Nommé ministre de l’Aménagement du territoire et des Collectivités locales avant d’atterrir au département de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, le patron du Fsd/Bj est aujourd’hui lorgné par l’Alliance pour la République (Apr) pour marcher sur les plates bandes de ABC.
Le limogeage de Me Alioune Badara Cissé de son poste de ministre des Affaires étrangères semble être l’épilogue d’une longue histoire. La fin du compagnonnage entre ABC, Macky Sall et de son parti, l’Alliance pour la République (Apr). Son départ de ce parti qu’il a porté au pouvoir ferait un grand vide à l’Apr, surtout dans la région de Saint-Louis. Pour combler ce gap dans la capitale du nord, une éventuelle fusion entre le Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (Fsd/Bj) de Cheikh Bamba Dièye et l’Apr de Macky Sall est pressentie. Ceci c’est pour booster le Maire de la région de Saint-Louis à diriger la liste de l’Apr dans la partie nord du pays et marcher sur les pas d’ABC. Même si certains membres du Fsd/Bj ne se prononcent pas sur cette question, cette éventuelle fusion est dans les plans des deux partis. «Dans l’évolution politique de ce pays, il ne faut jamais exclure certains possibles», renseigne Amadou Sy. Le président de la commission d’organisation du Fsd/Bj de poursuivre : «Pour l’instant nous restons un parti bien structuré et nous travaillons pour le parti. La décision reviendra au Secrétaire général du parti. Mais, s’il prend une décision, chacun aura son idée là-dessus.» Depuis sa nomination au ministère de l’Aménagement du territoire et des Collectivités locales, Cheikh Bamba est reproché par les membres de son parti d’être plus du camp de président Macky Sall. Ce manque de reconnaissance envers ses militants avait même motivé la démission de Momar Talla Kébé, le Coordonnateur de la formation politique à Saint-Louis. Muté au ministère Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, en remplacement de Abou Lô, le Secrétaire général du Fsd/Bj a aussi été taxé d’avoir fait du favoritisme pour ses choix sur certaines personnes à des postes stratégiques dans son ministère. Ces actes avaient suscité l’ire de nombreux militants qui avaient rendu une lettre de démission. Dans cette missive aux forts relents de pamphlet, on pouvait lire : «Sachez, M. le Secrétaire général, que nous ne nous sommes pas battus contre le régime de Wade pour accepter après les mêmes pratiques au sein de notre parti. Nous ne pouvons plus évoluer dans un parti non organisé où les responsables de tout bord, de la Diaspora au Sénégal, ne peuvent même pas informer leur base sur ce qui se passe dans le parti où seul le leader évolue et prend des décisions arbitraires qui ont un parfum de favoritisme.» Cheikh Bamba Dièye – qui a préféré, une fois nommé ministre, ses beaux-parents à ses compagnons qui inhalaient la fumée du gaz lacrymogène – serait aujourd’hui dans une logique d’enterrer son parti pour se ranger du côté de Macky Sall. Comme, demain il fera jour…
OUSMANE FALL
Le Pays au Quotidien
“Si le Président persiste, nous passerons à la désobéissance civile, et nous mettrons en place un gouvernement parallèle”
Vu la détérioration quotidienne des conditions de vie ou de survie des Populations, due au fameux Plan d’Austérité, adopté par les Tenants du Pouvoir pour satisfaire la « libido-financière » de certains lobbies ou mafiosi, doublée de l’Injustice qui a atteint son paroxysme, avec l’élargissement de criminels de sang et de criminels économiques, qui ont tous avoué leur forfait, et la volonté manifeste des Autorités étatiques et judiciaires, d’ôter la vie au Serviteur de Serigne Saliou Mbacke, de la manière la plus atroce, en lui refusant le droit inaliénable à la Santé, il serait naïf, voire suicidaire de n’envisager l’imminence d’une révolte sans précédent, qui emporterait tout sur son passage. La répétition étant pédagogique, nous rappelons à l’opinion nationale et internationale, que Sheikh Bethio Thioune est victime d’un complot d’état et d’un « procès d’intention », qui ont sciemment été orchestrés, non seulement pour libérer et acquitter « Diaz Bond », mais surtout pour l’éliminer politiquement, religieusement, et finalement, physiquement.
L’un des principaux chefs d’accusation ou chefs d’inculpation, retenu contre le Sheikh, est sa décision de rebaptiser la « Place de l’Obélisque », « Euttou Serigne Saliou Mbacke ». Cela est resté à travers la gorge des Lucifériens, pour qui un tel acte est une profanation de symbole. Vous comprendrez aisément pourquoi le Régime en place, de par sa « Soss-Tiss » (Justice), tient mordicus à assassiner Sheikh Bethio Thioune, en lui refusant le droit inaliénable à la Santé, et en le confinant dans une « chambre à gaz » à Rebeuss, en ignorant dans un premier temps, toutes les règles primaires de transfèrement, non pas d’un prisonnier, mais d’un prévenu. L’état du Sénégal sera responsable de tout ce qui adviendra de cette prise en otage. Il faut bien le rappeler, « la légitimité prime sur la légalité ». Par conséquent, « quand la loi n’est pas l’expression du Droit, nul n’est tenu de la respecter ». Pour apostropher le Président Macky Sall sur son discours de Tabaski, et son ministre de l’Intérieur, Mbaye Ndiaye, nous réaffirmons, « pour que Force reste à la loi, il faut au préalable que Justice soit aux ayants-droit ». Une analyse objective de la situation démontre nettement, que le Régime se révèle de jour en jour, plus stalinien et hitlérien au gout de Pinochet. L’heure est à l’Alternative à l’Alternative.
Les Commanditaires des Attentats de Madinatou Salam, savaient parfaitement que, « si Barthelemy Diaz n’était pas inculpé pour homicide volontaire et usage disproportionné de force, toutes les Maisons d’Arrêt de Correction, devaient être vidées, et leurs pensionnaires, relâchés sans condition ». Dès lors, l’organisation d’un crime odieux chez le Guide des « Thiantakoons » était la seule option qui permettrait de faire d’une pierre plusieurs coups. Malheureusement pour eux, et heureusement pour les « Thiantakoons», l’intelligence et la subtilité d’esprit de Sheikh Bethio Thioune, face au Bataillon blindé du G.I.G.N. et de la L.G.I., lui ont permis d’éviter de justesse, le sort qui a été réservé à feu Khadim Bousso dans la Capitale de la Mouridiya. Pour ceux qui s’interrogent sur les véritables auteurs du double-meurtre de Bara Sow et d’Aboubacar Diagne, nous leur demandons de décliner la véritable identité de tous ceux qui sont mêlés, de prêts ou de loin à cette affaire. Ils conviendront aisément avec nous, qu’il faut chercher les coupables dans les rangs des « R.G. ». Le nom de code de cette Opération, démontre nettement, l’implication des Tenants du Pouvoir, mais surtout, leur manque de considération vis-à-vis des Autorités religieuses de ce Pays. Un petit indice, le sacrilège a été commis la nuit du 22 au 23 Avril 2012, et le combat « Balla Gaye 2 vs Yekini » devait absorber toute l’attention de l’opinion nationale. Nous sommes toujours dans la logique du « Programme de Contrôle de Masses ». A coté de « diviser pour mieux régner », ils ont mis « divertir pour mieux régner ». Quand la Vérité éclatera, le Régime tremblera, et s’effondrera comme « Achille aux tendons d’argile ».
Nous sommes presqu’à bout d’emprunter la langue à l’ancien Candidat, et actuel Président de la république du Sénégal, lors des préséances ou préliminaires des joutes électorales de Février 2012. « Si le Président persiste, nous passerons à la désobéissance civile, et nous mettrons en place, un gouvernement parallèle », dixit Macky Sall. Aujourd’hui, l’ironie du sort qui s’abat sur ce dernier et ses acolytes, semble nous dire avec une voix audible, qu’«il faut rendre à César, ce qui est à César ». Le régime en place a suffisamment montré ses limites de par son manque de politique d’orientations claires et lucides, pour remédier au calvaire du peuple sénégalais. Le partage du butin entre les « gérants de stations politiques » et leurs disciples-larrons continue, pendant que les populations restent toujours sur leur fin de voir le bout du tunnel. La politique, version sénégalaise se résume en quelques termes, «l’Art de dire ce que l’on ne fait pas, et de faire ce que l’on ne dit pas ». Dans le même ordre d’idées, nous réitérons notre avis à propos de ces Imposteurs, « ils mangent le pain de la souffrance, et boivent le vin de l’agonie du peuple ».
Les disciples de Machiavel li jouissent d’une « immunité politicienne », qui leur garantit la liberté provisoire, voire même le non-lieu total, en cas d’homicide volontaire, dès qu’ils avouent leurs crimes, en plus d’éléments audiovisuels, pendant que le Serviteur de Serigne Saliou Mbacke, notamment un « lieutenant » de Cheikhoul Khadim, ne peut même pas prétendre à la présomption d’innocence ou au Droit inaliénable à la Santé, dès l’instant qu’il est même accusé à tort, de complicité. Tout ceci se passe sous le regard amorphe, voire même complice de la Communauté mouride qui se fait « harakiri », en se désolidarisant de ce dernier. La définition première que nous nous faisons du Mouride est comme suit, « Militant de la Justice impartiale, et Partisan de la Vérité immuable). En Droit, « l’aveu est la mère des preuves », et « l’accusé reste toujours innocent jusqu’à l’établissement irréfutable de sa culpabilité ». Aujourd’hui, il est malheureux de se rendre à l’évidence, qu’au royaume des Mackyites, « les Marabouts sont des citoyens ordinaires », tandis que, « les politiciens sont des citoyens modèles ». C’est drôle, voire même ahurissant de constater combien, « l’Histoire nous apprend que les hommes n’apprennent rien de l’Histoire ». Pour reprendre Robert N. Marley, «how long shall they kill our prophets, while we stand aside and look? Some say it’s just part of it, we’ve got to fulfill the Book”.
A suivre…
Papa Latyr Faye 10/26/2012
MBA International Development Consulting
[email protected]
“Justice to the Righteous-Rule of Law” (Justice aux Ayants droit-Force à la Loi)
Et pourtant, lui il devient ministre …
DECLARATION
La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
Devant le constat :
d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane.
L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
Ainsi, l’AG exige :
le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.
Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
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Saint Louis, 22/06/2012.
SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
APPEL A LA COMMUNAUTE CONTRE LES DERIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.
Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Ans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.
LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.
Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.
VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
Le Cheikh est victime d’un complot politique mais ne vous en faites pas seul le règne de DIEU ne finit pas. On peut pas comprendre qu’on libère un Barthélemy DIAZ qui devient par la suite député avec ses déclarations suite à l’attaque de la mairie de Sicap Mermoz et qu’on retienne en prison quelqu’un qui jusqu’à présent sa culpabilité n’est pas avéréé. Justice à deux vitesses quand tu nous tiens.
si un cheikh se permet d entrer dans la scene politique et manifester ,organiser des marches il doit s attendre a tout,d autres cheikh preferent rester dans leur dahra,et s adonner au seigneur ont la paix…