont l’illusion que ce Jésus-là, vaut le coup d’une … insurrection – parce que c’est bien vers cela qu’on va, si personne n’arrêtait cette dérive des ivresses, dans laquelle Karim n’est pas seul bien entendu. Seulement, le plus triste dans l’affaire, c’est que tous ces gens qui poussent Wade, dès qu’il passera cette élection à venir avec succès, seront sacrifiés sur l’autel des désirs du prince. Il va tous les envoyer à la retraite, dès qu’il sera installé –par contre ça, c’est plus proche du rêve que de l’ivresse.
Par Pape Samba KANE
Popxibaar.net
Dans son dernier interview, le chef affirme qu’il a été surpris par le mouvement du 23 juin et que la prochaine fois ce ne sera pas le cas car il a pris toutes les dispositions nécessaires.
Ce qui veut dire que s’il n’avait pas été surpris par le mouvement du 23 juin, aujourd’hui on en serait avec un ticket président-vice-président qui ouvrirait la voie à la dévolution monarchique du pouvoir et à la validation du taux de 25 % lui permettant de remporter les élections dès le premier tour les doigts dans le nez.
Ce qui veut dire également qu’il est fin prêt à l’affrontement pour imposer sa volonté au peuple servile.
Les « talibés » du Conseil constitutionnel valideront bien entendu sa candidature conformément à sa volonté de Chef des «talibés ». Il n’a donc point besoin d’un plan B car étant absolument certain de sa parfaite maîtrise des événements.
Il y aura des manifestations comme dans la journée du 23 juin. Mais cette fois-ci, il ne se laissera pas surprendre.
Son ministre de l’intérieur a reçu la commande du matériel de répression et les a montré à la télévision pour faire peur au peuple.
Il a sécurisé les « talibés » du conseil Constitutionnel dans un quartier plus difficile d’accès pour les manifestants.
Donc le jour venu il réprimera dans le sang et comptera sur la capacité des sénégalais à toujours beaucoup parler et à oublier très vite.
Si d’aventure les choses deviennent incontrôlables, il décrétera l’Etat d’urgence et continuera à assoir son règne jusqu’à ce qu’il arrive à ses fins : la dévolution monarchique du pouvoir à son fils.
Se considérant comme l’homme le plus intelligent du Caire au Cap, il a pu aveugler les sénégalais et les observateurs par une politique en trompe l’œil.
Il est vrai que sa tâche a été grandement facilitée par 40 ans d’immobilisme du parti socialiste dont les deux présidents n’ont pratiquement rien réalisés durant leurs mandatures.
Il se vante ainsi des quelques réalisations qui ont entrainé des dépenses gigantesques dont la grande majorité des sénégalais n’a pas profité.
Quel pourcentage des sénégalais emprunte la corniche qui mène de l’aéroport au palais ? Pour combien de milliards d’investissement ?
A quoi peut bien servir ce hideux monument stalinien qui domine la presqu’île du Cap vert ? Pour quel échange scandaleux avec des terrains qui valent une fortune ?
Qui paye actuellement 400 F pour 3 kilomètres d’autoroute à péage ?
En quoi les habitants des banlieues ont bénéficié des centaines de milliards investis ?
En quoi les jeunes et les étudiants on vu leurs sorts s’améliorer grâce aux milliards ainsi investi ?
Quel est le pourcentage des sénégalais qui mange à sa faim avec trois repas par jour ?
Combien de sénégalais meurent tous les jours de maladies qui ne tuent presque plus personne nulle part dans le monde ?
En face la communauté des « talibés » du chef affiche une insolente arrogance (voitures de luxe, villa de luxes, les enfants aux Etats Unies ou en Europe).
Les terres du domaine national et du domaine maritime sont distribuées aux « talibés » du chef qui se précipitent pour construire le plus rapidement possible dans une complète anarchie afin de mettre les éventuels successeurs du chef devant le fait accompli.
Il est en ainsi tout le long de la corniche de l’aéroport au Palais. Le citoyen ne peut plus ni accéder ni voir la mer car toutes les terres ont été accaparées par les « talibés » du chef.
Devant le hideux monument, des constructions anarchiques dans un environnement qui n’a même pas fait l’objet d’installation de voirie ou d’un plan d’urbanisme cohérent poussent partout.
Plus de la moitié de la foire a été privatisée avec les mêmes types de constructions anarchiques.
Le domaine de l’actuel aéroport est chaque jour grignoté par ces constructions anarchiques.
Le domaine maritime n’existe pratiquement plus tout au long de la petite côte.
On a tendance dire qu’on a finalement que le chef qu’on mérite. Notre mentalité de « talibé » est très réceptive à ce type de gouvernance.
Il ne faut donc pas s’étonner qu’on soit dirigé par une classe politique prédatrice qui s’en fiche du drame quotidiennement vécu par les sénégalais.
Monsieur GADIO donne maintenant l’impression d’un Candidat qui ne sait plus quoi dire, quoi faire, pour empêcher WADE de les laminer tous ,au soir du 26 février 2012, qu’il nous sert encore ce disque si rayé, que les sénégalais les plus bêtes n’écoutent plus. Si monsieur KARIM WADE n’existait pas, les leaders dse l’opposition l’auraient inventé. Qu’ils arrêtent de nous prendre pour ce que nous ne sommes pas! Cette farce ne fait plus recette dans notre pays. Le Président Wade lui-même s’est demandé de quel cerveau maléfique cette intoxication est sortie! Même nous, partisans les plus zélés de WADE, serions dubitatifs, à l’idée de voir KARIM succéder à son père sur des bases peu démocratiques, ce ne nous empêcherait pas nonb plus de nous battre pour ce dernier si, de manière transparentes et ne souffrant d’aucun soupçon de tordre les principes démocratiques de dévolution du pouvoir, nous disons depuis deux ans, pourquoi pas! Ce serait jouable, il en a toutes les qualités, selon nous!
La stratégie de la fraude, les moyens techniques (logiciel informatique) du système ainsi que les hommes qui doivent l’animer sont en place…depuis quelques jours.
Sont au courant des détails de la fraude informatique: Me Wade, Me Ousmane Ngom (Ministre d’Etat, Ministre de l’intérieur), Cheikh Tidiane Sy (Ministre d’Etat, Ministre de la Justice), Me Madicke Niang (Ministre d’Etat, Ministre des affaires étrangères), Karim Wade (Ministre d’Etat, Ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Énergie)… Pape Ousmane Sy fils du Ministre de la Justice, conseiller en informatique du Président de la République, trois fonctionnaires ingénieurs informaticiens du ministère de l’intérieur .Le logiciel en question a été conçue par une firme indienne, via une autre société russe très connue …( Poutine a-t-il utilise ce système de fraude pour gagner les législatives très contestées en Russie ?)
Le montant de la transaction avoisine les 5 milliards de francs Cfa, payé par l’argent provenant tenez-vous bien des 20 milliards de Sudatel. Eh oui…Latif Coulibaly journaliste d’investigation de l’hebdomadaire <> aujourd’hui candidat de la coalition <> avait bien raison…Karim Wade et Pape Ousmane Sy ont mené toutes les négociations financières, et ceci dans le plus grand secret.
Le Président Wade était bien entendu au courant de toutes les démarches pour l’acquisition de ce « logiciel magique »… Le problème, aujourd’hui , ne se situe pas au niveau du fichier électoral, qui selon tous les experts et représentants de partis politiques, est bon…L’UE et les Américains l’ont confirmé…Wade a été très satisfait de cette confirmation sur la qualité de notre fichier électoral car personne ne pourra contester les résultats au soir du 26 Février 2012 en incriminant ce ficher … Au moment des fêtes de Noel et de nouvel an ( semaines de 24 décembre 2011 au 1 Janvier 2012), pendant que tous les Sénégalais et Sénégalaises se focaliseront sur ces fêtes, au moment ou seront envoyés en congé tous les agents susceptibles de relever des soupçons au niveau du processus de fraude, le fameux logiciel conçu spécialement pour truquer des élections présidentielles sera mis en place… Le Ministre charge des élections n’y pourra rien car ne dispose aucun levier de la fraude. Le Ministre d’Etat, ministre de l’intérieur Me Ousmane Ngom a même parait-il fait venir son frère qui s’appellerait, selon mes sources, Oumar Ngom des Usa car il a besoin des hommes de confiance pour ce « boulot » … Ce logiciel va s’appuyer sur 3 points essentiels qui sont :
1-Le détournement du vote massif des hommes de tenue (militaires et gendarmes en particulier) .Ce vote reste flou et non transparent. Ces hommes de tenue auront reçu auparavant des consignes fermes pour aller tous voter pour le candidat de leur choix…Peu importe pour qui ils voteront, le « logiciel magique » se chargera »d’arranger » toutes ces voix en faveur du candidat Abdoulaye Wade…et personne dans l’opposition ne saura ce qui est devenu le « vote militaire » comme se fut le cas en 2007.Amath Dansokho tente d’attiré l’attention sur la destination et la clarté du vote des militaires…sans succès.
2-La crise en Casamance : l’Etat s’arrangera à faire attiser la violence sur l’étendue de la région de Casamance en laissant pourrir une situation d’insécurité avec les attaques des rebelles ….comme cela plus de 70 % des inscrits ne pourront pas voter par la faute des violences qui vont déstabiliser le scrutin et tenez-vous bien le <> se chargera du reste. Ainsi personne ne pourra être sur le terrain pour vérifier les résultats sortis des urnes dans beaucoup de localités du sud du pays Aujourd’hui la Casamance est à feu et à sang en attendant l’élection présidentielle du 26 Février 2012…
3- Enfin sur le récent redécoupage de 17 collectivités locales dans 6 régions du Sénégal. Le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, le Dr Aliou Sow, a eu par les arrêtés n°6151 à 6155 du 24 mai 2011, à procéder à la nomination des membres des délégations spéciales chargés de faire fonctionner les collectivités locales issues du dernier découpage administratif…Tous les hommes du dispositif de la fraude ( « gouverneurs Wadistes » y compris ) sont en place … (Dans le département de Rufisque, ce sont les communes de Sendou, de Jaxaay-Parcelles-Niacoul Rab, Sangalkam et les Communautés rurales de Bambilor et de Tivaouane Peulh Niaga qui sont concernées. Dans le département de Guinguinéo, il s’agit des communes de Fass et de Mboss et les Communautés rurales de Ourour, Panal Wolof et de Dara Mboss. Pour le département de Malem Hoddar, il y a les Communautés rurales de Ndiobène Samba Lamo et de Ndioum Ngainth. Dans le département de Linguère, il s’agit des Communautés rurales d’Affé Djoloff, de Sagatta Djoloff et Yang Yang. Dans le département de Matam, il s’agit de la commune de Nguidjilone et la Communauté rurale de Bokidiawé…. ou beaucoup d’électeurs du fait des difficultés liées à l’obtention de nouvelles cartes d’identité et cartes d’électeurs ne pourront pas voter…).On n’entend plus le Dr Aliou Sow…Il a fini le travail pour lequel un grand ministère lui sera confié après la victoire de son mentor en 2012.
Le « logiciel de la fraude » va ratisser toutes les voix des militaires, gendarmes, des électeurs inscrits sur le fichier et provenant de ces localités découpées mais n’ayant pas pu voter, des fraudes opérées dans des zones d’insécurité en Casamance pour faire la différence en faveur du candidat Abdoulaye Wade…
Ce sont ces 3 points qui constituent ce qu’un journaliste-analyste appelle comme pouvant être <>.
La surprise sera grande encore une fois parmi des Sénégalais et Sénégalaises…
Personne ne comprendra et n’osera contester les résultats…Et il sera trop tard…pour agir…
Voila le plan diabolique qui a déjà permis à Ali Bongo du Gabon et à Faure Ngassimbe du Togo de gagner largement les élections présidentielles au nez et à la barbe de leurs opposants qui n’y avaient vu que du feu…La clé de la fraude passe par le vote des militaires, gendarmes et policiers…ainsi que par le découpage de collectivités locales pour perturber l’électorat et frauder !!! Le résultat du candidat Wade étant fixé par ses génies informaticiens ( 53,46% c’est le chiffre retenu qui a même été confirmé sur TFM-le-grand-jury par le ministre directeur de cabinet du président Wade, Me Sall… à la question combien estimez-vous le score de Wade au second tour si jamais il se présente ?), le logiciel se chargera d’allouer aux autres candidats un résultat plus ou moins cohérant basé sur des chiffres recueillis au niveau des bureaux de vote dans toutes les régions du Sénégal et de la diaspora…Encore une fois, seuls le vote des hommes de tenue, les fraudes opérées en Casamance et sur les 17 collectivités locales citées plus haut feront la différence…Je rappelle quece système de fraude n’avait pas été utilisé lors des élections municipales de 2009 mais avait bel et bien permis partiellement à Wade de gagner les présidentielles de 2007.
La seule chose qui empêche aujourd’hui le Président Wade de dormir c’est que le conseil constitutionnel sous la pression virtuelle de l’opinion publique, en particulier du M23 et de certaines personnalités ( Koffi Anan, Jimmy Carter…et autres ) décide de jouer la carte « respect de la constitution et de la légalité républicaine» et rejette la candidature de Me Wade !!! Scenario catastrophe que le clan Wade ne peut admettre. C’est la raison pour laquelle sous les conseils de Djibo Ka, Wade décide de relever les salaires des magistrats à 5 millions de francs Cfa…Il ne veut courir aucun risque à ce niveau. Corruption douce ? La seule bataille qui vaille est celle qui consiste faire respecter la constitution…Wade le sait il ne peut et ne doit pas se présenter à un 3 eme mandat. Les Sénégalais doivent donc se mobiliser autour du M23 et de son leadeur Alioune Tine pour gagner ce combat. Si la candidature de Wade passe, c’est Karim Wade qui se frottera les mains…
Un patriote de l’ombre dans le secret des Dieux… à la présidence de République.(ma position ne permet pas de décliner mon identité…). SOYEZ VIGILANT.
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Il faut cesser de donner de l’importance à Karim Wade.C’est son pére qui est responsable de tout cela car étant le diable en personne.Karim c’est tout simplement un lache,un arriviste comme son fantomas de papa qui n’arréte pas de tricher avec les institutions pour se maintenir au pouvoir.De toute façon le Senegal n’appartient aux Wade et le processus est enclaché,il leur sera difficil de rester en paix dans ce pays.IL n’y’aura jamais jamais de dévoluton monarchique dans ce pays sous aucune forme que ce soit……