‘’Les principaux responsables, ce sont les gens de l’opposition qui utilisent les manifestations qui auraient pu avoir un sens tout à fait pacifique et compréhensible, pour mettre le désordre’’, a-t-il affirmé en marge de l’inauguration du Centre de contrôle technique de véhicules (CCTV) de Dakar-Hann.
Le président Wade indique avoir ‘’présenté (ses) condoléances aux parents’’, regrettant que des morts aient été enregistrées lors des manifestations.
‘’Les parents doivent prendre des dispositions pour que leurs enfants ne soient pas utilisés par des politiciens aux abois. C’est cela la vérité’’, a-t-il déclaré.
‘’Ces politiciens qui utilisent ces enfants doivent se mettre devant. Mais à ce moment, ils sont couchés chez eux tranquillement avec leurs enfants en envoyant ceux des autres devant les forces de l’ordre. C’est de la lâcheté’’, a encore martelé le Chef de l’Etat.
Interpellé sur le fait de savoir s’il pense que certains utilisent cette période électorale pour semer le chaos, le Chef de l’Etat a répondu qu’il en était ‘’absolument’’ convaincu.
‘’Ils (les opposants) ont commencé pendant deux à trois ans à raconter que j’étais minoritaire et eux majoritaires. Qu’ils le prouvent par les élections !’’, a lancé en guise de défi le Chef de l’Etat, candidat à l’élection présidentielle du 26 février prochain.
‘’Ils ont fait des appels à manifester vers le Palais de la République, des appels à l’émeute à travers une télévision qui serait fermée dans n’importe quel pays du monde. Cela n’existe qu’au Sénégal, mais cela n’aboutira à rien’’, a-t-il prévenu.
Le secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) affirme que ‘’ces manifestants ne représentent rien par rapport aux millions de personnes qui sont avec (lui)’’.
‘’Le Sénégal, a-t-il promis, continuera toujours à marcher d’un pas très calme vers des élections jusqu’à la proclamation des résultats et je respecterai les résultats.’’
‘’C’est un pays particulier avec des gens qui sont dans la société civile et en même temps chefs de partis politiques ou des pyromanes’’, dénonce le Chef de l’Etat, tout en rappelant qu’une ‘’personne qui se réclame de la société civile doit jouer des rôles d’intermédiaire et de médiation’’.
‘’Mais on prend partie d’une façon publique en voulant installer la violence. Mais ils ne réussiront pas parce que les Sénégalais veulent la paix’’, a-t-il conclu.
Elu à la tête du Sénégal en 2000 et réélu en 2007, le président Wade brigue un nouveau mandat. Mais sa candidature est jugée anticonstitutionnelle par le M23. Depuis sa validation, le 27 janvier dernier, par le Conseil constitutionnel, le mouvement accentue la pression en multipliant les manifestations à travers le pays.
Quatre personnes ont été tuées depuis le début du mouvement de contestation, dont un policier.
Mais le M23 s’est défendu d’être à l’origine des violences enregistrées au cours de ses rassemblements, accusant en particulier le pouvoir d’avoir organisé l’infiltration du rassemblement de mardi dernier à la place de l’Obélisque.
La campagne électorale de l’élection présidentielle du 26 février 2012 démarre dimanche 5 février avec 14 candidats en lice.
Me Wade : « Je ne répondrai pas aux religieux ni à Alain Juppé »
‘’Je ne répondrai pas aux religieux’’, a-t-il déclaré. Il était interrogé par la presse qui recueillait ses impressions sur l’appel fait par certains marabouts pour l’inviter à retirer sa candidature à la présidentielle du 26 février 2012.
Le Khalife général de Léona Niassène (Kaolack, centre), par la voix de son fils Mohamed, a invité le président Wade à se retirer de la course à la présidentielle.
L’Association des Imams et oulémas et deux autres religieux (les fils de feu Serigne Abass Sall de Louga et de feu Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh) ont lancé le même appel.
Concernant la déclaration du ministre d’Etat Alain Juppé, allant dans le même sens, le chef de l’Etat a souligné que le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Madické Niang, s’est déjà expliqué sur le sujet.
‘’Je n’ai pas droit en public à répondre à des ministres des Affaires étrangères parce que c’est un sous-ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis qui a parlé et M. Juppé n’est qu’un ministre, si le chef de l’Etat français Nicolas Sarkozy parle, je lui répondrais’’, a-t-il relevé.
‘’Je me contente de la réponse de mes ministres du même niveau’’, a réaffirmé le président sénégalais qui procédait à l’inauguration à Dakar-Hann du Centre de contrôle technique de véhicules (CCTV).
Aps.sn
Wade, tu na rien nen dire ! tu dégoute le peuple sénégalais, tu nous as trahi et tu payera au soir du 26 février INCHALLAH
Wade, tu na rien nen dire ! tu dégoute le peuple sénégalais, tu nous as trahi et tu payera au soir du 26 février INCHALLAH.
Les Anonymous diffusent une conversation du FBI .
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/03/97001-20120203FILWWW00563-les-anonymous-diffusent-un-appel-du-fbi.php
http://www.nytimes.com/2012/02/04/us/fbi-admits-hacker-groups-eavesdropping.html?_r=1&hp
QUI CONNAIT LE VRAI CURSUS D’IDRISSA SECK ?
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l’université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut « d’ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton».
Remarquez l’escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de science po ou je suis un ancien de Princeton». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L’Examen d’entrée en Sixième : Premier échec
Idy avait échoué à l’examen d’entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c’est l’épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté d’Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur d’Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu’il était issu d’une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s’est retrouvé au collège Saint Gabriel.
Statut de «Recasé» au Lycée Vanvo
Pour le lycée Vanvo, c’est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c’est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n’y avait que des fils à papa. Ce n’était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l’avocat Wade a été déterminant pour qu’Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n’était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C’est vrai qu’il se classait premier en arabe, mais c’est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C’était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l’âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17,18, 19 ou 20 ans, ce qui n’est donc pas le propre d’un génie. Pourtant Idrissa SECK a fini son cycle coranique, avant d’aller à l’école française. Forcément, c’est avec un jugement supplétif de naissance, qu’il est allé à l’école.
A L’Université de Paris, Idy était hébergé par Monsieur Ousmane NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s’inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d’étudiant afin de garnir son CV. C’est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D’ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d’étudiant d’Ousmane Ngom. Mais c’est seulement pendant l’année 1986-1987 qu’il est allé s’inscrire à Sciences Politiques.
Question : Qu’a fait Idy entre 1981 et 1986 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l’avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir. D’ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s’inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu’on pouvait lui faire, c’était de l’autoriser à s’inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n’est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois qu’Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
Idy était inscrit en cours du soir pour 6 mois à Princeton
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l’université américaine de Princeton, il faut préciser que c’est Jean Colin, l’ancien tout-puissant ministre d’Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au sein du Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis.
Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d’études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d’abord deux formalités à remplir. La première, c’est passer un test de niveau à l’issue duquel l’université l’accepte comme étudiant. La deuxième, c’est de faire 6 mois d’adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l’anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs. Ces deux formalités, une fois remplies, l’étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l’issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l’étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l’issue desquels il obtient encore un diplôme qui s’appelle MBA. Enfin, l’étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s’appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur.
Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l’actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu’il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n’a eu aucun diplôme d’études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire