spot_img

Grossesse et accouchement: Ces plantes qui préservent des fausse-couches et césariennes !

Date:

Avant de parler plus en détail des plantes utiles, je devrais mentionner le fait qu’à l’heure actuelle, les obstétriciens demandent à leurs patients si elles prennent des médicaments, des compléments alimentaires ou des remèdes à base de plantes. C’est là une question judicieuse. Les plantes que j’énumère ici sont utilisées traditionnellement depuis des centaines d’années. Elles ont donc fait la preuve de leur innocuité, mais chaque patient, et chaque grossesse, est différente. N’oubliez pas de signaler à votre médecin les plantes que vous avez l’intention de prendre.

D’autre part, soyez attentive aux propriétés particulières de chaque plante. Certains contribuent à apaiser l’utérus irrité et vous apportent un plus grand confort durant la grossesse, tandis que d’autres peuvent accélérer l’accouchement.

Quels sont les signes précurseurs d’une fausse-couche ?

On parle de fausse-couche ou avortement spontané quand la grossesse s’arrête naturellement pendant les trois premiers mois mais parfois aussi plus tardivement. Le plus souvent, aucune cause précise n’est identifiée. La fausse couche est un phénomène assez courant puisqu’elle survient à la suite de 10 à 20% des grossesses confirmées. Chez certaines femmes, la fausse couche se produit sans signe particulier au préalable. Chez d’autres femmes, on peut constater : un saignement vaginal de couleur brune, mais aussi parfois rouge vif ou rosé, des pertes brunes ou rouges, de type fluide ou caillots, une douleur dans le bas du dos, une crampe dans le ventre, des nausées, etc.

Quelles sont les précautions à prendre ?

La femme en début de grossesse doit consulter rapidement son médecin si de tels symptômes se manifestent. En cas de perte d’un petit fragment de tissu, il est conseillé de le conserver, car à partir de celui-ci les médecins peuvent tenter d’identifier la cause de la fausse couche. Lors de la progression de la fausse couche, il convient de diminuer ses activités au minimum possible, voir de rester allongée et d’éviter les relations sexuelles. Le médecin procédera à des examens afin notamment de constater l’état de dilatation du col de l’utérus, de savoir si la grossesse se poursuit normalement, de déterminer le nombre de fœtus, de dépister une éventuelle infection, etc. Dans certains cas, une intervention (curetage, aspiration) peut être décidée afin d’ôter les tissus restés dans l’utérus et d’éviter un risque infectieux.

Les plantes au secours de la grossesse et de l’accouchement !

De toutes les plantes pour faciliter la grossesse, la framboise est probablement la mieux connue, mais beaucoup d’autres sont également bénéfiques.

1- Le Framboisier (Rubus idaeus) : Je suis convaincu de l’utilité du framboisier pour les troubles de la grossesse. Une étude spécifique a permis d’identifier dans cette plante un agent chimique qui a la propriété de détendre l’utérus. Des siècles durant, on recommandait aux femmes prédisposées aux fausses couches de boire de la tisane de feuilles de framboisier pendant toute leur grossesse, pour les aider à parvenir à terme. On a également pu vérifier l’utilité de cette plante dans la prévention de divers désagréments de la grossesse, à commencer par les nausées matinales.

2- L’Epinard (Spinacia oleracea) : Très riche en folate, l’épinard figure en excellente place parmi les plantes susceptibles d’aider à prévenir le spinabifida, une malformation de la colonne vertébrale souvent mortelle, ainsi que d’autres troubles apparentés. L’épinard est également une assez bonne source de zinc. La femme enceinte qui présente une carence en zinc rencontre des difficultés lors de l’accouchement. Par ailleurs, la cicatrisation d’une éventuelle déchirure ou plaie se fait plus lentement. Vous pouvez aussi manger du pain complet, puisque ce dernier contient deux fois plus de folate que le pain blanc.

3- Le Persil (Petroselinum crispum) : Le persil contient une substance complexe appelée apiol. Je suis d’ailleurs favorable à l’ingestion de persil car il contient de l’acide folique. Si vous êtes enceinte, peut-être vaut-il mieux éviter de manger de grandes quantités de persil.

D’autre part, éviter d’utiliser le persil à des fins médicinales, sauf si vous êtes sur le point d’accoucher et le cela vous est égal d’accélérer le processus. J’ai eu écho de rumeurs non confirmées selon lesquelles le persil contiendrait de la progestérone.

4- Manger de temps à autre une sauce composée surtout d’Heliotropium indicum. Fait éviter de petits maux de ventre qui, en s’aggravant, peuvent entraîner l’avortement.

5- Prendre quatre fois, à raison d’une fois par jour, un bain dans une infusion des tiges feuillues de très jeune Landolphia owariensis, boire au cours de chaque séance de bain quelques gorgées de la dite infusion et se voir délivrée presque instantanément aussitôt arrivée à terme. Le nombre de bains n’est pas mathématiquement fixé à quatre. Ils peuvent se répéter durant toute la grossesse.

6- Bouillir ensemble des racines d’Imperata cylindrica et des fruits de Ficus capensis. Boire une portion de l’infusion, manger du fonio cuit dans le reste. Préserve d’avortement possible.

7– Boire de temps en temps une infusion des feuilles de d’Anona senegalensis ou « digoor ».

8- Boire à partir du cinquième mois une infusion de feuilles de Tamarindus indica ou « daxaar ». Préserve d’avortement possible.
sambmara.com

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE