Il faut dire que la sortie des responsables du Pds contre la convocation de leurs camarades a beaucoup énervé le camp présidentiel. De partout, les partisans du nouveau régime s’érigent en bouclier pour contre-attaquer face aux menaces et chantages des libéraux. Jean-Paul Dias, plus enflammé que jamais, regrette que Abdoulaye Wade et ses ouailles n’aient pas affaire à lui, sinon, on en serait pas là.
« Si le président de la République, aujourd’hui, ne s’appelait pas Macky Sall, mais Jean-Paul Dias, ils (les libéraux) ne seraient pas là en train de faire la grande gueule » a déclaré le leader du Bloc des centristes gaïndé (Bcg). Sur la tension qui risque de dégénérer le père de Barthélémy Dias dit : « Ça me fait rire. Il n’y aura pas de crise, et il n’y a pas de crise. Tout ce que Wade dit, ainsi que ses thuriféraires, c’est de la grande gueule, c’est de la bravade, c’est du chantage, c’est de la fanfaronnade. D’ailleurs, c’est du discrédit qui est jeté sur le président de la République. Il y a un certain article 80 que l’on utilisait contre nous. La chance qu’ils ont, c’est que le président de la République du Sénégal s’appelle Macky Sall. S’il s’appelait Jean-Paul Dias, je vous garantis qu’il y a longtemps qu’on ne serait pas en train de parler de ces genres de problèmes-là ». La seule solution face à ces débordements c’est la fermeté. Pour lui, « c’est à Macky Sall de faire preuve de fermeté, ainsi que ses services. C’est à lui de prendre les mesures idoines pour ne pas se faire surprendre ».
A Me Ousmane Ngom qui accuse le chef de l’Etat et son Premier ministre, Abdoul Mbaye de « grands blanchisseurs d’argent », M. Dias confie qu’il est passible de l’article 80 du Code pénal. Et pour ce qui est de Me Wade, il estime alors qu’« il faudra qu’il nous parle des 80 milliards qui ont été volés en Côte d’Ivoire dans les Agences bancaires et même des Agences de la Bceao et qui ont été recyclés au Sénégal. Avant de parler de Macky Sall, qu’il nous parle des 80 milliards volés en Côte d’Ivoire ». Après en avoir fini avec le père, Jean-Paul Dias s’attaque au fils, Karim Wade. « Maintenant qu’on parle de son fils, qui est le roi des prédateurs, qui est le grand croix de l’ordre des voleurs, en ce moment-là, il faut que tout le Sénégal bouge. Le Sénégal ne bougera pas » a-t-il fait savoir. Me Adama Guèye de renchérir : « Ça ne sert à rien d’installer une sorte d’équilibre de la terreur, en disant : « Nous allons déballer. Si vous déballez sur nous, on déballe sur vous. On a qu’à déballer, si ça va dans l’intérêt du Sénégal, tant mieux ».
REWMI.COM
tu ne peux pas la fermer pour de bon.franchement tu nous emmerde avec ton insolence.merde en fin de compte
Les injures, invectives et toutes sortes d’insanités ont été banalisées sous le régime du Président Wade ! Combien de fois, ceux qui sont aujourd’hui au pouvoir nous avaient habitués à entendre des injures adressées au Président Wade ? J’ai même entendu dire par certains sages que ce qu’accepte Wade, aucun autre Président du Sénégal ne l’accepterait et celui qui s’amuserait à vouloir les mêmes libertés de ton subirait les conséquences , et ils n’avaient pas tort . Monsieur Jean Peaul Diaz, son fils Barthélémy et beaucoup d’autres leaders de l' »opposition d’alors ont dit pire que ce qui est dit aujourd’hui IL FAUT SE LE RAPPELER ! Cla n’empêche, toutes les formes d’injures doivent être banies de notre vocabulaire, mais monsieur Diaz, habitué du langage ordurier ne peut incarner la bonne éducation au Sénégal !