Le rapport d’audit a révélé des choses graves à les aéroports du Sénégal : trois milliards sont disparus dans les caisses, sans compter de commissions de 100 Millions payées à des intermédiaires.
Va-t-on à l’arrestation de Mbaye Ndiaye,le directeur de l’aéroport de Dakar ? Tout porte à le croire au regard de ce qui est sorti du rapport d’audit concernant les aéroports du Sénégal.
Le nouveau patron des aéroports du Sénégal (ADs) a sollicité les services d’un cabinet d’audit pour se faire une idée des créances, des dettes et de la trésorerie de la boîte qui lui a été confiée par le chef de l’Etat Macky Sall.
Mais les résultats des audits ont révélé des faits extrêmement graves, parce que trois milliards sont introuvables ; 4,5 milliards de dettes, des commissions de 100 millions ect…
Selon certaines indiscrétions, Mbaye Ndiaye, ex-directeur de l’aéroport présente un solde créditeur de 7849 050 Fcfa sur le relevé bancaire au 31/07/2012, ledit compte se trouve à la société générale de Paris.
Le compte chèques Postaux présente un solde créditeur de 283 275 fcfa sur le relevé CCP au 31/07/2012 ; la caisse présente aussi une solde de 763 344 Fcfa au 31/07/2012.
La situation semblerait être compliquée pour le nouveau patron de l’aéroport qui a hérité d’une agence à l’absence totale de trésorerie.
Mieux, ce dernier doit honorer une dette que son prédécesseur lui a laissé; l’ancien Dg de l’aéroport Mbaye Ndiaye avait sollicité les services de Banques UBA et Atlantique banque pour bénéficier de ce prêt.
Ce dernier était à la tête de l’agence depuis le début de l’alternance, il a régné durant au moins dix ans. Aujourd’hui, il est dans de sales draps. Nos tentatives de le joindre sur son portable sont restées vaines, mais il peut à tout instant à apporter sa version pour des éclaircissements.
Malickou Ndiaye
Koaci.com
Dans les caisse ou des caisses? An mes parents journalistes. Tant que les cartouchards seront dans les medias, il n ya aura que ce genre de banalites
Des milliards ont disparu au lieu de sont disparus ! En plus il n’est pas le seul à commettre cette faute parmi nos journalistes !
En fait, ils veulent écrire en français, en faisant une traduction littérale à partir du Wolof.
C’est vrai qu’un article, aussi intéressant qu’il puisse paraitre, perd sa valeur s’il est truffé de fautes.