Près d’une semaine après la mise en demeure de l’ancien ministre des Infrastructures, Libération de ce jeudi 21 mars livre les échanges entre Karim Wade, le procureur spécial et son adjoint, Antoine Diome.
Selon nos confrères, après s’être vu notifier sa mise en demeure qui lui donne un mois pour prouver l’origine licite de sa fortune estimée à prés de 700 milliards francs CFA, Karim Wade aurait dit à Alioune Ndao : « de toute façon j’ai préparé mes valises, car je sais que j’irai en prison, vous allez me placer sous mandat de dépôt ». Provocation à laquelle le Procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) n’a pas répondu. Ce qui n’est pas le cas de son adjoint, Antoine Diome qui remet le fils de Wade à sa place en ces termes : « Vos propos sont déplacés ».
Auparavant, l’ancien président du Conseil de surveillance de l’Anoci employait le même procédé avec les gendarmes de la section de recherches de Dakar. D’après Libération lu par Setal.net, tandis qu’il était en plein interrogatoire, Wade fils a tendu des bonbons aux pandores qui ont du décliner son offre. Outré par le comportement des gendarmes, Karim Wade leur fera la remarque comme quoi ce n’est pas gentil de leur part. Mais la réponse des hommes en bleu ne se fit pas attendre. Ces derniers de lui faire savoir qu’il n’a eu que la monnaie de sa pièce car il a eu à refuser une tasse de café qu’ils lui avaient offert…
en tout cas je commence a aimer Karim…
Tu as toujoura aimé KARIM. Bayil Fenn
Franchement comment on peut aimer un criminel économique mais comme le dit l’adage ceux qui se ressemble s’assemble.
Bravo karim nous te soutenons tu vas t’en sortir les senegalais sont aveugles par les politiques avec tout ce que vous avez realise dans ce pays les devraient en etre fier la prison n’est pas votre place l’histoire nous jugera tient bon tout va passer dans le passer best regards