Le célèbre avocat et bouillant parlementaire, Me El Hadj Diouf est devant le procureur de Paris depuis 10h. Il doit répondre du chef d’accusation de « tentative de viol sur mineure et de coups et blessures ». Le leader du Ptp a été cueilli à son hôtel parisien, dans la soirée du mercredi 21 mars, précisément à 21h 10, par la police, qui a fait irruption dans chambre n°607 de l’Hôtel de la Porte Maillot, où il séjournait au même titre que ses confrères, Aïssata Tall Sall et Félix Sow.
Amené au commissariat, Me Diouf a été placé en garde-à-vue. Jeudi, sa garde a été prolongée. L’affaire est tellement sérieuse que l’avocat s’est attaché les services de son confrère, Me Jean-René Farthouat, par ailleurs, avocat défenseur de Me Abdoulaye Wade depuis le procès de Mamadou Dia, en 1963.
Jean-René Farthouat est une figure incontestable du Droit pénal des affaires. Né en 1934, il exerce la profession d’avocat depuis près d’un demi-siècle. Son cabinet s’occupe, entre autres, de Droit de la responsabilité civile et défend les intérêts de grandes compagnies d’assurance. Mais Jean-René Farthouat, qui fut président du Conseil national des Barreaux, s’est aussi impliqué dans des affaires pénales. Il offre son expertise à des figures du monde politique (Roland Dumas, Gérard Longuet, Alain Juppé…), mais aussi économique (affaires des Ciments belges, la Marseillaise de Crédit…).
Me El Hadj Diouf devait embarquer, jeudi à 14h, à bord du vol Air France pour Dakar. Mais à l’embarquement, ses confrères Mes Aïssata Tall Sall et Félix Sow étaient sans nouvelle de lui et ses trois téléphones fermés. Le pool des avocats de l’Etat était en France pour les besoins du procès sur le « Joola ».
A l’heure où nous rédigeons ces lignes (12 h 45), le bouillant avocat sénégalais fait encore face au juge. En cas d’inculpation et de condamnation, la peine encourue pourrait aller chercher dans les 10 ans d’emprisonnement ferme.
Nous sources parisiennes précise qu’au moment de son arrestation, Me El Hadj Diouf s’est vivement débattu. Ce qui a contraint les policiers à le menotter, comme l’avait été DSK, pour l’extraire de l’hôte Méridien de la porte Maillot. Ces mêmes sources précisent que la victime du vice-président du Jaraaf de Dakar ne serait pas une Sénégalaise, mais plutôt une Française… Ce qui pourrait bien corser cette affaire à suivre.
Source : Lesenegalais.net
maître diouf n’est coupable de rien du tout ; le jour que l’on saura le nom de cette fille et sa famille , vous verrez que c’est la fille soit d’une militant (te) pds pour enfoncer maky et diouf dans des histoires de moeurs étant donné que le pouvoir leur échappe ils sont capables de la pire invention voire même dan s les bagages de leur adversaire mettre des produits prohibés : drogues et autres pour se faire corser au niveau des frontières ! faisons attention à ces gens en agonie
Il ne sert à rien de vouloir censurer ce que cette sombre affaire suscite dans toute la Communauté Sénégalaise qui ne cesse d’aller aux nouvelles depuis hier ! Maitre n’aurait pas dû s’empoigner avec les policiers venus le chercher! Des circonstances atténuantes auraient pu être invoquées devant un juges, avec des dénégations pertinantes . Pour un avocat de sa trempe, cela ne lui aurait pas posé de problèmes. Compte tenu de la gravité de la charge : « Viol sur mineure » il ne fallait pas en rajouter une couche de violence envers forces de l’ordre ! Au sénégal un Citoyens peut injurier un policier ou un gendarmes, dès fois aller un plus loin avec des coups de poingts, mais ici, même un membre de la famille Présidentielle, en exercice ou ayant exercé la fonction serait menotté et mis devant le Procureur et ne s’en sortirait qu’après avoir purgé une peine de prison toujours non assortie de sursis ! La France est l’une des pays du monde où il fait mieux vivre, où on se sent très très « libre » mais dès que vous enfreignez la loi, BONJOUR LES DEGATS ! Prions, allons voir des marabouts qui sont dotés de pouvoir surnatuels ou occultes comme on dit chez – nous, sinon, dès demain soir, il sera trop tard !
Dieu Seul sait ce qui s’est passe.Mais sur la justice francaise saura trancher au plus vite.Ce n’est pas comme dans certains pAYS AFRICAINS ou une complicite avec n’importe quel quidam de policier peut faire croire que l’on peut intimider ou poser un traquenard.Rule of law meant Juge will have he’s say at last!Bon entendeur salut!