Un magazine américain a affirmé jeudi que le président Barack Obama avait évoqué son adversaire Mitt Romney en termes peu amènes lors d’un entretien avec ses journalistes, et la Maison Blanche a appelé à ne pas se laisser « distraire » par un seul mot.Le directeur de la communication de la Maison Blanche, Dan Pfeiffer, n’a pas démenti que le président américain ait employé le mot « bullshitter », soit quelqu’un qui dit « des conneries » dans cet entretien avec le bimensuel Rolling Stone.L’échange s’est produit à la fin d’un entretien entre Barack Obama et les journalistes de Rolling Stone à la Maison Blanche, quand l’un d’entre eux a rapporté au président que sa fille de six ans lui avait demandé de dire au dirigeant « vous pouvez y arriver », allusion apparente à l’élection du 6 novembre.« C’est le seul conseil dont j’ai besoin », a-t-il répondu. « Je suis très populaire dans ce groupe démographique. Je fais des ravages chez les 6-12 ans! » Et d’ajouter, selon Rolling Stone: « les enfants ont un bon instinct. Ils voient l’autre, et disent, ‘lui, il raconte des conneries, c’est sûr' ».
L’équipe de Mitt Romney n’a toujours pas réagi. Pour éviter de dire une bétise ?
il faut rassembler les maliens autour du seul et unique mot d’ordre qui est »la Defense et la Preservation des Frontières du Mali »
qui , on peut esperer que et les politiciens Wahabistes et les animistes et les chretiens et les Arabes d’origine malienne et les Touaregs d’origine malienne seront tous d’accord ….
LES INDEPENDANTISTES TOUAREGS NE SONT PAS D’ACCORD DE LA FAçON IRRESPONSABLE PAR LAQUELLE LE PAYS A éTé GèRé CES 50 DERNIERES ANNéES …qu’il soit mis en place un AUDIT SANS COMPLAISANCE , et que enfin on place a la tete du pays des Citoyens Responsables oeuvrant pour un Mali EMERGENT , mais plus jamais pour tel ou tel groupe ETHNIQUE exclusivement ;
car la division Ethno-culturelle est le MaL ABSOLU , d’HOMMES LIBRES elle a fait des esclaves en partance –on ne trouve de volonté politique de mettre definitivement fin à cette gangrene qui ronge notre DEVENIR D’AFRICAIN SUR LA SCENE INTERNATIONALE