Apparaître à la télé, y animer une émission, c’est se rendre très populaire au point de donner naissance à des « Fans clubs » faits d’admirateurs, de sympathisants et autres… amoureux. Et cela, ceux qui se considèrent aujourd’hui comme des « Stars des médias » ne s’en privent pas. C’est l’objet du dossier réalisé, ce jeudi 28 février, par le quotidien « Grand-Place » parcouru par Lesenegalais.net.
Des célébrités, les médias sénégalais, particulièrement la télévision, en fabrique à longueur de journée. Sont-elles à la hauteur ? C’est-à-dire pertinentes, objectives et proposant des sujets conformes à la mission des médias qui est d’informer, d’éduquer et de distraire. Ce n’est pas toujours évident. En tout cas, renseigne « Grand-Place« , des admirateurs remuent ciel et terre pour obtenir leur numéro de téléphone. Et dès qu’ils l’ont, «leurs téléphones explosent de SMS drageurs». Selon le journal, ce sont les émigrés (Modou-Modou) «les champions de la drague», mais tous sont des «amoureux sous le manteau de simples fans».
Mais le pire, c’est que les extravertis s’en mêlent car, nous apprend le journal, c’est bien une lesbienne qui «persécute» la journaliste de la TFM, Aïssatou Diop Fall. D’ailleurs, confie-elle dans ce dossier : «Ces hommes sont des maniaques, des psychopathes, des obsédés sexuels».D’autres animateurs ou présentateurs y sont allés dans les confidences pour affirmer qu’il ne manque pas, dès fois, qu’une jeune fille vous dise : «cherche un lieu calme, « ñu def bamu baax» (on n’y va à fond la caisse).
B.D. DIOP
Lesenegalais.net
