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[Extrait du Pv] Le juge face à deux versions: Yérim: « Alors que je me frottais à elle, elle ne m’a pas repoussée… » – A Tall: « Je lui ai dit que j’étais vierge, je n’étais pas là pour le sexe.. il a enlevé mon pantalon et mon slip de force  »

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L’Observateur, évoquant les ‘’dessous’’ de cette affaire, cite également les déclarations des deux protagonistes contenues dans les procès-verbaux établis par les enquêteurs. ‘’J’ai résisté, je lui ai dit que j’étais vierge et que je n’étais pas là pour… le sexe’’, a dit la victime citée par le journal.

‘’Alors que je me frottais à elle, je l’ai p… Elle ne m’a ni repoussé ni demandé d’arrêter ‘’, réplique le mis en cause, dans des déclarations également rapportées par Le Quotidien dont la manchette regorge volontiers de détails relatifs à cette affaire. ‘’Le cri strident de la fille, la petite culotte rouge, le drap tacheté de sang… de la chambre 9 de l’auberge +Madamel+’’. Extrait revue presse

Extrait du pv 

Cheikh Yérim Seck sera aujourd’hui devant le juge pour répondre du délit de viol sur Ndèye Aïssatou Tall, fille du magistrat Boubou Diouf Tall. Seulement, les éléments d’informations qui ressortent du procès-verbal d’enquête ne plaident pas en faveur du journaliste.

Cheikh Yérim Seck, accusé de viol par Ndèye Aïssatou Tall, la fille du magistrat Boubou Diouf Tall, sera aujourd’hui devant le juge. Le journaliste qui nie les faits de viol devra compter aujourd’hui sur une bonne défense pour se tirer d’affaire car, en plus de la version de la jeune fille, les témoignages des employés de l’auberge Keur Madamel où a eu lieu les faits l’accablent. Le Quotidien a eu quelques-uns de ces éléments qui ressortent du procès-verbal d’enquête. Ainsi, il y a de nouvelles révélations dans cette affaire qui a fini de faire les choux gras de la presse. La jeune fille Ndèye Aïssatou Tall est âgée de 20 ans. Elle était étudiante en première année à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis et de­vait se rendre hier, selon des sources qui ont rapporté ses propos con­tenus dans le procès-verbal, à Mont­pellier pour poursuivre ses études. Elle est revenue sur les circonstances dans lesquelles elle a fait la connaissance du journaliste. Elle soutient avoir connu Cheikh Yérim Seck le 31 août dernier au Conseil économique et social lors d’une émission télévisée et que c’est M. Seck qui a envoyé quelqu’un pour lui demander son numéro de téléphone. Un numéro qu’il a remis à ce monsieur qui s’appelle, dit-elle, Sou­leymane Astou Diagne. Depuis lors, ajoute-t-elle, ils s’envoient des Sms ou s’appellent parfois. Selon Mlle Tall, le journaliste voulait la déposer chez elle à la fin de la cérémonie, mais elle a décliné l’offre. Elle ajoute que Cheikh Yérim Seck est venu chez elle le lendemain, mais il n’est pas entré et est resté à dix mètres de la maison. Par la suite, ils ont tourné dans le quartier à bord du véhicule, pendant 30 minutes avant qu’elle ne rentre chez elle. «Deux jours après, sans aucune nouvelle de lui, il me rappelle pour me dire qu’il était en voyage à Conakry. Il me propose qu’on se revoit et c’était vers le 4 septembre 2012. Mais à chaque fois, je décalais car j’étais trop occupée. C’est à la suite de cela qu’il m’a demandé qu’on se voit à la Résidence Keur Madamel aux Alma­dies. Je lui ai dit que je ne suis pas partante parce que je ne souhaite pas qu’on se voit dans une résidence. Il a soutenu que c’est une résidence privée qui appartenait à un de ses amis, que ce n’est pas une auberge. Je lui ai reprécisé que je ne voulais pas qu’on se voit dans des endroits pareils. Après il me propose qu’on se voit chez son frère qui habiterait à Ouest-Foire puisque, dit-il, il ne veut pas s’afficher publiquement. Je lui ai dit que c’est ok, puisqu’il s’agit de la maison de son frère. Suite à cela nous avions conclu qu’on se voit le 6 septembre 2012, mais on a re­porté cette date jusqu’au lendemain parce qu’il n’était pas disponible. Finale-ment, on a fixé le rendez-vous pour le 8 septembre. Jusqu’au samedi matin (le jour des faits), il était prévu qu’il passe me prendre pour qu’on aille chez son frère, mais au réveil j’ai trouvé son message sur mon portable», a raconté, selon nos interlocuteurs, la jeune fille aux enquêteurs.

«Il m’a pénétrée violemment et j’ai crié très fort»
Ndèye Aïssatou Tall qui narre son histoire soutient que Cheikh Yérim Seck l’a appelée deux minutes avant son arrivée pour lui demander de monter directement au premier étage et à la chambre 9. Selon nos sources, la jeune fille est revenue sur les détails de cette rencontre qui a abouti sur une affaire de viol. «Je suis montée et j’ai tapé à la porte de la chambre 9 et il m’a demandé d’entrer. J’ai trouvé Cheikh Yérim Seck sur le lit en train de travailler avec son ordinateur. On a discuté pendant qu’il continuait à travailler. Après, on s’est embrassé pour ensuite flirter. Il m’a demandé de me déshabiller et j’ai refusé. Il a tenté à plusieurs reprises de me déshabiller, mais j’ai pu résister tout en lui disant que je suis vierge et que je ne suis pas là pour le sexe. Il s’est lui-même déshabillé complètement avant de mettre un préservatif pour m’enlever ensuite mon pantalon et mon slip de force.  Il m’a maintenue de force sur le lit et a commencé à se frotter à moi. Comme il était plus fort, je n’arrivais pas à le repousser. Et puis, il m’a dit que comme c’est lui qui sera mon futur époux, c’est à lui de me dépuceler. J’ai tenté vainement de le repousser. C’est ainsi qu’il m’a pénétrée violemment et j’ai crié très fort. J’ai entendu deux voix dehors mais ils ne m’ont pas porté secours. J’ai pleuré aussi. Quand j’ai réussi par la suite à me dérober, j’ai vu que le lit était taché de sang. J’ai aussitôt sauté du lit pour prendre mon pantalon et mon slip pour entrer dans les toilettes et refermer aussitôt à clef. C’est de là que j’ai constaté qu’il y avait beaucoup de sang. J’ai voulu me nettoyer, mais je n’arrivais pas à ouvrir le robinet. J’ai pris du papier de toilettes pour faire un tampon. Pendant mon temps dans les toilettes, M. Seck frappait à la porte tout en me disant qu’il était désolé. Quand je suis sortie il a commencé à s’excuser en me parlant de mariage. J’ai répondu que je n’étais pas intéressée», a-t-elle soutenu.
Ndèye Aïssatou Tall précise aux enquêteurs que Cheikh Yérim Seck avait fermé la porte de la chambre à clef après son acte et avait caché les clefs. Mieux, ajoute-t-elle, le journaliste avait proposé de la déposer après sa douche mais elle a refusé arguant qu’elle veut rentrer seule. Et que c’est quand elle a menacé de faire un scandale qu’il a accepté d’ouvrir la porte. «Il a ouvert la porte et je suis partie. Je tiens à préciser qu’après les faits, M. Seck a continué de m’appeler et de m’envoyer des textos pour s’excuser», dit-elle.

Les témoignages accablants du personnel de l’auberge
En outre, le document rapporte que les témoignages du personnel de l’auberge qui était présent le jour des faits corroborent avec certains propos contenus dans la déclaration de la jeune fille faite devant les enquêteurs. La réceptionniste a, selon nos sources, déclaré avoir entendu un cri strident, relayé par l’écho de l’immeuble abritant la résidence et «dont elle est sûre, ne pouvait provenir que d’en haut et à la chambre 9, d’autant que les résidents des autres cham­bres étaient tous sortis». Le comptable confirme aussi avoir entendu le même cri. La version du réceptionniste en chef qui est aussi le chef d’hébergement rejoint celle des autres. Mieux, il a dit aux gendarmes qu’il a tapés trois fois à la porte de la chambre 9 après le cri et Cheikh Yérim Seck a ouvert la porte pour le rassurer. Ces employés de l’auberge confirment aussi la présence de sang sur le drap couvrant le lit après le départ de M. Seck. A noter que le père de la fille et sa sœur ont été auditionnés par les gendarmes.

«Je ne vois pas de différence entre frotter et pénétrer»
L’administrateur du site dakaractu.com a apporté, lui aussi, sa version des faits. Là où la jeune fille parle de viol, Cheikh Yérim Seck soutient le contraire. Il parle de rapports sexuels consentants. M. Seck confirme avoir donné un rendez-vous à Ndèye Aïs­satou Tall à la Résidence Keur Ma­damel. «A son arrivée, la porte n’était pas fermée à clef, elle est entrée, m’a rejoint au lit, m’a em­brassé sur la bouche avant de s’installer entre mes jambes. Nous avons beaucoup discuté puisqu’elle devait se rendre en France le mardi (hier). Nous avons commencé à nous embrasser et elle s’est déshabillée, moi aussi. J’ai mis un préservatif et l’acte sexuel a commencé. Après quelques instants, alors que je me frottais à elle, je l’ai pénétrée. La fille avait consenti à ce qu’on ait un rapport sexuel. Je per­siste et signe qu’elle s’est déshabillée volontairement sans aucune forme de pression. J’ai commencé à frotter et tout le monde sait que dans ce domaine on ne peut rien contrôler. Je ne vois pas de différence ma­jeure entre frotter à l’entrée et pénétrer. Au cours de l’acte sexuel que nous avons eu, elle ne m’a à aucun mo­ment demandé d’arrêter ou repoussé». Après j’ai voulu la ramener chez elle, mais elle avait refusé. Je me suis rendu devant chez elle pour la revoir, mais elle refusait de répondre à mes appels. C’est ainsi que je me suis ren­du chez moi et c’est par la suite que j’ai été convoqué à la gendarmerie nationale, a soutenu, pour sa part M. Seck devant les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie de Colobane.

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12 Commentaires

  1. Seriñ Tuuba bindna ci teere bu ñii wax « Naxju Xadaa’il xaj » ne: bul di wax ayibi nit ñi, ndax ninga amee’w lamiñ noonu lañ amee’w lamiñ, te saaboodee wax seeni ayib ñoomit ñuy wax say ayib.
    Kon yeen taskat’u xibaar yi deeleen am sutura ci jaami Yallah yi, kukoci deful bes bula Yallah nattoo banga def nakasudul noonu, ninga daan def nit ñi rek lañ lay def.

  2. honnettement rien de c lair dans les propos de le jeune fille et pire en core dans les propos de M. Seck. Au fait avec les jeans serrés que mettent les filles je me demande comment parvient on a l’enlevé si la fille ne consent pas. La ou je mets un point d’interrogation dans les argument du sieur Seck c’est qu’avec une fille vierge on ne peut pas la pénétrer en frottant simplement le sexe au sien. Alors dites nous ce qui s’est réellement passé les gars. Mlle Tall nous savons bien que le sang qui découle de l’hymen d’une femme n’est pas abondante alors comment ça se fait que vous en perdiez autant que vous dit en perdre. j’y comprends rien du tout

  3. seul allah sait veritablement ce qui s est passé lá mais ce qui m intrigue dans cette histoire c est pourquoi la jeune fille a laissé tout le temps a monsieur seck de se deshabiller et de mettre un preservatif et de la rejoindre sur le lit sans reagir ni crier ,fuir ou taper a la porte afin de demander secours , selon sa version elle a crié seulement quand elle fut penetré c est vraiement absurde aider moi a comprendre

  4. Ce qui s’est passé c’est que ils s’étaient entendu pour que yérim seck se frotte uniquement sur le bord du sexe de la fille sans la pénétrer, et ce dernier en a profiter pour la pénétrer par surprise. maintenant reste à savoir si ceci peux être considérer comme viol ou pas. Parceque le consentement se limiter au frottement.

  5. Yerim na la pas viole on parceque il a mit un preservative la fille ete consentant touts les hommes on sorti avec des filles vierge on ce ce quoi ele maint ce tre dificil de violez une fille encore dans une chambre de hotel quant on frotais ce normal qui on peut etre penetre a tout moment.cette affaire doit etre bien juge part des esper parcque aujourd les filles aujourd son pret a tout elles provoque les hommes marie et prende le mari des outres quant ca tounne mal elles parle du viol.une fille bien ne va jamais recontre un hommem dans une chambre de hotel et je pense que elle a la habitue de frotais ce pour quoi mr yerim la penetre trot facil

  6. Moi je ne suis pas juge et j’étais aussi a ses lieux , mais en écoutant le version des deux consenés c’est la fille que je vais donné raison . mais une chose est sûre Monsieur Seck est un journaliste or paire que j’ai toujours estimé par son dévouement son charisme son intelligence sa foie en dieu « pour wakhlen ni rek nite nite rek la « nous sommes des pêcheurs donc yerim à fait gaff reconnait et demande pardon .

  7. je veux dire que je n’étais pas aussi a ses lieux la ou la viol s’est passe donc je ne pas juger qui ke se soit , mais en me basant sur les déclarations c’est la fille que je vais donné raison

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