Le président SALL, relativement au train de vie de l’Etat, s’est félicité, hier en Conseil des ministres « de l’application des premières mesures allant dans ce sens, qui ont produit des résultats significatifs en termes d’économie de ressources, en citant le cas spécifique de la facture téléphonique de l’Etat, qui a connu une baisse considérable. »
Dans cette même logique de réduction du train de vie de l’Etat, « le Président de la République a demandé au Premier Ministre de faire procéder à l’inventaire exhaustif du patrimoine bâti de l’Etat et l’a invité à faire la lumière sur les opérations de cessions immobilières ainsi que sur les conditions de déclassement de certains actifs immobiliers. »
Le Président de la République a relevé pour les dénoncer, « les manquements notés dans la gestion des parcs automobiles de l’Etat, avec la persistance de la violation de la réglementation sur l’utilisation des véhicules administratifs, les négligences dans l’entretien des engins ainsi que leur usage à des fins autres qu’administratives. »
Le chef de l’Etat a invité le Premier Ministre à s’assurer de l’application stricte de la règlementation sur les véhicules administratifs et à mettre en place un dispositif de rationalisation des dotations de carburant pour mettre fin aux mauvaises pratiques qui grèvent considérablement le budget de l’Etat.
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Un couple présidentiel : paradoxe d’un paroxysme de l’idolâtrie ou le culte de la personnalité ?
En contrepartie des échanges de service, « les Généreux donateurs d’or » bénéficieront largement « du bouclier politique », même si la provenance de leurs richesses immenses résulte incontestablement d’une opacité matériellement avérée.
A contrario, les autres, oui, les indociles, pour avoir refusé de passer à la caisse, seront automatiquement châtiés et massivement passibles de délits graves, maquillés sous de faux postulats, emphatiquement appelés « blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs, au nom des audits audibles à haut débit illimité et à géométrie variable. Non, nous ne pouvons pas nous inscrire dans ce registre là !
La réalité contraste avec le discours. Apparemment, Macky Sall, sa propre famille, sa garde rapprochée et ses courtisans peuvent aisément s’enrichir librement, mais l’enrichissement des autres est illicite, s’ils ne passent pas d’abord à la caisse, la condition sine qua non, pour être des sujets. C’est ça le seul crime de lèse-majesté d’Aliou Aïdara Sylla. N’en déplaise à ceux qui ne veulent pas l’admettre, par couardise ou bouffonnerie indécrottable qui les habite ! Le groupuscule apériste corporatiste, déficitaire politiquement en termes d’adhérents de tout l’échiquier politique, converti en rats, aux apparences manifestement claniques s’y retrouve dans cette loge éloquente que rien ne peut justifier de prime abord. Manipulations, désinformation, chantage, abus de pouvoir. Affabulation qu’on tient à blanchir en vérité. Les pratiques peu orthodoxes de la prétendue bonne gouvernance consistent à arrêter arbitrairement et massivement des collaborateurs immédiats d’Abdoulaye wade, en triant au volet ceux qui se repentissent à la transhumance qu’il faut épargner obligatoirement de l’épée de Damoclès, c’est-à-dire la police politique, les audits audibles à haut débit, à géométrie variable, au service de l’homme du moment du palais. C’est la nouvelle rhétorique du vent debout comme système de gouvernance absolue ou plutôt l’autoritarisme blanchi en vérité éternelle.
C’est toute l’ambigüité d’une gouvernance des rancunes et des rapines politiques par des mécanismes douteux.
Une culture de personnalité taillée sur mesure qui n’a pas sa raison d’être dans une république normale. Ce qui est le cas maintenant ! Tout pouvoir abusif pour être charismatique, contrôle et musèle la presse, est totalitaire par définition. Le ridicule ne tue plus dans ce pays étrange ! Qu’est-ce- que c’est ce tapage médiatique mécanique de la surenchère spectaculaire surabondante : « le couple présidentiel du Sénégal en mode jeune ? ». Stop ! Halte ! Un peu de retenue, d’humilité, trop, c’est trop ! Pendant qu’Aliou Aidara Sylla, déféré pour blanchiment d’argent, association de malfaiteurs et escroquerie, le scandale de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A créée par le propre frère de Macky Sall passe comme une lettre à la poste. On continue à nous rouler dans la farine. Le ménage doit nécessairement commencer par soi-même, n’est-ce pas Monsieur le président ? Un parti, une famille, une dynastie, des courtisans ! Tout n’est pas permis ! Halte ! Stop ! Ça suffit ! Dans cette affaire, il y a le visible et l’invisible.
Le discours : « Le parti avant la patrie » cache bien le scandale de « l’affaire Aliou Sall », frère du président et la galaxie des nominations hystériques.
Aliou Aidara Sylla sali sous l’autel de son indocilité. La gouvernance de Macky Sall, c’est salir par tous moyens tous ceux qui sont indociles à lui ! Pour ce faire, on l’embastille et construire des chefs d’accusation bidon bien bétonnés. Alors, la surabondance médiatico-politique se confine dans son rôle de sarabande, en déversant des insanités proéminentes. Disons les donc les choses telles qu’elles sont et non pas qu’on veuille qu’elles soient par une justice interposée présumée libre et indépendante du pouvoir politique. Une simple vue de l’esprit. C’est une dictature pure et simple.
Macky Sall sur la traque des biens mal acquis: « S’ils acceptent de retourner l’argent, il n’y aura aucun problème »
Suivez notre regard ! A commencer d’abord par l’auteur, pour donner l’exemple pour mieux nous convaincre. Le ndiguël [la recommandation] des bonnes causes commence par soi-même, surtout lorsqu’on s’est bien travesti en obscur multimilliardaire en moins de 8 ans. Autrement, c’est suspect ! Macky Sall ne peut pas faire l’économie des audits audibles au double standard. Tous les hommes politiques qui ont occupé des fonctions, doivent nécessairement être audités, sans exclusive et sans ostracisme d’aucune sorte, au risque de créer une césure insupportable, irréparable dans les consciences. Au nom de la transparence, à commencer par lui-même, il doit s’appliquer à lui-même la même déontologie qu’il impose aux autres.
A défaut, il le sera tôt ou tard s’il ne sera plus aux commandes. Macky Sall est toujours le Secrétaire Général de son propre parti. S’il s’entête à refuser systématiquement l’audition des transhumants politiques du pds à l’apr, pour des raisons évidentes que l’on sait, alors qu’à l’inverse, ceux qui ne se mouleront pas dans son parti, le seront automatiquement, cela créera une suspicion légitime aux yeux des sénégalais, qui l’ausculteront à la politique des deux poids et deux mesures, c’est-à-dire les audits audibles à géométrie variable. Ce qui est le cas, maintenant, jusqu’à preuve du contraire. En politique, la faute se paye cash.
A ce jour, Macky Sall, le président de la république, dispose, aujourd’hui, d’un patrimoine colossal, étrangement obtenu dans des conditions totalement obscures, alors que l’indice de son salaire contraste parfaitement avec ses richesses énormes, étalées ostensiblement, sans qu’il soit nécessaire d’en piper mot.
Comme vous le constatez vous-mêmes, lorsqu’il s’agit d’insulter ceux qui ne veulent s’aliéner et se mouler dans la mécanique totalitaire, une certaine presse ordurière passe en boucle les calomnies par une ritournelle jamais égalée. Par contre, lorsque nous tirons à boulets rouges sur le calque masqué de son clone, nous trouvons portes closes. Tous nos post sont bannis, s’ils ne sont pas tout simplement supprimés. Aliou Aidara Sylla, le détenu politique : un crime intellectuel ?
Nos contributions postées trouvent portes closes, lorsqu’il s’agit de tirer à boulets rouges sur « wade junior », le bon « élève de la francophonie ». C’est la seule règle de la démocratie apparentée à la tyrannie dans ce pays, qui s’autoproclame la locomotive de la république tropicaliste. La gouvernance de Macky Sall reste incontestablement l’arbre qui cache bien la forêt. Jusqu’à ce jour, le résultat du matraquage médiatico-politique sur les présumés biens mal acquis n’est point à la hauteur du discours mécanique, si ce n’est Aliou Aidara Sylla, l’agneau du sacrifice, en attendant la levée arbitraire de l’immunité parlementaire des autres députés du peuple. Qu’on le veuille ou non, le premier magistrat de la république est le premier corrupteur actif. Il est le premier producteur par excellence de la corruption à libre cours. Les fonds politiques dont il dispose le prouvent éloquemment. Voilà la réalité !
Ce qui n’est pas possible de faire pour lever le statut d’immunité d’un monarque, qui devient dans les faits, une impunité, est nécessairement applicable aux parlementaires indociles. Quoiqu’on puisse dire, nous ne sommes plus dans une démocratie, mais dans une inquisition totale, qui tourne en plein régime, dans laquelle les consciences doivent être nécessairement aliénées pour parachever l’absolutisme ! Nous sommes bien dans une Assemblée servile, de service et des sinécures !
La caricature, les sarcasmes, les métaphores constituent nécessairement l’ossature croustillante et la colonne vertébrale de toute démocratie réelle. Macky Sall est un personnage singulier, atypique, déteste les contradictions. Il peut s’offrir le luxe d’écrabouiller les autres, mais l’inverse n’est guère autorisé. Il est suffisant, arrogant, autoritaire, nombriliste et imbu de sa propre personne. C’est un tic chez lui, telle une peau de chagrin qui l’enveloppe. Cela correspond parfaitement au personnage. On se souvient de lui en 2007. Il est fidèle à lui-même. Il ne changera pas. Il est égal à lui-même. Macky sall déclare : « je ne permettrai plus à personne de porter atteinte à l’image du chef de l’Etat », suite aux sorties caricaturales de l’ex ministre El hadji Amadou sall : « Macky veut le tuer, qu’il le tue, s’il veut le manger qu’il le mange, s’il veut manger, Omar Sarr,Madické Niang, Samuel Sarr, qu’il les mange… »
Mais pour qui donc se prend Macky Sall ? Un président de la république n’est pas un monarque. Il doit être nécessairement sous pression tant qu’il est aux commandes.
Macky Sall : « Je ne répondrai plus aux provocations et aux insanités ». Macky Sall sur la traque des biens mal acquis: « S’ils acceptent de retourner l’argent, il n’y aura aucun problème ». Apparemment, il parle plus qu’il ne travaille. Circulez, il n’y a rien à voir. Le couple présidentiel, l’idolâtrie ou le culte de personnalité injurieux. Veut-il égaler le couple présidentiel américain par une concurrence déloyale forcée ?
L’hommage ne se décrète point, ne s’impose pas sur une escroquerie. On ne le crée pas en toute pièce sur l’autel de la tartufferie. L’article de la constitution relatif aux fameuses offenses au chef de l’Etat n’est rien d’autre qu’une dérive supplémentaire du statut d’immunité du chef de l’Etat qui devient, en réalité, une impunité. Le chef de l’Etat peut mettre qui il veut en prison, mais personne ne peut rien faire contre lui. Son statut d’immunité est une dictature. Il doit être réformé purement et simplement. La liberté d’expression contenue dans notre constitution est un droit inaliénable, ne peut être, en aucun cas, un délit d’opinion. C’est une loi scélérate, qui émane du pouvoir monarchique napoléonien en France. Une telle loi obsolète n’existe qu’en Afrique des dictateurs. De la trahison du pouvoir du peuple à la vassalisation des chiens de garde pour l’honneur d’un totalitarisme. Le chapelet des boulimies de luxe laisse pantois par son caractère ridiculement ludique. Quelle sobriété ? Mais de qui se moque-t-on ? Contrairement, à ce que l’on peut penser, par naïveté, l’homme qui nous dirige maintenant, a été un acteur principal du magistère de son mentor, n’a nullement souffert des affres du magistère de son mentor, dont il a hérité, au contraire, une fortune immense que ne le sont les montagnes du Fouta Djallon, du moins, ce prétendu purgatoire a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui.
Que vaut donc ce matraquage politique, cet enfumage classique qui nous donne la mesure d’une soustraction totale du politiquement incapable, face à ses contradictions les plus criardes. Nous disons tout simplement que la prétendue gouvernance de pacotille n’engage que leurs auteurs, qui ne sont point à la hauteur. Le discours décousu, ne peut être de l’argent comptant. La sémantique « Bonne gouvernance » en dit long sur la culpabilité matérielle avérée des incubateurs de telles inepties. Que cela ne tienne, il n’y a rien qui tienne. Tout est faux jusqu’ici, c’est une escroquerie de basse facture. Tenez-vous bien. L’expression : « le procureur spécial » emphatiquement mis en valeur est remarquablement parlante. Face à cette surenchère d’une surabondance médiatico-politique, défroquée, loufoque, digne d’une tartufferie surréaliste, le sémiologue, scandalisé, éclaterait de rire devant ce spectacle amusant, pour divertir les sénégalais que l’on prend comme des moutons tondus et librement astiqués.
Nous le martelons toujours, En réalité, désormais, dans ce pays, le peuple vote, mais on peut lui enlever à tout instant son pouvoir par des mécanismes douteux. Un parjure. Autrement dit, il n’y aura plus de députés du peuple et pour le peuple, mais, à contrario, des godillots de Macky Sall. C’est une confiscation indirecte du pouvoir du peuple souverain, libre et indépendant, qui les a élus. C’est tout simplement indécent, voire même immoral politiquement. C’est donc une trahison pure et simple contre les consciences collectives qu’on tient à aliéner, par ricochet pour justifier l’injustifiable. On ne vote pas en fonction des intérêts politiques, exclusifs d’un président de la république. Il faut absolument un contre-pouvoir salutaire pour équilibrer les pouvoirs. Sinon, c’est terne.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, ce même homme élu à défaut et par dépit, président de la république, dénie le statut de mérite à un homme d’honneur exceptionnel par son parcours, qui n’a commis que le seul crime de lèse-majesté pour avoir refusé poliment de le soutenir pendant la campagne électorale.
Les chefs d’accusation alambiqués, bidon, démontrent nettement et incontestablement une parodie de justice fortement instrumentalisée. Une inculpation burlesque, grotesque sur l’autel de la rengaine. L’intitulé du soubassement décousu est tout simplement une pièce à conviction d’un dossier qui ne tient que sur du fil. Tout est y. C’est les preuves matérielles d’une justice agissant à géométrie variable et qui travaille sur commande recommandée d’un exécutif, juge et partie, qui se dégonfle, se déculotte publiquement. Le droit n’est pas dit, mais c’est plutôt, le politique qui dirige tout. Le président les nomme, mais le pouvoir judiciaire exécute les ordres dictés. En vérité, c’est « un crime politique » abominable, contre un innocent, contre lequel, une pierre deux coups est nécessaire pour l’accabler, l’achever définitivement, le dépouiller financièrement et le tuer politiquement.
En réalité, parfois, contre toute attente, les vrais criminels ne sont pas ceux que l’on croit, mais ceux que l’on ne croit pas, car les plus dangereux, d’entre eux, se couvrent le plus souvent, derrière une honorabilité apparente. Il n’y a pas de crime parfait, il n’y a que des crimes impunis. C’est le lieu de le dire. On maquille les vraies raisons de sorte que les mensonges cousus de fil blanc soient inversés, blanchis, exclusivement et exceptionnellement comme des vérités éternelles pour les besoins du service. Alors qu’il n’y a nullement la moindre parcelle de vérité de ce qu’ils avancent. Pendant ce temps, la justice ne pipe mot sur le commanditaire principal des chèques émis, parce qu’il bénéficie d’une prétendue immunité permanente. Une justice, à deux vitesses à double standard. Dites donc, une immunité qui devient une impunité ! Alors, quand les charniers de mensonges nous tiennent !
En Afrique, le traitre a toujours le vent en poupe, il est honoré, « labellisé », victimisé, adulé, change sa trajectoire en fonction de la météo, tant qu’il défend exclusivement des intérêts extérieurs sur fond de prestige et de notoriété. A contrario, le véritable combattant, agissant pour les intérêts légitimes de la majorité, est systématiquement dénigré, traité de tous les noms d’oiseau. On lui dénie son statut de héros sous de faux postulats. C’est la conséquence des consciences aliénées par la tyrannie codifiée d’un fascisme anachronique. Lorsqu’il meurt, il devient extraordinairement un héros.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
blah!blah!blah!!SEE YOU IN REUBEUSS!!!Voleurs!!!!