De son cocon douillet de Versailles, à Paris, Wade croit savoir que ce qui arrive à son arrive n’est rien d’autre que de l’acharnement sans raison avouable.
Dans les colonnes de l’Observateur, le Pape du Sopi enfile sa toge d’avocat et plaide la cause de son fils mis en demeure dans le cadre de la traque des biens présumés mal acquis. À son avis, « tout cela frise le ridicule ». « Le procédé en lui-même est très maladroit et dévoile un acharnement sans raison avouable », aurait dit l’ancien président du Sénégal à son fils qui revenait de chez Alioune Ndao, Procureur spécial prés la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Pour le prédécesseur de Macky Sall, c’est une chasse aux sorcières dont sa famille est en train de faire l’objet. « Comment peut-on posséder une fortune estimée à plus d’un milliard d’euro (700 milliards francs CFA) dans un pays sous développé et passé inaperçu pendant une dizaine d’années ? », s’interroge Abdoulaye Wade qui tape du poing sur la table pour dire que tout cela doit s’arrêter.
AU SENEGAL HOPITAL ABASS NDAO
Depuis un an l’Hôpital Abass NDAO dirigé par le Dr Youssouph NDIAYE ne fonctionne pas, par une mauvaise gestion des ressources financières disponibles. A sa décharge le Maire de Dakar PCA du centre hospitalier Abass NDAO, depuis le Conseil d’Administration de novembre 2011, avait demandé à la Direction de l’hôpital, d’exprimer ses besoins en équipements médicaux rentables, pour les acheter sur la subvention de deux cent millions (200.000.000) de l’année 2012. Chaque mois l’Hôpital dépense près de 113.000.000 francs uniquement pour les salaires, donc que représente 200 millions ? Le personnel souhaite que cette somme entre dans le cadre d’investissement en matériels médicaux rentables. Le Directeur qui est incompétent irrespectueux de la hiérarchie et hors loi, n’a rien fait à ce sujet, il passe tout son temps à des querelles, règlements de compte, mensonges, des conflits inutiles avec ses collaborateurs directs.
Dans les ondes de sud FM le vendredi 11.11.2013, le Chef du Service des Soins Infirmiers (Arona DIOP infirmier d’Etat) donc la nomination est illégale (voir la loi 98-08 du 02.03.1998 réforme hospitalière ci-dessous mentionnée), a donné de fausse information par rapport à la subvention de 2012 et sur la réalité du fonctionnement de l’Hôpital. C’est lui qui dirige l’hôpital, il est logé, nourri, blanchi, gérant des mouvements et du carburant des trois ambulances. Toute sa famille travaille à l’hôpital, ses vœux et désirs sont exécutés à la lettre par le Directeur Youssouph ND IAYE.
Le principal problème de l’Hôpital se trouve à la gestion et aux priorités de dépenses.
NOMINATION du Chef du service des soins infirmiers loi 98-08 du 02 mars 1998
Article 32 : Il est crée dans chaque établissement un service de soins infirmiers placé sous la responsabilité d’un
technicien supérieur de santé ou d’un cadre infirmier nommé par le Directeur. Il est membre de l’équipe de direction. Il est responsable de l’organisation générale des soins infirmiers, participe à la recherche, à évaluation, à la mise en place de la politique de formation. Il est chargé de l’élaboration du volet « soins infirmiers » du projet d’établissement.
Où se trouve le directeur, pourquoi il fuit les médias depuis décembre 2011 ?
C’est parce qu’il n’a pas la vérité cette fois.
Monsieur le Maire, président du conseil d’administration prenait vos responsabilités en proposant au Ministre de la santé et de l’action sociale le remplacement de ce directeur. Le personnel du CHAN n’attend que cette décision pour reprendre le travail, il ne veut plus de Youssouph NDIAYE à la tête de l’Hôpital.
Où se trouve la dignité, l’honneur, un directeur rejeté, vomis par son personnel devait rendre le tablier. Mais malheureusement ce monsieur a perdu ses valeurs de noblesse. L’hôpital Abass Ndao est actuellement fermé.
Deux mois sans salaires, mesurez les préjudices, les conséquences subis par le personnel de Abass Ndao , causés par Youssouph ndiaye. Il rendra compte à Dieu comment il a dirigé cet hôpital. Nous demandons l’audite de la gestion de Youssouph NDIAYE
Nous demandons l’audit de la gestion de Youssouph NDIAYE
Nous demandons l’audit de la gestion de Youssouph NDIAYE
Nous demandons l’audit de la gestion de Youssouph NDIAYE
Nous demandons l’audit de la gestion de Youssouph NDIAYE
Nous demandons l’audit de la gestion de Youssouph NDIAYE
Deux recettes sont outrageusement appliquées au Sénégal de l’Arc en Ciel:
— 1/ Donnez moi un homme et deux pouvoirs et je lui ferais croire qu’un singe est son dieu. Donnez-moi le pouvoir de le répéter et celui de lui interdire toute autre source d’information que moi. Dixit Révérend Moon. La répétition se fait ici par la coordination des médias. Les titres sont distribués à minuit par les manitous Latif, Abel Thiam, etc… Et le lendemain: un, deux, trois… On répète. Et quand les enveloppes tardent à tomber, des Madiambal tirent à boulets rouges sur Abdoul Mbaye. Quand les enveloppes tombent, tout rentre dans l’ordre. Macky acquiert un « destin pour l’Afrique » dans le même journal.
— 2/ « Qu’est-ce que gouverner le monde si ce n’est faire croire à des imbéciles qu’ils pensent par eux même ce que nous leur faisons penser ? » Dixit Jean Anouilh. Au Sénégal de l’Arc en Ciel, les fanatisés dans le cerveau desquels on a déposé ce qu’il faut penser sont fiers de crier que c’est leur idée qu’ils ont librement choisi. C’est tout bénef pour les maîtres manipulateurs. Satan est très fier d’une victime qui ne croit pas à l’existence de Satan. Parce qu’elle n’opposera aucune résistance.